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    Bennett Constance (1904-1965)

     

    Constance Bennett naît le 22 octobre 1904 à New York.

    Soeur des actrices Joan (1910-1990) et Barbara (1906-1958) et fille de l’acteur Richard Bennett,

    Elle commence sa carrière en 1915 aux côtés de son père et de sa mère Adrienne Morrison avec « The Valley Of Decision ». A partir de 1921, elle recommence à tourner dans des films où elle apparait plus qu’elle ne joue vraiment.

    L’avènement du parlant n’eut pas de conséquences pour cette agréable blonde qui atteint l’apogée de sa carrière dans les années 30, où elle fut, selon certaines informations, la star la plus chère d’Hollywood. 

     

     

    A partir de 1924, elle commence à travailler avec des stars telles que Joan Crawford avec « Poupées De Théâtre » (1924), Richard Barthelmess avec « Le Fils Du Ciel » (1930), « Bought » (1931) avec son père, « Rockabye » de George Cukor, « Talking Screen Snapshots » avec sa soeur Joan, « Les Amours De Cellini » (1934) avec Fredric March, « Chronique Mondaine » (1935) avec Clark Gable et Billie Burke, »Quatre Femmes A La Recherche Du Bonheur » (1936) avec Lorretta Young, »Le Couple Invisible » (1937) avec Cary Grant, « La Femme Aux Deux Visages » avec Greta Garbo et Lana Turner avec « Madame X ».

    Une carrière bien animé rythmée par des courts métrages et des films à succès mais aussi des échecs.      

     

    Elle se marie une 1ère fois avec Chester Hirst Moorhead le 6 mai 1921 jusqu’en 1923 où elle décide d’annuler le mariage.   

     

    Elle se marie une 2nd fois avec Philip Morgan Plant 3 novembre 1925 pour divorcer le 14 décembre 1929. Ils eurent un fils : Peter Bennet Plant qu’ils adoptèrent en 1930.

     

    Elle part en 3ème noce avec le réalisateur Henri de la Falaise du 22 novmenbre 1931 jusqu’au 14 novembre 1940 puis à une 4ème noce avec l’acteur Gilbert Roland du 20 avril 1941 jusqu’au 20 juin 1946. Ils eurents 2 filles : Lorinda née en 1939 et Christina Roland née en 1941.

     

     

    Gilbert Roland

     

     

     

    Elle jouera dans 2 des 3 voltes de « Topper » en interprétant Marion Kerby, dans « Le Couple Invisible » et « Fantôme En Croisière », l’épouse de Georges Kerby tous 2 morts dans un accident de voiture qui viennent en aide à leur banquier. Elle ne jouera qu’une seule fois avec son (faux) mari interprété par Cary Grant.

     

    Elle tourne notamment avec le réalisateur George Cukor à la fin de sa vie en particulier : en 1941, elle joue avec Greta Garbo dans son dernier rôle (La Femme Aux Deux Visages) et en 1953, avec Judy Holliday avec « Une Femme Qui S’Affiche ».

     

     

     

     

     

    Elle se marie pour la dernière fois avec John Theron Coulter jusqu’à son décès du 22 juin 1946 jusqu’au 24 juillet 1965.

     

    Elle continue à tourner jusqu’en 1965 mais à un rythme soutenue à partir de 1951 tout en continuant à promouvoir ses produits cosmétiques.

     

    Elle tourne son dernier film « Madame X » (1965) avec Lana Turner et décèdera peu après la fin du tournage.

     

    Constance est décédée le 24 juillet 1965 d’une hémorragie cérébrale à Fort Dix, dans le New Jersey.

     

    Retouvez son étoile au Walk of Fame au numéro 6207 sur Hollywood Boulevard

     

     

     

     

     

     

    Pour plus d’informations, visitez :

     

    http://www.cinememorial.com/Acteur_detail.php?id=283


    Ladies in Love Constance Bennett 1936
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    Our Betters Constance Bennett 1933
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    Our Betters Constance Bennett 1933
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    The Easiest Way Constance Bennett 1931
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    The Easiest Way Constance Bennett 1931
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    The Unsuspected Constance Bennett 1947
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    After Office Hours Constance Bennett 1935
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    After Office Hours Constance Bennett 1935
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    Bed of Roses Constance Bennett 1933
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    Bought Constance Bennett 1931
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    Code of the West Constance Bennett 1925
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    Constance Bennett 1930
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    Constance Bennett September 11 1930
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    Constance Bennett c.1930s
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    Constance Bennett c.1930s
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    Constance Bennett c.1930s
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    Constance Bennett c.1930s
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    Constance Bennett c.1930s
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    Constance Bennett c.1932
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    Constance Bennett 1934
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    Constance Bennett 1934
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    Constance Bennett in Evening Gown by Designer Adrian 1935
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    Constance Bennett December 6 1936
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    Constance Bennett December 6 1938
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    Constance Bennett 1940
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    Constance Bennett
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    Tom Berenger, de son vrai nom Thomas Michael Moore, est un acteur et producteur américain né le 31 mai 1949 à Chicago (Illinois).

     

      

      

    Il se fit remarquer dans À la recherche de Mister Goodbar de Richard Brooks, mais est surtout connu pour son interprétation du sergent Barnes dans Platoon d' Oliver Stone (1986) et de Gary Simmons, paysan du Middle-West raciste, dans La Main droite du diable de Costa-Gavras (1988).

    Dans sa jeunesse, il incarnait des personnages violents auxquels sa puissance donnait un caractère nietzschéen. Dans les deux derniers Sniper, il incarne un personnage de guerrier vieilli, auquel des missions suicide sont confiées par des décideurs qui sont d'une part ses anciens compagnons de combat et d'autre part la nouvelle génération de chefs cyniques et froids, qui ne cherchent qu'à l'utiliser en se débarrassant de lui.

     

      

    CINEMA

    photo  de Tom BERENGER

      

     

    Télévision :

    Récompense :

    Producteur :

     

     

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     al pacino photo 1

      

    Al Pacino est un acteur, réalisateur et producteur de cinéma américain né le 25 avril 1940 à New York aux États-Unis. Il est connu pour ses rôles de Michael Corleone dans Le Parrain (et ses deux suites Le Parrain 2 et Le Parrain 3), de Frank Serpico dans Serpico et de Tony Montana dans Scarface. Il a également tenu le rôle de Carlito Brigante dans L'Impasse, de Sonny Wortzik dans Un après-midi de chien, du Lieutenant Colonel Frank Slade dans Le Temps d'un week-end (pour lequel il a gagné l'Oscar du meilleur acteur en 1992, après 7 nominations), et du Lieutenant Vincent Hanna dans Heat, dans lequel il fait un face-à-face qui fera date avec Robert de Niro.

     

      

    JEUNESSE

    Al Pacino est né à East Harlem, dans le quartier de Manhattan, à New York. Il est le fils de parents italo-américains, Rose (née Gerardi) et Salvatore Alfredo Pacino, qui divorcent quand il a deux ans. Sa mère déménage dans le South Bronx, pour vivre chez ses parents, Kate et James Gerardi, originaires de Corleone, en Sicile. Son père part en Californie et ouvre son propre restaurant. Al Pacino entre plus tard à la High School of Performing Arts, fréquentée également par Robert De Niro. Quand il découvrit l'enseignement des principes du jeu d'acteur selon Stanislavski (« La Méthode »), il le trouva terriblement barbant. Il n'y resta que deux ans, car l'argent vint à manquer et le besoin de trouver un travail fut plus impérieux que celui de poursuivre des études.

      

      

    Carrière

    Années 1960

    La première partie des années 1960 est difficile pour Al Pacino, avec la mort de sa mère en 1962 et celle de son grand-père en 1964. À partir de ce moment, Al Pacino devient insomniaque. Il accumule également de nombreux petits boulots après avoir quitté le système scolaire à 17 ans. Ses petits boulots successifs lui permirent d'entrer en contact avec toutes sortes de personnages. Il fut coursier, vendeur de chaussures, caissier de supermarché, livreur de journaux. Il cira des chaussures et fut déménageur. Il s'essaya grouillot dans un bureau et il fit briller des fruits frais chez un épicier.

    Il aspirait néanmoins à mieux, aussi passa t-il une audition, encore adolescent, pour entrer à l'Actors Studio de Lee Strasberg. Recalé, mais pas découragé pour autant, il suivit un autre cursus de théâtre, le cours Herbert Berghof, où il rencontra Charles Laughton, l'homme qui allait devenir son mentor et son plus proche ami. Non seulement Laughton donna des cours à Al Pacino et le dirigea pour sa première pièce en public (Hello Out There, de William Saroyan), mais il le présenta à des poètes et des écrivains. Al Pacino fut enfin accepté à l'Actors Studio quatre ans plus tard.

      

      

    En 1966, l'argent qu'il a économisé lui permet d'intégrer l'Actors Studio (sous la direction de Lee Strasberg - Hyman Roth dans Le Parrain 2) où il rencontre des acteurs qui deviendront célèbres par la suite, tel que Robert De Niro (qui portait encore son vrai nom à cette époque, Robert Di Niro[réf. souhaitée]). Son travail et son talent lui permettent d'obtenir un Obie Award (récompense pour le théâtre) en 1968 pour The Indian Wants the Bronx, et un Tony Award dès l'année suivante pour Does the Tiger Wear a Necktie?. Peu de temps après, Al Pacino fait ses débuts au cinéma dans Me, Natalie de Fred Coe, en 1969.

     

     

    AL PACINO  

      

    Années 1970

    Al Pacino obtient le rôle principal dans Panique à Needle Park en 1971 de Jerry Schatzberg, drame où il joue un accroc à l'héroïne qui évolue dans le milieu toxicomane à Manhattan. Ce film marque un tournant dans sa carrière car, outre sa bonne prestation, il attire l'attention de Francis Ford Coppola.

    En effet, en 1972, alors que les producteurs tentent de lui imposer Robert Redford pour le rôle de Michael Corleone dans Le Parrain, Francis Ford Coppola, après de longues négociations, choisit Al Pacino, qui est quasiment inconnu à l'époque.

     

      al pacino photo 1

      

    Sa première rencontre avec Marlon Brando est pour lui très stressante, mais reste un des moments les plus importants de sa carrière comme il le définit lui-même ; elle se fera lors de la scène de l'hôpital, lorsque Michael Corleone doit surveiller son père. On connaît la suite : le film est un énorme succès et lance définitivement sa carrière. L'année suivante, il renouvelle sa collaboration avec Jerry Schatzberg pour L'Épouvantail. Al Pacino donne la réplique à Gene Hackman dans ce film qui reçut la Palme d'or au festival de Cannes 1973. La même année, il signe son premier film avec Sidney Lumet : Serpico. Grâce à son interprétation de flic libéral et incorruptible, dans ce film qui fait de bons résultats au box-office, Pacino assoit définitivement sa popularité.

