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DORA DOLL
Consultant la filmographie de Dora Doll, on constate qu'elle apparut dans des films de Marcel Carné, Julien Duvivier, Marcel Lherbier, Abel Gance, Henri-Georges Clouzot et Marc Allégret, pour ne citer que les plus reconnus des metteurs en scène français des années quarante. Pour la décennie suivante, ajoutons Jacques Becker, Jean Renoir et Sacha Guitry.
Elle côtoya sur nos écrans Louis Jouvet, Gaby Morlay, Victor Francen, Pierre-Richard Willm, Fernand Gravey, Raimu, Erich Von Stroheim, Jean Gabin, Martine Carol, Michèle Morgan, Jeanne Moreau, Jean Marais, Ingrid Bergman, Lino Ventura, Fernandel, et même Kirk Douglas, Montgomery Clift, Dean Martin et Marlon Brando !
Aussi, lorsque cette grande dame se met à raconter des anecdotes sur sa vie d'artiste, nous en prenons plein les oreilles, ce qu'elle fit d'ailleurs, en 2002, alors invitée du Club sur la chaîne de télévision française Ciné-Cinéfil.
Vous conviendrez avec moi que le sous-titre attribué à ce dossier n'est pas usurpé !
S04 - Dora Doll, la mémoire du cinéma français …
biographie filmographie portraits affiches article Une vocation précoce …
Dorothea Hermina Feinberg naît à Berlin, le 19 mai 1922. Son père, qui a des origines russes, est banquier. Alors qu’elle n’est encore qu’une toute petite fille, ses parents décident très vite de venir s’installer en France.
Elle suit dans notre capitale une scolarité normale, fréquentant le lycée. Toute jeune on s’aperçoit qu’elle a le don des langues : le russe et l’allemand sont déjà ses langues d’origine. Bien sûr, elle apprend très vite le français, mais aussi l’anglais et l’italien. Evidemment, ses parents voudraient bien la voir franchir avec succès les épreuves du baccalauréat. Mais c’est loin d’être l'objectif de la jeune fille …
Ce qui lui plaît vraiment ? La comédie et le cinéma ! Elle adore partager des histoires fantastiques dans les salles obscures avec ses héroïnes préférées. N’hésitant pas à sécher les cours, elle commence à rêver :
"En sortant de l’école, je ne manquais pas de rejoindre mes camarades au square Saint-Lambert où nous organisions des représentations théâtrales. Je me muais alternativement en chef cow-boy, triomphant des indiens ou en douloureuse captive d’une bande de gangsters redoutables".
Devenir une actrice, au théâtre et au cinéma, n'est pas un projet sérieux, et ses parents, inquiets pour l’avenir de Dorothée, ne voient pas d’un bon œil cet engouement romanesque. Voyons ! Comédienne ! Est-ce un métier raisonnable et réaliste ? Mais la jeune adolescente tient bon : " J’attendais avec impatience l’âge de monter sur scène sans faire de scandale dans la famille ".
Les choses prennent même une teinte dramatique ; devant l’attitude rigide de ses parents, elle aurait fait une tentative de suicide …
Premiers pas …
Finalement, Dorothée obtient de suivre les cours de Louis Jouvet au Conservatoire, en tant qu’auditrice. C’est donc au théâtre que se feront ses premiers pas, avec des rôles classiques inévitables pour la jeune ingénue qu’elle est alors, comme dans «Les plaideurs» au Théâtre de l’Atelier.
Grâce à son illustre maître, elle va faire de la figuration dans des films cultes de l’époque. C’est ainsi qu’on arrive à la repérer furtivement dans «Hôtel du Nord» (1938) puis dans «Entrée des artistes» où elle n’a aucun mal à jouer son propre rôle : élève de Louis Jouvet.
Elle le reconnaîtra elle-même : avant la guerre, pour le public, elle ne fut qu’une silhouette sur le grand écran, mais une fort jolie silhouette qui plaît beaucoup ! Seul dommage, on la cantonne dans des emplois d’aguicheuse, de femme sensuelle, ce qu'elle regrettera toujours !
Dorothée devient Dora …
Elle simplifie son nom en Dora Doll afin de le teinter d’une connotation anglo-saxone ! Séduisante jeune actrice aux formes appétissantes, elle multiplie les apparitions, comme dans «Moulin Rouge» (1938) ou «Entente cordiale» (1939).
La guerre déclarée, elle s'installe à Nice, en zone libre. Elle continue à faire des figurations ou tenir de vrais rôles sur les scènes de la région varoise ou à Monte-Carlo. Elle est engagée par le frère de Jean Sablon, Marcel Sablon, et joue aussi dans plusieurs pièces de théâtre comme «Le dépit amoureux», «La belle aventure» ou «Cyrano de Bergerac».
Elle est même de la “revue” animée par Max Revol.
Un jour, un fort séduisant jeune homme vient la trouver pour qu’elle lui donne la réplique. Sans véritable raison, elle éconduit Gérard Philipe ! Elle admire un autre séduisant comédien français, Jean-Pierre Aumont, à qui elle aura le bonheur par la suite de donner la réplique sur la scène du théâtre Edouard VII dans «Il y a longtemps que je t’aime». Un titre qui sonne comme un aveu.
