• STEEVE Mc QUEEN

     

     

     

     

     

     

    McQueen Steve (1930-1980)

     

    Steve McQueen, de son vrai nom Terence Steven McQueen, naît le 24 mars 1930 à Beech Groove, dans l’Indiana.

    Il est le fils de William McQueen, un cascadeur de cirque, et de Julia Crawford encore une adolescente de 19 ans.

    Dès sa naissance, il est confié à son grand-oncle, propriétaire d’une ferme de Slater, dans le Missouri. Quelques mois plus tard, son père décède :

    Steeve en souffrira tout particulièrment. Il dira : « ma vie a été bousillée dès le début ».

     

     

      

      

    Julia tente de l’élever mais la tâche est au-dessus de ses forces.

      

    Elle confie son fils à son grand-oncle et elle part pour la Californie chercher un travail. Steve se pli aux travaux à la ferme, s’occupe des animaux et prend goût à la vie au grand air.

    A ses 9 ans, sa mère revient le chercher et l’enmène à Indianapolis pour y vivre avec son nouveau concubin. Rien ne se passe comme prévu entre lui et son beau-père au point qu’il préfère errer dans les rues.

      

     

      

      

      

    Plus les années passent, plus la situation se dégrade. Julia change régulièrement de companon et Steve a déjà bien grandit. Désormais adolescent, il passe son temps dans les rues où il se fait arrêter pour les rixes qu’il entraine.

    Sa mère ne le contrôle plus. Elle le confe à la Junior Boy’s Republica Chinon de Californie où l’autorité est exercée par les élèves et non les adultes. Mais Steve refuse de se plier aux règles établient et fugue au bout de la 3ème semaine seulement.

     

      

      

    Lorsqu’il est retrouvé, un marché lui est proposé : soit il rentre dans le rang, soit il entre en prison.

      

    Il finit par réintégrer le centre et quelques semaines plus tard il commence à se socialiser. Il dira d’ailleurs :

      

      

    « on ne nous faisait pas seulement traire les vaches, on nous laissait nous en occuper complètement ».

      

      

    A 15 ans, il sort du centre. Il rejoint sa mère à New York mais un fossé s’est creusé. Il ne reste plus qu’à Steve de trouver sa voie et ses atouts.

    Il quitte sa mère et exerce divers métiers : matelot, groom d’hôtel, ouvrier de pétrole, vendeur à la sauvette, bûcheron…

      

    En avril 1947, il s’engage dans la Marines.

      

    Il y passe 3 années tout en étant sûr que ce n’est absolument pas sa voie. De retour à New York, il s’installe à Greenwich Village. Ce changement de décor lui permet de parler avec des intellectuels et oublie ses poings.

     

      

    Néanmoins, il a besoin d’un travail. Il recommence les petits boulots : fabricant de fleurs artificielles, réparateur de pneus, chauffeur de taxi et même vendeur d’encyclopédies.

      

    En 1951 c’est la révélation !! Sa compagne lui parle d’une carrière théâtrale en suivant des cours de Sandford Meisner. Celui-ci remarque son potentiel d’acteur. Après une figuration (où il n’a qu’une réplique) dans un pièce, Steve s’inscrit au cours d’Utta Hagen et Herbert Berghof et décroche son 1er grand rôle dans

    « Peg O’my heart ».

     

      

      

      

    Bien que ce ne soit pas la gloire, il a la conviction d’avoir trouvée sa vocation. Il passe une audition à l’Actor’s Studio où il obtient une bourse :

    il figure parmi les 5 admis sur 2000 candidats !!!!!!

      

    Ce début de notoriété lui permet d’entamer une carrière à la télévision dans « Studio One ». Dans la foulée, il part en tourner jouer « Time out of Ginger » puis obtient le rôle dans « The Gap » à Broadway.

      

     

      

     

    Remarqué, il est sollicité pour remplacer Ben Gazzara dans une autre pièce : « A Hatful of rain » où il joue un drogué. Bien qu’il soit peu connu du public, il commence à être très apprécié par les professionnels.

      

     

      

      

      

    En 1956, cette confiance se manifeste lorsqu’Hollywood le réclame pour figurer dans le film « Marqué Par La Haine » avec Paul Newman (qui remplace James Dean décédé dans son accident de voiture) et Pier Angeli (grand amour de James Dean). Même s’il n’apparaît que 2 fois, il reçoit l’impulsion nécessaire pour s’engager encore davantage.

     

     

      

      

    Il tombe follement amoureux de l’actrice Neile Adams grâce à Mark Ridell.

    Steve l’épouse le 2 novembre 1956 jusqu’à leur divorce 26 avril 1972.

    Ils eurent 2 enfants : Chad né en 1960 et Terry (1959-1998).

      

      

      

    Neile abandonne sa carrière et refuse le rôle titre de Maria dans « West Side Story » que Natalie Wood acceptera.  