    En 1974, il reprend le rôle de Michael Corleone pour le second volet du Parrain. Cette fois, c'est Robert De Niro qui interprète Vito Corleone (dans sa jeunesse). Le film est un succès et est souvent considéré comme supérieur au premier. Le personnage de Michael Corleone, taciturne et froid, est à l'opposé de Frank Serpico, ce flic instable et colérique qui doute et se démène au sein d'un New York très violent et d'une police corrompue.

     

    Gif animé acteur

      

    En 1975, Pacino incarne un nouveau personnage un peu instable, un braqueur de banque dilettante qui devient très vite populaire grâce à son inexpérience, dans Un après-midi de chien (Dog Day Afternoon) de Sydney Lumet. Deux ans plus tard, il se lance dans le mélodrame avec Sydney Pollack (grand cinéaste des années 1970) qui est aux commandes de Bobby Deerfield (1977).

     

      al pacino photo 1

    Années 1980

    Les années 1980 débutent de façon marquée pour Al Pacino, puisqu'il interprète un policier évoluant dans le milieu homosexuel dans un très sombre polar de William Friedkin, La Chasse (Cruising, 1980). En 1983, c'est la rencontre avec Brian De Palma qui lui offre le rôle de Tony Montana dans Scarface, remake du film de Howard Hawks (Scarface, 1932). Pour toute une génération (principalement les rappeurs), le personnage de Tony Montana est devenu un mythe et un objet de fascination (avec toutes les ambiguïtés que cela comporte), et Al Pacino en fait une très bonne interprétation dans ce rôle d'immigré cubain qui connaît une phénoménale ascension financière et sociale au sein de la pègre tandis qu'il devient fou, dévoré par la paranoïa et la drogue inhérentes à ses activités de gangster. Les années 1980 s'achèveront avec le succès de Mélodie pour un meurtre, entièrement porté sur les épaules d'un Pacino criant de vérité dans son personnage de Frank Keller.

      

      

    Années 1990

     

    Al Pacino tient plusieurs rôles importants dans les années 1990, qui lui permettent de revenir, sinon au premier plan, tout du moins au stade de la reconnaissance indiscutée. Il reprend le rôle de Michael Corleone dans le troisième et dernier volet du Parrain. Sa nouvelle collaboration avec Brian De Palma est une nouvelle réussite : L'Impasse (Carlito's Way). Dans ce film sombre et triste, Al Pacino convainc avec le personnage de Carlito Brigante. En 1992, il interprète dans le film de Martin Brest Le Temps d'un week-end le rôle d'un lieutenant-colonel aveugle, Frank Slade. Ce rôle lui permet enfin de décrocher l'Oscar du meilleur acteur après 7 nominations. Il y partage l'affiche avec un jeune talent, Chris O'Donnell.

     

     

      

    C'est en 1995 que se déroule la première vraie rencontre cinématographique entre Al Pacino et Robert De Niro, dans le film Heat, réalisé par Michael Mann. Les deux acteurs s'étaient déjà côtoyés sur le tournage du Parrain, 2e partie, mais n'avaient joué aucune scène ensemble. Ce film relate le jeu du chat et de la souris auquel se livrent un braqueur de banque d'exception (De Niro) et un inspecteur de police tenace (Pacino) qui a juré de le faire arrêter. Pacino et De Niro sont d'un très haut niveau et nous réservent un face-à-face mémorable.

      

      

    Les seconds rôles, tenus entre autres par Val Kilmer, Tom Sizemore et Jon Voight, sont également convaincants. Le long-métrage rencontrera un important succès critique et commercial. Al Pacino et Robert De Niro figurent a un seul moment dans le même plan, sur la même image, celle des dernières secondes du film quand ceux-ci se tiennent la main et qu'un plan large est exécuté avec vue sur la piste de décollage et les deux hommes au centre.

    En 1996, Pacino passe derrière la caméra pour témoigner de sa fidélité au théâtre avec Looking for Richard, mi-adaptation de Richard III de Shakespeare, mi-documentaire sur le tournage de la pièce dans le film. Après L'Associé du diable, de Taylor Hackford (1997), où l'acteur dépeint un portrait du Diable applaudi des spectateurs et Donnie Brasco (1997), de Mike Newell, Al Pacino nous offre encore deux autres prestations d'acteur, tout d'abord aux côtés de Russell Crowe, dans Révélations (The Insider), de Michael Mann, puis dans L'Enfer du dimanche (Any Given Sunday), d'Oliver Stone.

      

      

    Années 2000

     

    Avec le film S1m0ne, comédie loufoque d'Andrew Niccol, Al Pacino prouve une nouvelle fois au public qu'il peut s'adapter à n'importe quel type de rôle. L'année suivante, il joue pour la première fois aux côtés de Robin Williams dans le remake d'un film norvégien : Insomnia. Le film est une réussite, Al Pacino réussit très bien dans son rôle de flic fatigué et désabusé.

    Après Robin Williams, c'est au tour de Colin Farrell de partager l'affiche du film La Recrue avec Al Pacino.

    En 2003 sort Influences avec Kim Basinger et Téa Leoni, un film malmené par la critique, mais sauvé par la prestation d'Al Pacino.

     

      

    En 2003 toujours, Al Pacino participe au projet du réalisateur Mike Nichols, la série Angels in America, qui comprend 6 épisodes d'environ une heure chacun. Cette série traite de l'homosexualité et du sida dans les années 1980 et la difficulté des homosexuels à surmonter la maladie. Pacino offre une prestation remarquable dans le rôle de Roy Cohn, et il a à ses côtés une des meilleures actrices britanniques du moment : Emma Thompson, ainsi que Meryl Streep, Justin Kirk, ou encore Jeffrey Wright. Un style assez anti-conformiste pour une série très attachante. La performance de Pacino lui vaudra d'ailleurs d'être récompensé par un Emmy Award.

      

    Le Marchand de Venise (2004) inspiré de la pièce de William Shakespeare marque un retour aux sources pour Al Pacino dont le théâtre reste le premier amour. Il y joue le rôle de Shylock, un marchand juif.

     

     

    2007 est l'année où il reçoit le célèbre AFI Life Achievement Award, le plus convoité des prix honorant une carrière. Au cours de la cérémonie, tenue en juin à Hollywood, d'autres immenses acteurs tel que Sean Connery, Kirk Douglas ou encore Robert De Niro affirmèrent que Pacino était certainement le plus grand acteur de sa génération, voire de tous les temps, cela s'expliquant aussi par le fait que Pacino est l'un des rares acteurs à ne s'être jamais écarté un seul instant de la Méthode Strasberg, dite de l'Actors Studio, mais aussi le seul à l'avoir fait aussi longtemps.

      

      

    Fin 2008, il est à l'affiche de La Loi et l'ordre, un film de Jon Avnet (avec qui il a déjà collaboré sur 88 Minutes), dans lequel il a pour partenaires Robert De Niro, Carla Gugino, Donnie Wahlberg et le rappeur 50 Cent. Le film présente les deux acteurs en tant que policiers aux trousses d'un serial killer. Ce sera sa troisième collaboration avec Robert De Niro après Le Parrain II (où ils n'avaient aucune scène en commun) et Heat (où ils n'avaient que très peu de scènes ensemble). Le scénario n'était hélas pas assez inspiré pour les deux acteurs vedettes, mais il fit de bons résultats et permirent aux cinéphiles de les voir ensemble du début à la fin.

     

      

      

    Le 22 octobre 2008, au Festival du film de Rome, Pacino a reçu, en présence de l'acteur Matthew Modine (Full Metal Jacket, Birdy), le Marc Aurèle d'Or. Il semblait très touché par cet honneur qui lui était attribué au nom de sa carrière mais aussi pour le compte de l'Actors Studio, qu'il copréside ; le jury romain l'ayant qualifié comme l'acteur personnifiant le mieux cette entité.

    En 2011, il réalise un nouveau documentaire du même type que celui qu'il a déjà réalisé sur Richard III de Shakespeare qui, cette fois, aborde l'œuvre Salomé d'Oscar Wilde. Il y joue aussi le rôle du roi Hérode.

     

      

    Vie privée

    Al Pacino a trois enfants. Julie Marie, née en 1989 avec Jan Tarrant et des jumeaux, Anton James et Olivia Rose, nés le 25 janvier 2001 avec l'actrice Beverly D'Angelo.

    Il ne s'est jamais marié. Il a trois sœurs et une demi-sœur.

    Démocrate, il prend position pour Barack Obama lors de l'élection présidentielle de 2008.

     Filmographie

    Années 1970

    Années 1980

    Années 1990

    Années 2000

    Années 2010

    Distinctions

    Oscar

    BAFTA Award

    Emmy Award

    • Remporté : Meilleur acteur dans une minisérie pour la télévision pour Angels in America (2004)
    • Remporté : Meilleur acteur dans un téléfilm ou une mini-série pour You Don't Know Jack (2010)

    Golden Globe[modifier]

    • Nommé : Meilleur acteur dans un film dramatique pour Le Parrain (1973)
    • Remporté : Meilleur acteur dans un film dramatique pour Serpico (1974)
    • Nommé : Meilleur acteur dans un film dramatique pour Le Parrain II (1975)
    • Nommé : Meilleur acteur dans un film dramatique pour Un après-midi de chien (1976)
    • Nommé : Meilleur acteur dans un film dramatique pour Bobby Deerfield (1978)
    • Nommé : Meilleur acteur dans un film dramatique pour Justice pour tous (1980)
    • Nommé : Meilleur acteur dans une comédie pour Avec les compliments de l'auteur (1983)
    • Nommé : Meilleur acteur dans un film dramatique pour Scarface (1984)
    • Nommé : Meilleur acteur dans un film dramatique pour Mélodie pour un meurtre (1990)
    • Nommé : Meilleur acteur dans un second rôle pour Dick Tracy (1991)
    • Nommé : Meilleur acteur dans un film dramatique pour Le Parrain III (1991)
    • Nommé : Meilleur acteur dans un second rôle pour Glengarry (1993)
    • Remporté : Meilleur acteur dans un film dramatique pour Le Temps d'un week-end (1993)
    • Remporté : Cecil B. DeMille Award (2001)
    • Remporté : Meilleur acteur dans une mini-série pour la télévision pour Angels in America (2004)
    • Remporté : Meilleur acteur dans une série pour la télévision pour You don't know Jack (2010)

    Doublage

    Au début, le doublage de la voix d'Al Pacino se partageait entre Sylvain Joubert et Bernard Murat. À partir de 1995 José Luccioni devient son doubleur officiel[1].

     

      

    SOURCES

    WIKIPEDIA

     

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    Biographie

    Dustin Hoffman
    L'un des acteurs US les plus intelligents et attachants, Dustin Hoffman a commencé sa carrière au théâtre en 1964 dans la pièce de Samuel Beckett "En attendant Godot". Ce fils d'un décorateur de plateau, ancien étudiant en art dramatique à la Pasadena Community Playhouse puis à l'Actor's Studio de New York du célèbre Lee Strasberg, est remarqué par Mike Nichols au cours d'une représentation de "Eh?" à Broadway. Le cinéaste l'engage pour tenir l'un des rôles principaux du Lauréat pour lequel il avait été en discussions avec Warren Beatty et Robert Redford.%%%
    Le succès du film et la notoriété dont il jouit soudainement lui permettent d'obtenir d'autres premiers rôles et de profiter du fantastique essor du cinéma étasunien des années 1970. Il varie les registres, multiplie les tournages de films dont la plupart sont depuis devenus des classiques du Septième art. Il tient ainsi le rôle de Ratso Rizzo dans Macadam cowboy, joue dans Little Big Man, Les Chiens de paille de Sam Peckinpah, aurait pu être Michael Corleone dans Le Parrain, aide Papillon joué par Steve McQueen à s'évader, devient Lenny Bruce pour Bob Fosse.
    Il incarne ensuite le journaliste du "Washington Post" Carl Bernstein dans Les Hommes du president d'Alan J. Pakula avant de tomber entre les mains d'un dentiste tortionnaire joué par l'immense Laurence Olivier dans le thriller Marathon man. Son interprétation de père divorcé dans Kramer contre Kramer de Robert Benton lui vaut, après trois nominations, son premier "Oscar" de meilleur acteur.
    Travesti en femme pour être Tootsie, la "doublure" d'un comédien au chômage, Hoffman bouleverse ensuite en autiste prodige chaperonné par son frère cadet joué par Tom Cruise dans Rain Man. Deux grands succès assortis d'une nouvelle nomination et d'une seconde statuette qui, heureusement, éclipsent sa malheureuse participation au artistiquement désertique Ishtar.
    Un virage s'amorce au début des années 1990. Moins de bons premiers rôles (Dutch Schultz dans Billy Bathgate avec Nicole Kidman, le capitaine Crochet dans Hook de Spielberg, Bernard 'Bernie' Laplante dans Hero de Stephen Frears) et davantage de seconds (Sleepers de Barry Levinson avec lequel il tourne néanmoins l'année suivant Des hommes d'influence aux côtés de Robert de Niro qu'il retrouvera en 2004 pour Mon beau-père, mes parents et moi) pour ce Californien exigeant, réputé difficile à diriger et qui aurait voulu devenir... pianiste de jazz.
    La décennie suivante est également marquée par des rôles de soutien, ceux de Neverland ou de L'Incroyable destin de Harold Crick notamment. AlHolg

    Citation :
    "L'euthanasie est légale à Hollywood. On tue le film s'il ne réussit pas immédiatement"

    Galerie de photos

    (c) aeroangel3.tripod.com(c) statesymbolsusa.org(c) img179.imageshack.us(c) myfavouritejew.com(c) my-autographs.de


     

      

      

      

      

    Filmographie

    Voici les films auxquels Dustin Hoffman a participé. 

     

    Gif animé Artiste - Les Chiens de paille

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     
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    La gérante d'un magasin de jouets magiques, qui prennent vie grâce à l'esprit du propriétaire, se voit proposer son acquisition lorsque la santé de ce dernier décline. Mais les tendances dépressives d [...]

     

    2 messages


    2006
    Le Parfum : histoire d'un meurtrier (Das Parfum - Die Geschichte eines Mörders) (Cinéma) - Réal. Tom Tykwer - Ben Whishaw, Dustin Hoffman, Rachel Hurd-Wood
    DVD Z1 : Critique/ DVD Z2 : sorti

    Au 18ème siècle, en France vit Jean-Baptiste Grenouille, un être dôté d'un sens de l'odorat unique au monde. Ce-dernier va alors commettre des actes atroces afin de maîtriser toutes les odeurs que le [...]

     

    5 messages


    2006
    L'Incroyable destin de Harold Crick (Stranger Than Fiction) (Cinéma) - Réal. Marc Forster - Will Ferrell, Maggie Gyllenhaal, Dustin Hoffman
    DVD Z1 : sorti / DVD Z2 : sorti

    Harold Crick, fonctionnaire du fisc sans histoires, se met un jour à entendre une voix qui commente tout ce qu'il vit, y compris ses pensées les plus intimes. L'homme, aux habitudes de vie parfaitemen [...]

     

    3 messages


    2005
    Adieu Cuba (The Lost City) (Cinéma) - Réal. Andy Garcia - Andy Garcia, Dustin Hoffman, Tomas Milian
    DVD Z1 : Critique Web / DVD Z2 : Critique Web

    1958, Cuba est alors à des années de l'image de paradis tropical que l'île se prête à diffuser puisque chaque jour voit son peuple pâtir de l'obscure dictature du sévère et proaméricain Batista. L'épo [...]

     

    4 messages


    2004
    Mon beau-père, mes parents et moi (Meet the Fockers) (Cinéma) - Réal. Jay Roach - Robert De Niro, Ben Stiller, Dustin Hoffman
    DVD Z1 : Critique Web/ DVD Z2 : sorti

    Après une présentation assez rocambolesque à ses futurs beaux-parents, Gaylord Focker dit Greg a réussi malgré bien des déboires à intégrer le 'cercle de confiance' de la famille et a sympathiser avec [...] (dvdalliance.net)

     

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    2004
    J'adore Huckabees (I Heart Huckabees) (Cinéma) - Réal. David O. Russell - Jason Schwartzman, Isabelle Huppert, Dustin Hoffman
    DVD Z1 : Critique Web/ DVD Z2 : sorti

    Albert Markovski vit une série de coïncidences troublantes dont le sens lui échappe. Avec l'aide de deux detectives "existentiels", Bernard et Viviane Jaffe, Albert analyse sa vie, ses relations amour [...] (allocine.fr)

     

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    2004
    Neverland (Finding Neverland) (Cinéma) - Réal. Marc Forster - Johnny Depp, Kate Winslet, Julie Christie
    DVD Z1 : Critique Web/ DVD Z2 : sorti

    Londres, début du XXe siècle. L'écrivain James M. Barrie est en quête d'un nouvel élan, dans sa vie comme dans son oeuvre : son mariage avec la comédienne Mary Ansell est dans l'impasse, et le public [...]

     

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    2003
    Le Maître du jeu (Runaway Jury) (Cinéma) - Réal. Gary Fleder - John Cusack, Gene Hackman, Dustin Hoffman
    DVD Z1 : Critique Web / DVD Z2 : Critique Web

    Trois ans après l'assassinat de son mari et de onze de ses collègues sous les balles d'un tueur fou, Celeste Wood espère que soient sanctionnés les fabricants d'armes impliqués dans ce tragique fait d [...] (dvdactu.be)

     

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    2003
    Confidence (Cinéma) - Réal. James Foley - Edward Burns, Rachel Weisz, Andy Garcia
    DVD Z1 : Critique Web/ DVD Z2 : sorti

    Jake Big, un petit escroc, vole sans le savoir plusieurs milliers de dollars appartenant à un gros bonnet de la pègre. Le jeune homme va devoir rattraper son erreur en organisant, pour le compte du ca [...]

     

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    2002
    Moonlight Mile (Cinéma) - Réal. Brad Silberling - Jake Gyllenhaal, Dustin Hoffman, Susan Sarandon
    DVD Z1 : Critique Web

    Joe décide de rester dans la maison familiale de sa fiancée qui a été tué dans un accident. Une enquête a tout de même été ouverte par le procureur, pour connaître les causes exactes de la mort de la [...] (allocine.fr)

     

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    1999
    Jeanne d'Arc (Joan of Arc) (Cinéma) - Réal. Luc Besson - Milla Jovovich, Dustin Hoffman, Faye Dunaway
    DVD Z1 : sorti / DVD Z2 : sorti

    Jeanne n'a que huit ans lorsqu'en 1420, elle assiste à la destruction de son village lorrain, Domrémy, par des soudards anglais. Ayant vu, impuissante, sa sœur se faire violer puis tuer, elle apaise s [...]

     

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    1998
    Sphère (Sphere) (Cinéma) - Réal. Barry Levinson - Dustin Hoffman, Sharon Stone, Samuel L. Jackson
    DVD Z1 : Critique Web / DVD Z2 : Critique Web

    L'armée américaine a détecté au fond de l'océan Pacifique la carlingue d'un vaisseau spatial englouti depuis déjà plus de 300 ans. Elle organise très rapidement une première expédition réunissant à so [...]

     

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    1997
    Des Hommes d'influence (Wag the Dog) (Cinéma) - Réal. Barry Levinson - Dustin Hoffman, Robert De Niro, Anne Heche
    DVD Z2 : sorti

    Un scandale sexuel éclate à la Maison Blanche juste avant les élections. Pour détourner l'attention des médias hystériques, on fait appel à Conrad Brean, expert en manipulation de l'opinion publique. [...] (cinefil.com)

     

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    1997
    Mad City (Cinéma) - Réal. Costa-Gavras - John Travolta, Dustin Hoffman, Mia Kirshner
    DVD Z2 : sorti

    Sam Baily, un gardien de musée paumé, vient d'apprendre son licenciement. Pour comprendre les raisons de son renvoi, il revient sur les lieux de son travail et tente d'infléchir la décision de sa patr [...]

     

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    1996
    Sleepers (Cinéma) - Réal. Barry Levinson - Kevin Bacon, Billy Crudup, Robert De Niro
    DVD Z1 : sorti / DVD Z2 : sorti

    Shakes, Michael, John et Tommy sont d'inséparables gamins du quartier chaud de Hell's Kitchen des années 60. Une plaisanterie stupide les conduit pour quelques mois en prison, où ils subissent sans br [...] (cinefil.com)

     

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    1996

    1995
    Alerte ! (Outbreak) (Cinéma) - Réal. Wolfgang Petersen - Dustin Hoffman, René Russo, Morgan Freeman
    DVD Z1 : sorti / DVD Z2 : Critique Web

    Le colonel Sam Daniels et son équipe de l'Institut de recherche sur les maladies infectieuses font une visite-éclair dans un village du Zaïre ravagé par un terrible virus. De retour aux Etats-Unis, ta [...]