     

     

    1956 - 1972

     

     

     

     

     

     

      

     

     

     

     

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    BTW. Neile Adams is completely awesome and cool and HILARIOUS (watch This Could Be The Night) and CLEARLY Ali McGraw could never be even nearly as cool as her. SO yeah. (Ali McGraw annoys me, OKAY?! ;-D)

     

     


    Steve McQueen with his wife Neile and daughter Terry... 
     

      

      

    Elle de décide de ne participer qu’à des séries télé.

    Steve décroche rapidement des rôles de plus en plus importants.

      

     

    Fichier:Steve McQueen.png  

      

      

    Dès 1957, il en obtient 3 coup sur coup : « Never Love A Stranger », « Danger Planétaire » et « Hold-Up En 20 Secondes ». Pourtant il ne perce toujours pas.

    En 1958, la chance tourne !! Steve tourne un épisode de « Trackdown ».

    Le producteur souhaite remplacer la série.

     

      

      

    Il compte sur un nouveau sénario traitant d’aventures d’un chasseur de primes.

    Le feuilleton diffusé par la CBS durera 3 ans et comptera 94 épisodes (71 diffusés en France).

     

     

      

    Pour l’acteur c’est une chance inouïe !! Steve souhaite faire évoluer son personnage malgré les réticences des producteurs soient présentes. La rupture de contrat est souvent frôlée mais ils finissent par accepter ses choix.

     

     

     

     

     

    Les réalisateurs et producteurs apprécient son exigence professionnelle, son entêtement et son refus de jouer la star.

      

     

      

      

    John Sturges l’engage pour « La Proie Des Vautours ». Il est si impressionné qu’il le rappelle pour « Les Sept Mercenaires » avec Yul Brynner et James Coburn.

      

     

    Fichier:Steve McQueen 1960.JPG

      

      

    Malgré les mésantentes entre Yul et lui, le film est un succès considérable.

    Le public se précipite dans les salles.

    En 1961, tout va bien autant du côté professionnel que privé.

     

     

      Gif Homme

     

     

      

    Il est père de 2 enfants et le film affiche que des salles complètes. Avec sa réputation de sale caractère, Richard Thorpe l’engage pour jouer dans

      

    « Branle-Bas Au Casino » : fini le dur !! Il joue un personnage juvénile optimiste !!

     

     

      

      

      

    Même s’il tire son épingle du jeu, il faudra reconnaître que ses personnages d’hommes durs sont plus interessants. Juste après, il revient avec un film d’action : « L’Enfer Est Pour Les Héros » qui dénonce la guerre et l’héroïsme inutile.

     

      

        

      

    Il enchaine avec « L’Homme Qui Aimait La Guerre » où il joue le héros solitaire quasi déshumanisé.

      

     

      

      

    Puis il accepte de jouer dans « La Grande Evasion » : il s’agit sans aucun doute de son meilleur rôle. Lors de sa sortie en salle, les jeunes se battent pour obtenir des tickets.

     

      

      

      

    En 1963, il accepte de jouer avec Natalie Wood dans « Une Certaine Rencontre » où il se transforme en musicien vulnérable et fragile alors que sa partenaire est tout le contraire.

    C’est loin d’être une réussite commercial mais le film vaut la peine d’être vu.

     

      

      

    Il enchaine « La Dernière Bagarre » et »Le Sillage De La Violence » mais le public n’accroche pas. Il exige un Steve McQueen plus speed.

      

      

      

    Dans le film La Canonnière du Yang-Tsé de Robert Wise, Steve McQueen est le mécanicien en chef d'une cannonière, le San Pablo, qui remonte le fleuve Yang-tse.

    Nous sommes en 1926, le patrouilleur se retrouve en plein cœur de la guerre civile chinoise qui oppose le Kuomintang et le parti communiste. Alors que la guerre du Vietnam fait rage, Wise se pose la question du patriotisme et de la dignité humaine.

    Un contexte différent mais qui ne représente pas moins la présence militaire américaine en Indochine. Le film reçoit huit nominations aux Oscars. McQueen ressort son uniforme  de marin qu'il a avait déjà bien élimé lors de son passage chez les Marines américains. Il endosse pour le film, la marinière assortie à ses yeux bleus. Séducteur envoutant, l'acteur a tout du style du parfait  voyou hollywoodien des années 1960 .

    McQueen tourne son premier film en 1956, Marqué par la haine de Robert Wise. Celui qui lui offre une première apparition dans un film hollywoodien lui propose dix ans plus tard le rôle principal dans la canonnière du Yang-Tse.

    L'interprête de Josh Randall enchaine les succès : Les sept mercenaires, la Grande évasion, Papillon et ne cessera de tourner jusqu'à sa mort prématurée en 1980. Démesure, nonchalance, indifférence, les déboires de sa vie se reflètent dans ses rôles, il ne cessera d'incarner des figures rebelles et solitaires.