     

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    1994
    Actors Studio (Inside the Actors Studio) (Série TV) - Réal. Lou Del Prete, Jeff Wurtz - James Lipton, Ben Affleck, Alan Alda
    DVD Z1 : sorti / DVD Z2 : Critique

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    1993
    Le Grand détournement (La Classe américaine) (Télévision) - Réal. Michel Hazanavicius, Dominique Mezerette - John Wayne, Dustin Hoffman, Paul Newman

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    1992
    Héros malgré lui (Hero) (Cinéma) - Réal. Stephen Frears - Dustin Hoffman, Geena Davis, Andy Garcia
    DVD Z2 : Critique Web

    Eternel looser et arnaqueur bas-de-gamme, Bernie LaPlante n'en sauve pas moins une journaliste-vedette de la télévison d'un avion en flamme. Du coup la belle, qui recherche son mystérieux sauveur, en [...] (cinefil.com)

     

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    1991
    Hook ou la revanche du capitaine Crochet (Hook) (Cinéma) - Réal. Steven Spielberg - Dustin Hoffman, Robin Williams, Julia Roberts
    DVD Z1 : Critique Web/ DVD Z2 : sorti

    Peter Pan, à présent adulte, est devenu Peter Banning, un grand avocat d'affaires, sérieux et débordé. Il a tiré un trait sur son passé, s'est marié et a eu deux enfants, qu'il a tendance à négliger. [...]

     

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    1991
    Billy Bathgate (Cinéma) - Réal. Robert Benton - Dustin Hoffman, Nicole Kidman, Loren Dean
    DVD Z1 : Critique Web / DVD Z2 : Critique Web

    Dans les années 30, Billy Bathgate (Dean) entre dans le gang de Dutch Schultz (Hoffman), chef de bande froid et cynique qui vient d'assassiner son associé Bo Weinberg (Willis) et de s'approprier la ma [...]

     

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    1989
    Family Business (Cinéma) - Réal. Sidney Lumet - Sean Connery, Dustin Hoffman, Matthew Broderick
    DVD Z1 : sorti / DVD Z2 : Critique

    Quand on demande le grand-père McNullen, on a un truand, petit voleur à petits coups. Quand on demande le père, on a un petit commerçant aux méthodes pas toujours très honnêtes et quand on demande le [...] (cinefil.com)

     

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    1988
    Rain Man (Cinéma) - Réal. Barry Levinson - Dustin Hoffman, Tom Cruise, Valeria Golino
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    A la mort de son père, Charlie Babbitt, compte sur l'héritage de son père pour se sortir d'ennuis financiers. Mais à sa grande surprise, il se découvre un frère autiste à qui son père lègue l'ensemble [...]

     

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    1987
    Ishtar (Cinéma) - Réal. Elaine May - Warren Beatty, Dustin Hoffman, Isabelle Adjani
    DVD Z2 : sorti

    Parce qu'ils vont croiser la route d'une passionaria de la révolution à la beauté sublime, Lyle et Chuck, un vendeur de glaces et un chanteur raté vont être entraînés dans une farandole d'aventures fa [...]

     

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    1985
    Mort d'un commis voyageur (Death of a Salesman) (Télévision) - Réal. Volker Schlöndorff - Dustin Hoffman, Kate Reid, John Malkovich
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    Willy Loman, commis-voyageur, sillonne les Etats-Unis depuis 36 ans. Il a su acquérir une certaine notoriété, mais il est maintenant au bout du rouleau. Sa déception quant à l'avenir de ses 2 fils à l [...] (cinefil.com)

     

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    Michael Dorsey a beau être un excellent comédien, son humeur versatile lui a valu beaucoup d'ennemis dans la profession. Il végète dans un cours d'art dramatique depuis dix ans sans réussir à percer. [...]

     

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    Kramer contre Kramer (Kramer vs. Kramer) (Cinéma) - Réal. Robert Benton - Dustin Hoffman, Meryl Streep, Jane Alexander
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    Le Récidiviste (Straight Time) (Cinéma) - Réal. Ulu Grosbard - Dustin Hoffman, Theresa Russell, Gary Busey
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    1976
    Marathon Man (Cinéma) - Réal. John Schlesinger - Dustin Hoffman, Laurence Olivier, Roy Scheider
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    Babe Levy, nouvellement diplômé de l'Université et coureur de marathon, mène une enquête pour retrouver l'identité de son père disparu. Cela le plonge malgré lui dans le monde impitoyable des intrigue [...]

     

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    Les Hommes du président (All the President's Men) (Cinéma) - Réal. Alan J. Pakula - Dustin Hoffman, Robert Redford, Jack Warden
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    L'affaire avait éclaté comme une bombe et Richard Nixon y perdit ses fonctions et son titre de Présidents des Etats-Unis. Evènement historique déclenché par les investigations et les révélations de de [...]

     

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    1974
    Lenny (Cinéma) - Réal. Bob Fosse - Dustin Hoffman, Valerie Perrine, Jan Miner
    DVD Z1 : Critique Web/ DVD Z2 : sorti

    La vie du comique américain Lenny Bruce, provocateur et drogué, qui défraya la chronique dans les années 1960 et fut notamment le modèle de Coluche en France.

     

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    1973
    Papillon (Cinéma) - Réal. Franklin J. Schaffner - Steve McQueen, Dustin Hoffman, Victor Jory
    DVD Z1 : sorti / DVD Z2 : sorti

    Condamné à vie au bagne de Cayenne dans la colonie française de Guyane pour un meurtre qu'il n'a pas commis, Papillon ne rêve que d'une chose : s'évader à tout pris. Pour l'aider à financer son évasio [...] (cinefil.com)

     

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    1972
    Alfredo, Alfredo (Cinéma) - Réal. Pietro Germi - Dustin Hoffman, Stefania Sandrelli, Carla Gravina
    Timide employé de banque, Alfredo (Dustin Hoffman) mène une vie sans histoire jusqu'au jour où il a le malheur de témoigner de l'intérêt à la volcanique Maria-Rosa (Stefania Sandrelli). Prête à tout p [...]

     

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    1971
    Les Chiens de paille (Straw Dogs) (Cinéma) - Réal. Sam Peckinpah - Dustin Hoffman, Susan George, Peter Vaughan
    DVD Z1 : Critique Web/ DVD Z2 : sorti

    David, jeune mathématicien, fuit l'Amérique et son atmosphère orageuse. Il émigre en Cornouailles où il est confronté dès son arrivée à l'agressivité des autochtones. Atteint dans ses convictions, il [...]

     

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    1970
    Little Big Man (Cinéma) - Réal. Arthur Penn - Dustin Hoffman, Faye Dunaway, Chief Dan George
    DVD Z1 : Critique Web / DVD Z2 : Critique Web

    A l'âge de 121 ans, le vieux Jack Crabb est le seul rescapé du massacre de Little Big Horn. Il accepte de se confier à un journaliste venu l'interviewer. Recueilli par les Cheyennes à l'âge de 10 ans, [...]

     

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    1969
    Macadam cow-boy (Midnight Cowboy) (Cinéma) - Réal. John Schlesinger - Dustin Hoffman, Jon Voight, Sylvia Miles
    DVD Z1 : sorti / DVD Z2 : Critique Web

    Joe Buck, un Texan, est persuade qu'il fera fortune a New-York en seduisant toutes les filles qui se trouveront sur son passage. Il ne doute pas que ses conquetes remunereront genereusement ses servic [...] (cinefil.com)

     

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    1969
    John et Mary (John and Mary) (Cinéma) - Réal. Peter Yates - Dustin Hoffman, Mia Farrow, Michael Tolan
    DVD Z1 : sorti

    New-York. Mary se réveille dans les bras d'un inconnu, John, qu'elle a rencontré la veille dans un bar. Elle profite du sommeil de son compagnon pour fouiller dans son appartement afin d'en savoir un [...]

     

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    1967
    Le Lauréat (The Graduate) (Cinéma) - Réal. Mike Nichols - Anne Bancroft, Dustin Hoffman, Katharine Ross
    DVD Z1 : Critique Web/ DVD Z2 : sorti

    Ses études achevées, le jeune Benjamin Braddock rentre chez lui, couvert de diplômes. Ses parents donnent une grande réception au cours de laquelle Ben rencontre madame Robinson, une femme mûre. A la [...]

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Mieux vaut tenir sa langue dans le 69 !

    Olivier Marchal rêve à part. Il ne s'est pas trompé de monde en nous racontant celui qui lui colle à la peau. « Gendarmes et voleurs » reste son jeu de prédilection. Cette fois, c'est sur le voleur que sa caméra est en planque. Libre adaptation de la biographie d'Edmond Vidal, virtuose braqueur des années 70. Le rideau s'ouvre sur un Gérard Lanvin préoccupé, anxieux de la barbe blanche, qui accède sur une terrasse face à la mer, se pose pour laisser poindre une pensée d'homme qui croyait avoir déjà vécu le pire. Et puis la narration s'installe. On prend le train en route, on se laisse guider, un peu décontenancé par les soubresauts du convoi.

    Une histoire d'amitié entre truands sur plusieurs dimensions temporelles. Code de conduite strict, la parole sacrée qui tient lieu de serment. On savait se tenir en ce temps-là. Issus du peuple, les voyous respectaient la charte des fondamentaux humains. On fleurissait du mauvais côté du trottoir, mais quand on évoluait dans la foule, les racines bruissaient, on suscitait de la crainte mais on jouissait aussi d'un certain prestige, la conscience tenait le pavé.

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    C'est un film qui ne manque pas de gueules. Elles sont un rien caricaturales, mais c'est voulu. Sinon, y'a du grain, de l'huile, du camphre, le scénar a mijoté jusqu'au petit frisson et la réalisation, touillée à la cuiller de bois. Le rythme est saisissant, monstre asynchrone qui s'emballe jusqu'au chaos général. Image soignée, maltraitée par instant, mais dans l'ensemble, on évolue sous le lustre pampille, l'esthétique du Studio Harcourt. Lumière, pénombre, clair-obscur des tracas de l'âme. Dialogue minimaliste qui cherche à faire mouche. Résultat un peu bluffant.

    Beaucoup de destins se croisent. Défi sur tous les plans. Mais casse-gueule comme pas deux. A-t-il réussi son pari Olivier Marchal ? Si y'a bien une erreur de goût, d'emblée, c'est le générique. Digne des séries B amerloques diffusées sur TF1 le samedi soir pour doper l'adrénaline des téteurs de Red bull. On entre dans l'histoire comme dans un ascenseur programmé pour aller et venir sur les paliers des diverses époques de la vie des héros. Le procédé fonctionne plutôt bien mais la transition est quelque peu pulsionnelle. Autour, c'est pas des enfants de chœurs, la messe est basse, le sabre tiré au clair en permanence. Scènes de violence précises, intenses, bien orchestrées, très réalistes, trop sans doute. Le libre-arbitre du réalisateur n'arrête pas le combat avant le KO, la caméra filme la sale besogne jusqu'au bout du détail. A l'arrivée, l'effort n'est pas récompensé. Le « déjà-su » emporte le zèle de l'ellipse, le « déjà-vu » donne presque envie de détourner le regard.

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    Tout s'articule autour d'une amitié d'enfance, du parcours de deux copains Edmond Vidal (Gérard Lanvin) et Serge Suttel (Tcheky Karyo) qui divergent après l'arrestation du gang des lyonnais. L'équation du temps qui passe sous les verrous. L'inconnu d'une parole qui reste en suspend comme un trousseau de clefs à la serrure d'un point d'honneur. Gérard Lanvin, fermé à double tour, livre une partition sobre et fataliste. Sa présence est irréprochable, mais c'est le manque de vie, d'émotions, de culture viscérale qui provoque cette impression de manque de chaleur. En revanche, Tcheky Karyo ne semble pas avoir trouvé dans ce rôle, la possibilité d'exprimer les nuances de son talent. Lui qui sait si bien manier l’ambiguïté des comportements, on le retrouve ici quelque peu emprunté, au ralenti de sa pulsation, à la limite du hors-jeu. Le commissaire (Patrick Catalifo) semble lui se contenter de compter les points derrière un miroir sans tain. La conviction fait défaut. On n'a peut-être pas assez exigé de lui pour contrecarrer plus solidement la morgue tenace des « tontons gitans. »

    Acteurs et actrices suivent ce faux rythme avec plus ou moins de bonheur. Certaines scènes sont particulièrement réussies. Deux personnages tirent leur épingle du jeu : Dimitri Stroroge (Edmond Vidal jeune) qui porte l'intensité de son rôle avec un naturel sensible et détonnant, et Olivier Rabourdin (Charles Bastiani) qui en très peu de temps, marque d'une empreinte sûre l'une des plus belles scènes du film.

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    Olivier Marchal n'a pas encore la dramaturgie d'un Sergio Leone, le lyrisme d'un Francis Ford Coppola, la concision d'un Martin Scorsese, la noirceur d'un Jean-Pierre Melville, la folie d'un Emir Kusturica, mais je ne doute pas que ce film lui permette d'enrichir la palette de son talent. Il nous a remis une sorte de devoir, un exercice de style appliqué qui lui tenait à cœur. « Les lyonnais » mérite quand même le détour, ne serait-ce que pour la promesse qui s'y cache.

    En attendant le prochain, avec une volonté qui devrait lui permettre de se libérer des contraintes de l'action, pour approfondir l'influence des contextes et les répercussions inattendues sur le destin des « mecs ». Et ces « mecs », flics ou voyous, il les aime assez pour les sublimer, nous faire oublier leurs erreurs de jeunesse et croire à leur rédemption, quelque soit leur camp. Voilà pourquoi peut-être, tous les espoirs sont permis.

      

    ALDO CAMPO

      

      

    sources - BLOG - http://aldocampo.blogs.sudouest.fr/tag/studio+harcourt

      

      

     

      

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    L'histoire

     

    Le Beau Serge : Après une longue absence d’une dizaine d’années, François revient dans son village d’origine. Mais une fois sur place, bien des choses ont changé : l’ambiance amicale a disparu, son ami Serge est devenu alcoolique. François va tenter de le sortir de cet enfer.

    Les Cousins : Charles, jeune étudiant, vient terminer ses études à Paris et profite de l’hospitalité que lui offre son cousin Paul. Le tempérament radicalement opposé des deux cousins ne sera pas sans conséquences.

     

    Analyse et critique

     

      

      

    A la fin des années 50, Claude Chabrol écrit avec un certain brio nombres de dialogues de films sans grande envergure. Baignant avec ses amis (Truffaut, Rohmer, Godard et Rivette principalement) dans un bain que l’on appellera "La nouvelle vague", Chabrol peine à trouver un financement pour filmer son scénario original intitulé Le Beau Serge. Jusqu’au jour où la grand-mère de sa première femme décède et laisse plusieurs millions de francs à sa disposition. Ainsi naît le film à l’écran.

    Même si chronologiquement, il n’est pas le premier film à être assimilé au mouvement de La Nouvelle Vague, Le Beau Serge est, un an avant A Bout de souffle, celui qui contribua à la définir, tant par ses ambitions que par ses prises de position vis-à-vis du cinéma de l’époque (en particulier Français).

      

    Le Beau Serge est donc le premier film de son auteur. Pour le juger à sa juste valeur, il convient de se remémorer le contexte dans lequel il a été pensé, conçu et réalisé.
    A l’instar de Truffaut, Chabrol ne porte guère dans son cœur le cinéma d’après-guerre (à quelques exceptions près). Comme ils l’ont d’ailleurs reconnu plusieures années plus tard, leur conception du cinéma était avant tout fondée sur le rejet du cinéma "à papa".
     

    Le cinéma de cette époque est donc résolument marqué du sceau de la contestation, de l’amertume et de la virulence. D’où une vision plutôt sombre et désenchantée de leur art.

    C’est dans cette atmosphère que baigne Le Beau Serge et son successeur (tourné dans la foulée), Les Cousins. Ces deux films sont donc des coups de pieds dans la fourmilière cinéma de la fin des années 50.
     

    Une formule célèbre dit que tout premier film est autobiographique, Chabrol l’applique presque à la lettre. Hormis le fait qu’il va tourner son film dans son village d’enfance, entouré d’amateurs, amis et proches, ce premier long est très métaphorique.

      

    Paul arrive dans son village comme Chabrol arriverait sur les terres du cinéma après avoir été critique. Sa vision du 7è art se ressent particulièrement dans le fait que Paul découvre un lieu connu métamorphosé, en ruines voire en décomposition (le ravage de l’alcool) ; lieu en quelques sortes à l’image du cinéma Français des années 50.

      

     

      

    Tout respire ici donc la liberté de faire du cinéma, d’agir sans la pression d’un producteur et d’aborder sans tabou des thèmes aussi divers qu’osés comme la déchéance humaine, l’alcoolisme ou encore le suicide. Cette audace du fond va de pair avec une forme en parfaite adéquation avec le contenu. La mise en scène (qui n’est pas encore le principal souci de Chabrol) colle de près à ses personnages, à leurs sentiments, leurs regards, en un mot, à leur intériorité. Nul doute que quelqu’un comme Cassavetes a du être influencé par ses films (cf Faces entre autres). Ces deux longs-métrages, plus que n’importe quel autre film français de l’époque, offrent une vision des plus critiques de l’être humain, les jeunes en prenant particulièrement pour leur grade (Ils ne lisent plus que du porno et des policiers). Le Beau Serge et Les Cousins racontent tous deux le revirement et le basculement de la vie d’un homme : son éloignement progressif de la vie sociale (brillamment illustré dans Les Cousins par l’utilisation de la musique). Les films nous offrent en outre la possibilité de découvrir plusieurs grands talents parmi lesquels Bernadette Lafont, Jean-Claude Brialy et surtout Gérard Blain, remarquable de finesse et d’émotion dans les deux films.

      

      

      

    Le cinéma de Chabrol ressemble en somme au personnage de Paul dans Les Cousins : à l’écart, presque isolé, glaçant sans pour autant être distant. 1959 est donc une grande année pour le cinéma Français puisque sort la même année Les 400 Coups, films également acclamé, autant par la public que par la critique. Une nouvelle route est désormais tracée.

    Le cinéma Français ne sera désormais jamais plus comme avant.

      

      

    Article écrit par  Par Leopold Saroyan - le 17 janvier 2003

      

    Sources - BLOG http://www.dvdclassik.com/critique/le-beau-serge-chabrol

      

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    LES CASSE-PIEDS

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    De son vrai nom Lucien Noël, Noël-Noël est un acteur français né à Paris le 9 août 1897, mort à Nice le 4 octobre 1989.

     

      

    BIOGRAPHIE

    Né à Paris, fils d'un garçon de recette à la Banque de France, il fait ses études au lycée Turgot. Il apprend le piano. En 1914, il est employé de banque, avant d'être mobilisé en 1916. De retour à la vie civile, il devient dessinateur humoristique au Canard enchaîné notamment, tout en essayant de se produire comme chansonnier dès 1920.

    Il débute aux Noctambules en s'accompagnant lui-même au piano; Il passe ensuite à La Pie qui chante. À partir de 1927, il participe aux revues du Théâtre de Dix-Heures: Ah! la bonne heure (1927), C'est l'heure exquise (1928)

    Noël-Noël ne cesse à cette époque d'écrire et de composer: Le chapeau neuf, L'enterrement, Souvenir d'enfance, La soupe à Toto, Les étrennes… Il enregistre ces chansons qui illustrent les petits faits de la vie quotidienne, en 1931 pour la firme Odéon.

    Avec La Prison en folie (Henry Wulschleger, 1930), il commence une carrière d'acteur au cinéma. On le retrouve, entre autres, dans Mistigri (Harry Lachman, 1931), Monsieur Albert (Karl Anton, 1932), L'Innocent (Maurice Cammage, 1937), dont il est le co-scénariste. Sur le plancher des vaches (Pierre-Jean Ducis, 1940) dont il est scénariste.

      

     

      

      

    Paul Colline, chansonnier et scénariste, lui confie le rôle d'Adémaï Joseph, petit paysan naïf et rusé, victime d'innombrables mésaventures qu'il incarne dans quatre films :

      

      

    Toutefois, dans le dernier volet Adémaï au poteau-frontière (1949), le personnage est incarné par Paul Colline lui-même.

    Il devient une vedette et se produit plus rarement sur scène. Toutefois, il passe à l'A.B.C., chaque fin d'année à partir de 1934. D'octobre 1938 à la guerre, il anime une émission sur Radio-Cité aux côtés de Saint-Granier. Il continue de se produire sur scène pendant l'occupation, à l'A.B.C. (octobre 1940), à l'Européen (décembre 1940), au Théâtre de Dix-Heures (mai 1941), à l'Etoile (mai 1943). Il est ensuite interdit par les nazis après avoir chanté Vaches de boches.