    Dans la lignée des acteurs comme Paul Newman, ou Marlon Brando, McQueen est entré au panthéon des acteurs hollywoodiens et restera tout au long de sa carrière imperturbable dans le rôle de l'éternel justicier. Charisme et présence incroyable, trente ans après sa mort, le regard de McQueen charme toujours.

      

    En 1965, il renoue avec le succès avec « Le Kid De Cincinnati ». Il réincarne le héros solitaire antipathyque face à Edward G. Robinson.

      

    Le public retrouve son héros et tout redémarre.

      

      

      

    Juste après, il joue dans « La Cannonnière Du Yang Tse », film ambitieux qu’il co-produit.

    Le succès est moyen, le public vient mais les critiques sont agressives. Il passe le cap sans problème et joue dans un film mythique : « Nevada Smith ».

     

     

    Musique (Vinyles) - Steve McQueen

     

    Mais à l’époque le succès n’est pas au rendez-vous.

     

      

      

      

      

    Le public l’estime trop âgé pour ce rôle. Il décide de changer de registre en choisissant de jouer dans « L’Affaire Thomas Crow ».

    Plus rien à voir avec ses précédants rôles. Il se transforme en miliardaire élégant qui organise un hold-up non pas pour l’argent mais pour le goût du risque.

     

     

      

      

    Ce film est censé mettre en avant ses qualités de séducteur et de montrer qu’il peut être autre chose qu’un solitaire. Il montre même un certain talent pour embrasser Faye Dunaway : il s’agit du baiser le plus long de tout l’histoire du cinéma !!!!!!

      

     

     

     

    C’est un beau succès populaire mais Steve n’aime pas ce rôle. Il préfère les films d’action et décide de ne pas continuer dans ce registre.

     

      

     

      

      

    Il se jette alors sur le film « Bullitt » (1968). Emballé par le projet, Steve prend tous les risques (financiers et personnels) et refuse même d’être doublé lors de la poursuite dans les rues de San Fransisco (il dépasse les 200 km/h).

    Le succès est phénoménale tant financier que personnel. Désormais libre de tout entrave financière, il se lance dans une autre aventure avec une comédie : « The Reivers ».

     

     

      

      

      

      

      

    Puis il met en chantier « Le Mans » qui sera un désastre commercial.

      

    Malgré ses 2 derniers échecs, Steve reste dans la voie qu’il s’est tracé.

    « Junnior Bonner » est un demi succès. Steve choisit de revenir aux films d’actions avec « Guet-Apens ». Le scénario l’interessse et accepte de le produire.

      

      

    Le film est un mélange d’humour et de suspense obtient un succès important d’autant plus que la fin change des normes…

      

     

      

      

    Il obtient le divorce avec Neile. Le 13 juillet 1973, il épouse sa partenaire Ali Mac Graw avec qui il divorcera en 1978.

    Le film « La Tour Infernal » est un film remarquable où il retrouve Paul Newman avec qui il a joué en 1956 et retrouve Faye Dunaway. Steve incarne un pompier au passé inconnu effectuant son devoir avant de disparaître aussi soudainement qu’il est apparu. On y retrouve quelques invités comme Fred Astaire et William Holden.

     

      

     

      

    Grâce à ce succès il devient l’acteur le mieux payé du tout Hollywood. Pourtant il disparaît 3 ans voulant vivre tranquillement avec sa nouvelle épouse.

    En 1976, il est de retour. Il tourne dans « Un Ennemi Du Peuple ». Le pari est risqué car son personnage n’a rien en commun avec ses précédants personnages. Comme il s’y attendait, c’est un échec cuisant.

    Avec cet argument, la First Artist n’a plus confiance en lui, sa carrière semble terminée. D’autant plus qu’avec Ali rien ne va plus, elle ne supporte plus de vivre enfermée dans leur résidence de Malibu.

      

     

     

     

    Très affecté par le choc, il souffre de dépression. Il ne veut plus entendre parler de cinéma. Cynique et parfois violent, il demande des cachets extravagants aux producteurs.

    Barbara Minty le sort de son état. Il s’arrête de boire, de fumer et recommence à s’alimenter normalement. Il fréquente à nouveau le système cinémtographique qui ne l’a pas oublié.

    L’envie de jouer et sa vénalité ayant disparu, des projets lui tendent les bras. Avant son décès prématuré, il n’aura le temps de ne tourner que 2 films : « Tom Horn », un western. Il y incarne un tueur à gages qui finit par s’accuser d’un crime qu’il n’a pas commis. Il tournera aussi « Le Chasseur » où il endosse le rôle d’un chasseur de primes.