    En 1945, il tient le rôle de Clément Matthieu dans La Cage aux rossignols, en plus de participer au scénario et aux dialogues. C'est ce film qui inspira Les choristes.

      


    Le père tranquille - Juste punition

    par

    Noël-Noël

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    Son plus grand rôle est sans doute celui qu'il tint dans le Père tranquille (1946), où il joue le rôle d'un Français moyen, apparemment homme égoïste surtout préoccupé par ses orchidées, en fait chef d'un réseau de la Résistance. Ce film permet à Noël-Noël d'abandonner pour quelque temps les rôles comiques, mais il y revient très vite, notamment avec les Casse-pieds (1948).

      

      

    En 1950, il réalise La Vie chantée, film dans lequel il interprète ses succès : Les Polonais, Le maladroit, Les départs, Mariage mondain, Le rasoir du coiffeur

    Parmi les grands succès d'audience, il faut noter À pied, à cheval et en voiture (1957), film qui sera suivi un an plus tard par À pied, à cheval et en spoutnik, dont Noël-Noël sera le scénariste (il avait déjà participé à la réalisation du Père tranquille).

    Il joue encore dans Messieurs les ronds-de-cuir (1959), puis dans Les Vieux de la vieille, film dans lequel il partage l'affiche avec Jean Gabin et Pierre Fresnais, et où il campe un formidable personnage, plein de malice et de tendresse. Il abandonne ensuite peu à peu l'écran. Il tente sa chance comme réalisateur en 1971 avec Le Voyageur des siècles, film dont l'intrigue est basée sur une machine à remonter le temps.

    Par la suite, Noël-Noël s'éloigne du cinéma, vivant une vieillesse tranquille à Nice, où il s'éteint le 4 octobre 1989. Il est inhumé à Ambernac en Charente.

    Il contribua à la création du Festival de Confolens, festival d'arts et traditions populaires du monde. En souvenir de lui, la ville de Confolens attribua son nom à l'un de ses collèges (de son vivant).

     

     

    Photos fournies par www.encinémathèque.net

     

      

    L'homme privé …

    Noël-Noël est le fils de Charles-Célestin Noël, marchand de vins puis employé à la Banque de France, et de Marie-Eugénie Mathieu ( un patronyme dont il affuble ses personnages de «La cage aux rossignols» et de «La sentinelle endormie»)

    Il se marie en secondes noces à Isabelle Lavallée. Le couple aura une fille, Anne-Marie.

    Il achète, en 1935, le Château de Praisnaud à Ambernac en Charente, pays d'origine de son épouse. Le succès de «Le père tranquille» lui permettra de restaurer la bâtisse. Ambernac est une toute petite commune bien calme. Noël-Noël y repose avec son épouse et un membre de sa famille sous une grande dalle de marbre sombre.

    Le château de Praisnaud est à présent une maison d'hôtes. Il se trouve sur le hameau de Saint-Martin, qui dépend d'Ambernac, sur la route d'un autre petit village, Alloue, situé à 6 kilomètres. Ce petit bourg a eu le privilège de compter parmi ses habitants l'actrice Maria Casares. Personne n'a su nous dire si les deux voisins ont eu l'occasion de se rencontrer, mais cela est fort possible, les deux propriétés étant très proches.

    A Confolens, jolie sous-préfecture provinciale, le souvenir de l'artiste est un peu plus présent, même s'il semble que les jeunes générations le méconnaissent.Leur collège porte pourtant son nom ainsi qu'un square et un rond-point. Confolens accueille annuellement un festival d'arts et traditions populaires du monde qui est très attendu. Nous avons pu apprendre que Noël-Noël s'est particulièrement intéressé à ce festival, lors de ses débuts.

    A Paris, le comédien habitait du côté de l'Avenue du Général Lyautey. Esthète, d'un goût raffiné, il avait accepté que des photographes d'art immortalisent son appartement. Il y avait comme voisin entre autres Daniel Gélin.

    Quelques citations de Noël-Noël

     

    • "Les courtisans sont toujours plats, les courtisanes ne le sont jamais".
    • "Les symptômes de la fatigue et de la paresse sont les mêmes".
      
    L'épisode “Vache de Boches” !

    Pendant la guerre, Noël-Noël se produisait dans le répertoire des chansonniers et interprétait une chanson qu'il terminait par un "Vache de boches !". Il désirait convaincre les officiers de la censure allemande que sa chanson était d'une innocence parfaite. Les autorités occupantes lui toléraient à la rigueur "Vaches de Fritz !", mais notre Ademaï leur rétorquait que ce serait moins drôle. Et avec sa malice innée, d'ajouter : "Si vous me laissez chanter comme je le veux, cela prouvera votre largesse d'esprit".

    De guerre lasse, les officiers le laissèrent faire. Seulement, ce fut du coup un succès énorme, des applaudissements sans fin. La chanson qui dans son premier contexte était drôle et innocente prenait l'air d'une chanson frondeuse ! Évidemment, le numéro fut interdit. Comme dit Michel Duran dans un article de la revue Minerve de 1945, "Il fut assez Adémaï pour s'en étonner".

    «La famille Duraton»

    Ce feuilleton radiophonique connut son heure de gloire après la guerre, même si la série a commencé en 1937, sur Radio-Cité. Il mettait en scène des français moyens dans leur vie quotidienne et des millions de français se retrouvaient dans ce divertissement sympathique. La plupart du temps, il s'agissait d'échanges autour de la table familiale.

    Jules BerryJules Berry disait que tout ce qui se disait à la table de Noël-Noël en une seule soirée, pouvait inspirer près d'un mois de feuilleton !

    Le feuilleton, géré par Jean-Jacques Vital, dura jusqu'en 1966 (Radio-Andorre). Un film en fut tourné avec Ded Rysel et Darry Cowl (1955).

     

      

      

    Filmographie Acteur

      

    1930 la Prison en folie de Henry Wulschleger

    1931 CORDON BLEU de Karl Anton

    1931 MONSIEUR ALBERT de Karl Anton

    1931 Quand te tues-tu ? de Roger Capellani

    1931 Mistigri de Harry Lachman

    1932 MON CŒUR BALANCE de René Guissart

    1932 Une étoile disparaît de Robert Villiers

    1932 PAPA SANS LE SAVOIR de Robert Wyler

    1932 POUR VIVRE HEUREUX de Claudio de la Torre

     

    1933 ADÉMAÏ AVIATEUR de Jean Tarride

    1933 MANNEQUINS de René Hervil

    1933 MON CHAPEAU de Lucien Jaquelux

     

    1933 UNE FOIS DANS LA VIE de Max de Vaucorbeil

    1933 VIVE LA COMPAGNIE de Claude Moulins

    1934 MAM'ZELLE SPAHI de Max de Vaucorbeil

     

    1935 ADéMAÏ AU MOYEN-ÂGE de Jean de Marguenat

    1936 MOUTONNET de René Sti

    1936 TOUT VA TRÈS BIEN, MADAME LA MARQUISE de Henry Wulschleger

    1937 L'INNOCENT de Maurice Cammage

    1939 LA FAMILLE DURATON de Christian Stengel

    1939 Sur le plancher des vaches de Pierre-Jean Ducis

    1942 LA FEMME QUE J'AI LE PLUS AIMÉE de Robert Vernay

    1943 Adémaï bandit d'honneur de Gilles Grangier

    1944 LA CAGE AUX ROSSIGNOLS de Jean Dréville

      

      

    1946 LE PÈRE TRANQUILLE de René Clément et Noël-Noël

    1948 LES CASSE-PIEDS de Jean Dréville

    1948 RETOUR A LA VIE de Jean Dréville

    1950 LA VIE CHANTÉE de Noël-Noël

     

    1951 LES 7 PÉCHÉS CAPITAUX de Jean Dréville

     

    1952 la Fugue de Monsieur Perle de Pierre Gaspard-Huit

    1954 LE FIL A LA PATTE de Guy Lefranc

    1955 Les carnets du major Thompson de Preston Sturges

    1956 BONJOUR TOUBIB de Louis Cuny

    1956 LA TERREUR DES DAMES de Jean Boyer

    1956 LES TRUANDS de Carlo Rim

      

      

    1957 à pied, à cheval et en voiture de Maurice Delbez

    1958 LE SEPTIÈME CIEL de Raymond Bernard

    1958 À pied, à cheval et en spoutnik de Jean Dréville

    1958 MESSIEURS LES RONDS-DE-CUIR de

    Henri Diamant-Berger

      

    1960 LES VIEUX DE LA VIEILLE de Gilles Grangier

     

     

    1961 LA SAGE-FEMME, LE CURÉ ET LE BON DIEU de Jessica et Jean Negulesco

    1961 LES PETITS MATINS de Jacqueline Audry

    1965 LA SENTINELLE ENDORMIE de

    Jean Dréville

      

      

     

      

     

      

    Photos fournies par www.encinémathèque.net

     

      

    Filmographie Réalisateur

      

      

    1946 LE PÈRE TRANQUILLE Co-réalisateur René Clément

     

    1950 LA VIE CHANTÉE

     

     

      

    Filmographie Scénariste

    1931 La disparue de Louis Mercanton (C.m.)

     

    1934 Le centenaire de Pierre-Jean Ducis (C.m.)

     

    1936 MOUTONNET de René Sti

    1939 Sur le plancher des vaches de Pierre-Jean Ducis

    1939 LA FAMILLE DURATON de Christian Stengel

    1946 LE PÈRE TRANQUILLE de René Clément et Noël-Noël

    1948 RETOUR A LA VIE de Jean Dréville

    1948 LES CASSE-PIEDS de Jean Dréville

    1950 LA VIE CHANTÉE de Noël-Noël

    1956 BONJOUR TOUBIB de Louis Cuny

    1958 À pied, à cheval et en spoutnik de Jean Dréville

    1965 LA SENTINELLE ENDORMIE de Jean Dréville

     

     

      

    Filmographie Dialoguiste

    1937 L'INNOCENT de Maurice Cammage

     

    1939 LA FAMILLE DURATON de Christian Stengel

     

    1939 Sur le plancher des vaches de Pierre-Jean Ducis

     

    1944 LA CAGE AUX ROSSIGNOLS de Jean Dréville

     

    1946 LE PÈRE TRANQUILLE de René Clément et Noël-Noël

     

    1948 LES CASSE-PIEDS de Jean Dréville

     

    1948 RETOUR A LA VIE de Jean Dréville

     

    1950 LA VIE CHANTÉE de Noël-Noël

     

    1954 LE FIL A LA PATTE de Guy Lefranc

     

    1958 À pied, à cheval et en spoutnik de Jean Dréville

     

    1965 LA SENTINELLE ENDORMIE de Jean Dréville

     

     

      

    Filmographie Compositeur

     

    1932 PAPA SANS LE SAVOIR de Robert Wyler

     

    1936 MOUTONNET de René Sti

     

    1950 LA VIE CHANTÉE de Noël-Noël

     

     

      Avec l'accord du Responsable du Cinéma FRANCAIS

      

      

     

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    Michel Creton, né le 17 août 1942 à Wassy (Haute-Marne), est un acteur de cinéma français

    Biographie :

      

      

     Après son certif' et son CAP de photograveur, il décide qu'il sera comédien, et le devient. Après avoir été l'élève de Robert Manuel, il sort du conservatoire avec deux premiers prix. Il fait ses premiers pas à la télé dans l'émission de Pierre Sabbagh, Au théâtre ce soir.