     

      

    Mais sa santé se dégrade rapidement et la mort le guette. En novembre 1979, fin du tournage, l’acteur est épuisé. Il refuse chaque contrat et apprend qu’il souffre d’un cancer du poumon.

      

    Incurable, il ne lui reste plus que quelques mois à vivre. Il fait face à l’épreuve avec courage.

    Le 17 janvier 1980, il épouse Barbara Minty avec qui il vivra jusqu’à son décès quelques mois plus tard.

     

     

    Image du Blog vintagepics.centerblog.net

     

    Il consulte les plus grands spécialistes, suit les thérapies recommandées. Mais rien n’y fait et le cancer le ronge. Rien ne semble le sauver.

    Mais un 6 novembre 1980, le professeur Santos Vargas lui propose de l’opérer estimant que c’est son ultime espoir de survivre. Il lui retire une tumeur de 3 kils mais le choc opératoire est si violent qu’il fait une crise cardiaque et meurt quelques heures plus tard à la clinique Ciaudad Juarez au Mexique.

    Il meurt le 7 novembre 1980 à seulement 50 ans.

    Retrouvez son étoile au Walk of Fame au numéro 6834 sur Hollywood Boulevard

      

     

    Dans sa maison à Palm Springs. La plus belle photo de la série. En termes d'attitude cool, on peut difficilement faire mieux et plus naturel. C'est là toute la force du bonhomme

      

      

    Pour plus d’informations, visitez :

    http://www.cinememorial.com/Acteur_detail.php?id=258

    mais aussi les sites entièrement consacrés à l’acteur :

    morinos.macqueen.free.fr

    et

    http://bulitt.vip-blog.com/

      

      

      

     

    Steve McQueen by John Dominis

     

    par greensleevestoaground

     

    Inutile de présenter le magazine LIFE, le Paris Match américain pour faire court et bête, qui a eu la bonne idée de mettre à disposition des internautes un peu curieux, la plupart de ses archives photographiques, ainsi qu’un très grand nombre d’images inédites. C’est le cas présent avec cette série de photos shootée par John Dominis sur 3 semaines de l’année 1968, en pleine ascension du King Of Cool, Steve McQueen. Oula ! N’a-t-on pas déjà entendu, ou plutôt lu ce nom sur GSTAG ? Maintes et maintes fois, certes. Mais c’est peut-être tout simplement qu’il y a sa place toute légitime, voire même prépondérante. Maître incontesté du casual, on peut aussi bien le retrouver dans le preppy qu’en pilote auto. Cette année 68, alors qu’à Paris l’étudiant sorbonnien fâché avec sa propre bourgeoisie s’évertue à jouer les cantonniers dans les rues, McQueen a 33 ans.

     

      

      

    Il en aurait eu 80 aujourd’hui. Il vient de prendre la place vacante de « mauvais garçon » du cinéma hollywoodien grâce à « La Grande Evasion » et « Les 7 Mercenaires ». On ne va pas lui cirer les bottes plus longtemps, surtout qu’il n’en met que rarement hormis pour une course de moto dans le désert du Nevada en combinaison Barbour ou Belstaff, et on va regarder ces quelques clichés extraits des 20 Never-Seen Photos. Etant donné que cet article vous intéresse, vous n’hésiterez pas une seconde pour cliquer sur ce lien et découvrir l’intégralité de la série, et rendre ainsi tout le mérite au magazine LIFE.

      

     

    Dans sa maison à Palm Springs. La plus belle photo de la série. En termes d'attitude cool, on peut difficilement faire mieux et plus naturel. C'est là toute la force du bonhomme.

     

     

     

    "Another great passion" dit la légende officielle. Le cool, c'est aussi mélanger les passions douces et celles plus viriles : l'autmobile et le jazz, les courses de moto exténuantes et la flânerie au bord d'une piscine.

    Le désert de Mojave a vu McQueen suer et se dépasser sur sa moto. Se casser la gueule même. Même blessé, il ne pouvait s'empêcher d'aller au bout d'une course. Têtu le bougre. Ici avec Bud Edkins, sa doublure cascade dans La Grande Evasion, avec le fameux saut de barrière en plein pré, qu'il aurait tant aimé faire lui-même. Têtu mais pas rancunier.

    Voici en gros le topo : on a à faire à un type déterminé, sûr de lui, aux passions multiples. On pourrait penser à la star basique, grosse erreur. Rien à voir : plutôt discret, ce qui compte visiblement chez McQueen, ce ne sont pas les caprices de star, mais profiter de la vie.

      

    C’est ridicule dit comme cela, mais qu’est-ce qui vient nous prouver autre chose que cette simplicité assumée dans les clichés de Dominis? Un peu comme si le King Of Cool savait déjà, à 33 ans, qu’un cancer l’attendait… Respect.

      

    Pinned Image

      

      

      

      

    http://odysseeducinema.fr/galeriea.php?id=30  

     

      

     

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