     

     

      

    Si sa carrière souffre un peu de l'ombre du « grand frère » Bébel, il s'affirme cependant à travers une centaine de rôles au théâtre et au cinéma : sur le grand écran, dans des rôles secondaires ; à la télévision, dans certains rôles principaux.

     

     

     

    De septembre à décembre 1992, il anime La nuit des héros sur Antenne 2.

    De 2001 à 2009, il incarne le héros d'une série, un commandant solitaire, rude et juste qui aide ses semblables, dans la série Central Nuit de France 2.

     

     

     

     

     

    Le 13 janvier 1989, l'amendement qui porte son nom concrétise sa lutte constante pour améliorer le sort des jeunes polyhandicapés.

     

    Début 2011, à Cambrai (Nord) une résidence " Michel Creton " est inaugurée sur le site de l'association " Les Papillons Blancs du Cambrésis ". Association qui se dévoue dans l'accompagnement des personnes handicapées mentales de cette région.

     

     

     

     Héros de "Central Nuit", récente série policière à grand succès, diffusée sur France 2, Michel Creton continue de lutter pour que justice soit faite. Son combat ? Que l'amendement portant son nom, visant à améliorer le sort des jeunes polyhandicapés, soit mis en application. Portrait.

     

     

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    Né en 1942, à Wassy (Haute-Marne), Michel Creton a la ténacité et la sensibilité des petits gars de l'Est. Après son certif' et son CAP de photograveur, le jeune homme décide qu'il sera comédien. Et le devient.

    Si sa carrière souffre un peu de l'ombre du "grand frère" Bébel, par ailleurs son meilleur ami dans la profession, l'humanisme et le réalisme du comédien font mouche au théâtre comme au cinéma à travers une centaine de rôles.

     

    Et l'acteur enrage que certains continuent, des lustres plus tard, de lui parler et de ne l'associer qu'au fameux "Bip-Bip" des Bronzés.

     



    Des rôles de solitaire au grand coeur, il en a tenu des dizaines. Mais l'homme n'est pas à vendre au star-system. Est-ce la raison pour laquelle les seconds rôles lui seront souvent dévolus dans bon nombre de séries TV (Commissaire Moulin, Navarro...) ?  



    Le théâtre l'a un peu mieux loti. On se souvient de sa magnifique prestation de truand plein de panache dans "Coupable ou non coupable" de Robert Hossein, l'hiver dernier à Marigny.

    Depuis quelques mois, Michel Creton incarne (enfin) le héros de la série "Central Nuit" de France 2, un commissaire solitaire, rude et juste qui aide ses semblables.

    Vu le succès rencontré, la suite des épisodes est en "écriture".

    Un rôle qui lui ressemble. A la mesure de l'homme qui, depuis trente-six ans et sa rencontre avec son filleul Laurent, n'a jamais baissé les bras pour faire reconnaître les droits à une existence "presque comme les autres" des jeunes polyhandicapés.

    Ce marathonien accompli a bien l'intention de poursuivre la route de la justice et du coeur.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Michel Creton était à Longuyon pour le tournage du téléfilm"Marie-Cavale", avec France Anglade, mis en scène par Francis Fehr,si je me souviens bien.

    J'avais été avec d'autres jeunes longuyonnais embauché sur le tournage comme "manoeuvre".

    Le film se déroulait en partie aumanège équestre de Jaumonbois, propriété de Mme Bécard.

    Michel Creton, grand sportif par ailleurs, pratiquait sansproblème l'équitation, mais aussi la course à pied entre les prises de vues.

     

     


    1979, Longuyon, Marie-Cavale, Michel Creton

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Photos fournies par www.encinémathèque.net

     

     Olivier Marchal et Michel Creton au Festival Scenaristes en Séries. 16/10/09

     

    Filmographie Acteur

     

    1966 BRIGADE ANTIGANGS de Bernard Borderie

     

    1966 UN HOMME DE TROP de Costa Gavras

     

    1966 L'HOMME QUI TRAHIT LA MAFIA de Charles Gérard

     

    1967 Vivre la nuit de Marcel Camus

     

    1967 LA PETITE VERTU de Serge Korber

     

    1968 BÉRU ET CES DAME de Guy Lefranc

     

    1968 LA VOIE LACTÉE de Luis Buñuel

     

    1968 MISTER FREEDOM de William Klein

     

    1969 LA HONTE DE LA FAMILLE de Richard Balducci

     

    1970 Et qu'ça saute ! de Guy Lefranc

     

    1970 MAX ET LES FERRAILLEURS de Claude Sautet

     

    1972 UN MEURTRE EST UN MEURTRE de Etienne Périer

     

    1972 AU RENDEZ-VOUS DE LA MORT JOYEUSE de Juan Luis Buñuel

     

    1972 Le dingue de Daniel Daërt

     

    1974 Au-delà DE LA PEUR de Yannick Andrei

      

    Мишель Кретон (Michel Creton) - "По ту сторону страха" (1975)

      

     

    1974 Impossible... pas français de Robert Lamoureux

     

    1976 Armaguedon de Alain Jessua

      

    Мишель Кретон (Michel Creton) - "Прекрасные господа из Буа-Доре" (1976)

      

     

    1977 Monsieur Papa de Philippe Monnier

      

      

     

    1978 LES BRONZÉS de Patrice Leconte

     

     

     

     

    1979 Mais qu’est-ce que j’ai fait au Bon Dieu pour avoir une femme qui boit dans...etc. de Jan Saint-Hamont

     

    1981 PSY de Philippe de Broca

     

    1983 LE GRAND CARNAVAL de Alexandre Arcady

     

    1983 UN BON PETIT DIABLE de Jean-Claude Brialy

     

    1984 SOUVENIRS SOUVENIRS de Ariel Zeitoun

     

    1984 LES MORFALOUS de Henri Verneuil

     

    1985 Paris-minuit de Frédéric Andréi

     

    1986 TENUE DE SOIRÉE de Bertrand Blier

      

      

     

    1987 LE SOLITAIRE de Jacques Deray

     

    1987 A GAUCHE EN SORTANT DE L'ASCENSEUR de Édouard Molinaro

     

    1990 IL Y A DES JOURS ET DES LUNES de Claude Lelouch

     

    1997 SOLEIL de Roger Hanin

     

    2000 À deux sur la comète de Alexandre Mehring

     

     

     

     

     

     

     

     

     

      

     

     

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    SOURCES : wikipedia -

    avec l'accord de l'Administrateur - du http://www.cinema-francais.fr/les_acteurs/acteurs_c/creton_michel.htm

    photos google- http://www.planet.fr/michel-creton.15007.html

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    HISTOIRE du CORSET

      

      

    Jess Hahn, acteur américain....qui a vécu en France...et qui a participé au Débarquement en Normandie le 6 juin 44

     

    Jess Hahn

    Naissance

    29 octobre 1921

    Terre Haute (Indiana) États-Unis

    Nationalité États-Unis France

    Décès

    29 juin 1998 (76 ans)

    Saint-Malo France

    Profession(s) Acteur

    Films notables

    La Môme vert-de-gris

    La Valse du Gorille

    Le fauve est lâché

    Le Signe du Lion

    Les Barbouzes

    Les Grandes Gueules

    Les Tribulations d'un Chinois en Chine

    Boulevard du rhum

    L'Île mystérieuse

     

      

      

    Jess Hahn est un acteur américain naturalisé français, né le 29 octobre 1921 à Terre Haute dans l'Indiana (États-Unis) et mort le 29 juin 1998 à Saint-Malo (France). Il a effectué l'essentiel de sa carrière en France.

     

    Biographie

     

    Il s'illustre au cours de la Seconde Guerre mondiale en combattant dans les rangs des Marines.

     

    Il participe au débarquement de Normandie.

     

      

      

    En 1949, il revient s'installer définitivement en France à Pleurtuit où il se lie d'amitié avec le peintre Geoffroy Dauvergne.

     

    Après avoir tenté une carrière de musicien, il devient acteur. Il se spécialise dans les seconds rôles, en général de personnages américains, souvent comme homme de main, gangster, militaire…

      

    On le voit ainsi aux côtés de Jean-Paul Belmondo dans Cartouche ou dans Les Barbouzes de Georges Lautner. Dans un registre différent, il joue le rôle principal du film d'Éric Rohmer Le Signe du lion, celui d'un musicien perdu dans un Paris estival de déshérence et qui tombe dans la misère de s'être cru trop tôt l'héritier d'une riche défunte ; constituant un portrait parfait de ces écrivains et autres artistes américains tangentant l'histoire de Paris parfois au point d'y laisser trace, sillonnant lointainement Hemingway comme derrière un fantasme d'eux-mêmes.

     

     Le Ricain

      

      

    Ce rôle restera son seul rôle principal chez un cinéaste majeur et ce début de carrière au sommet en sera également la fin, plus jamais - malgré cette vraie prestation - on ne lui proposera autre chose que des rôles de registre "lautnerien" dont poings et carrure sont le viatique.

     

     

      

    Sa carrière s'essouffle peu à peu dans les années 1970. Il tourne dans plusieurs séries B sous la direction de Jean-Marie Pallardy. Dans les années 1980, il tourne peu, se retirant en Bretagne où il possède une exploitation agricole. Il meurt à Saint-Malo en 1998 après avoir longtemps fréquenté le Dinard Golf, à Saint-Briac-sur-Mer, où son jeu de gaucher ne passait pas inaperçu.

     

    HISTOIRE du CORSET

     

    Filmographie

     

    1952 : Deux de l'escadrille de Maurice Labro

    • 1953 : de Bernard Borderie : (Le marin geôlier)La Môme vert-de-gris
    • 1953 : - (Act of love) de Anatol Litvak : (Un soldat)Un acte d'amour
    • 1953 : - (Father Brown) de Robert HamerDétective du bon dieu
    • 1953 : d'Henri Verneuil : ("Walter le vicieux", un homme de main)L'Ennemi public numéro un
    • 1954 : de Norbert Carbonnaux : (Le marin américain)Les Corsaires du Bois de Boulogne
    • 1955 : de John BerryÇa va barder
    • 1955 : de Pierre Gaspard-Huit : (L'américain)Sophie et le crime
    • 1955 : d'André Hunebelle : (Jérôme K. Smith, un locataire)L'Impossible Monsieur Pipelet
    • 1955 : de Edmond T. GrévilleTant qu'il y aura des femmes
    • 1955 : de Jean Boyer : (Le général Gibson)La Madelon
    • 1955 : d'Alex Joffé : (Un hussard)Les Hussards
    • 1956 : La Meilleure Part d'Yves Allégret :(Karl, un mineur du barrage)
    • 1956 : de Georges Lampin : (Henry)Rencontre à Paris
    • 1956 : de Robert Vernay : (Richard Brown)Ces sacrées vacances
    • 1956 : de Guy Lefranc : (Jim harlan, le gérant du saloon)Fernand Cow-boy
    • 1956 : de Richard Pottier : (Butler, le valet)La Châtelaine du Liban (La Castellana del Libano)
    • 1957 : Le Coin tranquille de Robert Vernay : (Edouard dit : "Eddy")
    • 1957 : de Maurice Labro : (Jess)Le Colonel est de la revue
    • 1957 : de Maurice Labro : (Kalpannen)Action immédiate
    • 1957 : de Jeffrey Hayden : (André Morel)Les Vendanges (The Vintage)
    • 1957 : de Gene Kelly : (Le sergent Morgan)La Route joyeuse (The Happy Road)
    • 1957 : ou d'Yves Allégret : ("La Couture", un tueur)Quand la femme s'en mêleSans attendre Godot
    • 1957 : de Jack PinoteauLe Triporteur
    • 1957 : Nathalie de Christian-Jaque : (Sam)
    • 1958 : de Léo JoannonLe Désert de Pigalle
    • 1958 : de Jacques Pinoteau : ("Chris Craft", l'espion américain)Chéri, fais-moi peur
    • 1958 : de Pierre Chevalier : (Raffles)Le Sicilien

    Le signe du lion

    • 1959 : d'Éric Rohmer : (Pierre Wesserlin)Le Signe du lion
    • 1959 : d'Yves Ciampi : ("Chewing-Gum", le marin blessé)Le Vent se lève (Il Vento si alza)
    • 1959 : de Maurice Labro : (Donald)Le fauve est lâché
    • 1959 : de Julien Duvivier : (Sidney)La Femme et le Pantin
    • 1959 : ou de Yvan Govar : (Dave)Ce soir on tueY'en a marre
    • 1959 : de Bernard Borderie : ("Ted the Hook")La Valse du Gorille
    • 1961 : de Michel Gast : (Jeff Gordon)Le Sahara brûle
    • 1961 : de Richard Fleischer : (Ferguson)Le Grand Risque (The Big Gamble)
    • 1961 : de Jean Bastia : (Le sergent Bob)Dynamite Jack
    • 1962 : de Daniel Costelle - (court métrage)Coup de feu à dix-huit heures
    • 1962 : d'Yvan Govar : (Bugsy Weis)Que personne ne sorte
    • 1962 : de Jean Jabely : (Sam)Une blonde comme ça
    • 1962 : de Philippe de Broca : ("La Douceur")Cartouche
    • 1962 : de Robert Guez : (Brad)Mon oncle du Texas
    • 1962 : de Jean-Paul Le Chanois : (Bertrand, le braconnier)Mandrin, bandit gentilhomme
    • 1962 : - (The trial) d'Orson Welles : (Un sous-inspecteur)Le Procès
    • 1962 : de Jean Girault, dans le sketch : Le repas gastronomique : (Le chauffeur de taxi)Les Veinards
    • 1963 : - (Verspätung in Marienborn) de Rolf HaedrichLe Train de Berlin est arrêté
    • 1964 : de Jules Dassin : (Hans Fisher)Topkapi
    • 1964 : de Georges Lautner : (Le commandant O'Brien)Les Barbouzes
    • 1964 : de Jean Girault : (Boris Alexis Alexevitch, le maquilleur)Les Gorilles
    • 1964 : de Philippe de BrocaUn monsieur de compagnie
    • 1965 : de Robert Enrico : (Nénesse)Les Grandes Gueules
    • 1965 : de Philippe de Broca : (Cornélius)Les Tribulations d'un Chinois en Chine
    • 1965 : de Pierre Grimblat : (Palmoni)Cent briques et des tuiles
    • 1965 : de Clive Donner : (Mr. Werner)Quoi de neuf, Pussycat ? (What's New, Pussycat?)
    • 1965 : - (New York chiama Superdrago) de Giorgio Ferroni : ("Baby Face")New York appelle Super Dragon
    • 1965 : de Michel Deville : (Fêtard)On a volé la Joconde
    • 1966 : de René Gainville : (Floyd Delaney)Le Démoniaque
    • 1966 : de Claude Bernard-Aubert : (Jess parker)Le facteur s'en va-t-en guerre
    • 1966 : de Christian Jaque : (Hoppy Uniatz)Le Saint prend l'affût
    • 1966 : - (Triple Cross) de Terence Young : (Le commandant Braid)La Fantastique Histoire vraie d'Eddie Chapman
    • 1967 : de Michel Boisrond : (Henry)L'Homme qui valait des milliards
    • 1967 : de Terence Hathaway / Sergio Grieco : (Eddy Bennet)Rapporto Fuller, base Stoccolma
    • 1967 : - (La Feldmarescialla) de Steno : (Le major Bill Hocks)La Grosse Pagaille
    • 1967 : - (Troppo per vivere...poco per morire) de Michèle Lupo : (Boris)Qui êtes-vous inspecteur Chandler
    • 1968 : () d'Hubert Cornfield et Richard Boone : (Wally)La Nuit du lendemainThe Night of the Following Day
    • 1968 : de André Farwagi - (court métrage) : (J.B Jenkins)L'Ombre dans la glace
    • 1970 : de Claude Bernard-Aubert : (Bob Daniels)L'Ardoise
    • 1970 : de Robert Enrico : (Piet, alias : "Big Dutch")Boulevard du Rhum
    • 1970 : de Guy Casaril : (L'américain)Les Novices
    • 1970 : - (El hombre de Rio Malo) de Eugenio Martin : (Tom Odie)Les Quatre Mercenaires d'El Paso
    • 1970 : de Marcel Camus : (Le colonel anglais)Le Mur de l'Atlantique
    • 1970 : de Georges Lautner : ("Congo")Laisse aller, c'est une valse
    • 1971 : - (Das Mädchen von den Sternen) de Rudolph ThomeSupergirl
    • 1972 : de Norbert Carbonnaux : (La capitaine)L'Ingénu
    • 1972 : - (Sicilian connection) de Ferdinando BaldiLa Filière
    • 1972 : - (Il grande duello) de Giancarlo Santi : ("Bighorse")Le Grand Duel
    • 1973 : - (Dio, sei propio un padreterno) de Michele Lupo : (Jeannot)L'Homme aux nerfs d'acier
    • 1973 : - (La isla misteriosa y el capitan Nemo) de Juan Antonio Bardem et Henri Colpi : (Bonaventure Pencroft)L'Île mystérieuse
    • 1973 : (Feuilleton télévisé) de Jean-Pierre Decourt : JeffDocteur Caraïbes
    • 1974 : Des Lauriers pour Lila
    • 1974 : de Duccio Tessari : (Le barman)Les Durs (Tough Guys) - (Uomini duri)
    • 1974 : de Jean-Pierre Mocky : (Walter)Un linceul n'a pas de poches
    • 1976 : Les cinq dernières minutes (TV), le pied à l'étrier
    • 1977 : de Ronald Kolher : (Le manager)Johnny West
    • 1977 : de Jean-Marie Pallardy : (Jeff)Le Ricain
    • 1977 : de Jean-Claude Tramont : (Le général Harris)Le Point de mire
    • 1978 : d'André Cayatte : (Un agent de la C.I.A)La Raison d'État
    • 1979 : de Michel NervalLes Borsalini
    • 1980 : de Boris Szulzinger : (Le commissaire)Mama Dracula
    • 1980 : de Alexandre Alov et Vladimir Naoumov : (Le second terroriste)Téhéran 43, nid d'espions
    • 1982 : Ultimatum
    • 1983 : Mark Twain : le voyage des innocents (The Innocents Abroad)
    • 1984 : de Jean-Marie Pallardy : (Sam)Vivre pour survivre
    • 1984 : de Henri Verneuil : Alcide KalouandeLes Morfalous
    • 1984 : de Philippe Clair : (Mac Douglas)Par où t'es rentré ? On t'a pas vu sortir
    • 1986 : de Jean-Michel Ribes : (Morrison le réalisateur T.V)La Galette du roi
    • 1987 : de Jean-Marie Pallardy : (Le docteur)Overdose

      

    Théâtre

    • 1954 : de Peter Ustinov, adaptation Marc-Gilbert Sauvajon, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre FontaineL’Amour des quatre colonels
    • 1957 : de Jacques Deval, mise en scène Robert Manuel, Théâtre des AmbassadeursLa Prétentaine
    • 1959 : de Joseph Hayes, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre MarignyLe Vélo devant la porte
    • 1960 : d'Alexandre Breffort, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre des AmbassadeursImpasse de la fidélité
    • 1963 : de Gabriel Arout, mise en scène Jean Piat, Théâtre Saint-GeorgesLaure et les Jacques
    • 1964 : de François Billetdoux, mise en scène de l'auteur, Théâtre de l'AmbiguComment va le monde, Môssieu ? Il tourne, Môssieu
    • 1966 : de Jacques Deval, mise en scène Robert Manuel, Théâtre MarignyLa Prétentaine
    • 1968 : de Neil Simon, adaptation d'Albert Husson, en partenariat avec Philippe Dumat et Colette Ripert au sein des Tournées Charles Baret. Au Théâtre de Laval, le mercredi 13 mars 1968, administrateur Jacques Valois. Robert Bourzeix, directeur du Théâtre, avait programmé cette même semaine, le film (ou ) de René Gainville où Jess Hahn y tenait un rôle.Drôle de coupleLe DémoniaqueMeurtre en liberté
    • 1969 : d'Alfonso Leto, mise en scène Pierre Franck, Théâtre de l'ŒuvreLa Fille de Stockholm

     

     

     

     

      
      
      
      
      
      
     
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