Raymond Pellegrin …
Revenons à cette période de guerre. Est-ce à Nice qu’elle fait la connaissance d’un comédien jeune premier, brun, à la voix extraordinaire ? Il s’appelle Raymond Pellegrin. De toutes façons, ils vont se retrouver, dès la fin de la guerre, à Paris où Marcel Pagnol aura entraîné “le beau Raymond” comme le surnommera toute la bande du célèbre auteur-académicien. Elle jouera avec lui «La Ligne de cœur» puis «Epousez-nous Monsieur». Avec de telles invitations, il était normal d’envisager le mariage ! Ce que les deux acteurs font le 12 août 1949. Ils deviendront les parents de Danièle.
Dora Doll fut la première épouse de l'acteur Raymond Pellegrin, dont elle eut une fille, Danielle.
Elle fut mariée ensuite à François Deguelt.
Elle a reçu en 1993 le Prix "Reconnaissance des cinéphiles" à Puget-Théniers décerné par l'Association "Souvenance de cinéphiles" pour l'ensemble de sa carrière.
Elle a été nommée au grade de chevalier à l'Ordre national du Mérite, par décret du 14 novembre 2000.
Elle vit aujourd'hui dans le sud de la France.
Dora est engagée au Palais Royal, puis fait partie de la revue de Georges Ulmer sur la scène du Théâtre Bobino.
Elle tient également quelques petits rôles au cinéma. Ainsi, pour «La foire aux chimères» (1946) - où elle a l’occasion de figurer sur l’affiche aux côtés d’Eric Von Stroheim -, «La maison sous la mer» (1946) … Henri-Georges Clouzot la retient pour «Quai des orfèvres» (1947) et «Manon» (1948).
D’autres films s’ensuivent mais toujours pas de rôle important. «Identité judiciaire» (1950) et Hervé Bromberger faillirent même mettre un terme à sa carrière.
Elle y incarne une fille de bar : "Je voyais le personnage d’une certaine façon, lui d’une autre". Résultat : elle ne tourne pas pendant deux ans. Et comme Raymond végète tout autant, le couple connaît une période difficile …
"Touchez pas au Grisbi !"
Lorsqu'elle apprend que Jacques Becker s'apprête à tourner «Touchez pas au grisbi» (1953) , elle ose lui téléphoner mais la réponse n’est pas encourageante : "Il n’y a pas de rôle pour toi". Elle se présente tout de même dans les bureaux de la production et fait le planton jusqu’à ce que le réalisateur passe devant elle : "Mais tu es tout à fait mon personnage !" s’écrie-t-il en la voyant.
Elle signe son contrat sur le champ ! Nouveau départ pour sa carrière :
Jean Gabin, son partenaire, lui aura porté chance.
Elle est appelée à trois reprises par Jean Gourguet qui la distribue dans «Maternité clandestine» (1953), «La fille perdue» (1953) et «La cage aux souris» (1954).
Elle retrouve Jean Gabin sur le plateau de «French cancan» (1954) où elle forme un trio savoureux avec Jacques >Jouanneau et Jean-Marc Tennberg. Elle se rappellera toujours la délicatesse de Jean Renoir qui avait dû couper une de ses scènes et qui avait pris la peine de s’en excuser dans une lettre !
Mais cette année est aussi une année de chagrin : Le couple Raymond-Dora, après plus de 10 ans de vie commune, se sépare, monsieur ayant fait la connaissance de Gisèle Pascal. Ils tourneront tout de même ensemble dans «Le crâneur» (1955).
Travail, travail …
Pour surmonter une peine, rien ne vaut le travail ! Dans ces années 54-56, Dora Doll apparaît dans 25 films ! Mais hélas, toujours le même genre de rôle : dame de petite vertu, tenancière de bar, … "Des rôles de composition !" tiendra-t-elle fermement à préciser ! Mais entrecoupés tout de même par de grandes réalisations : «Chiens perdus sans collier», «Nana», «La môme Pigalle» (1955) …
La mode est de partir outre-atlantique, à l’instar de Leslie Caron, de Louis Jourdan, de Jean-Pierre Aumont. Dora s’y risque, mais ce rêve se révéla n’être qu’un mirage. Le succès qu’elle espérait ne sera pas au rendez-vous. Retour éclair, donc, pour se retrouver aux génériques de films qui la confinent toujours dans un même personnage : «Miss Pigalle» (1955), «Nuits blanches et rouge à lèvres» (1956), «Mademoiselle strip-tease» (1957) …
Plus heureuse, dans «Le bal des maudits» (1958) , elle campe une Française mariée à un Allemand qui va devoir accueillir un officier SS incarné par Marlon Brando. Montgomery Clift, Dean Martin, Lee Van Cleef et Maximilian Schell complètent cette brillante distribution qui connaîtra un succès international.
Les sixties en demi-teinte
Les années 60 ne lui donnent toujours pas l’opportunité de montrer ce qu’elle sait faire. Si elle apparaît de nombreuses fois, comme dans «Mélodie en sous sol» (1963) où elle incarne une fausse comtesse russe, on ne se souvient pas longtemps de ses apparitions.
Heureusement, on peut l’applaudir au théâtre dans des œuvres aussi différentes que «Clérambard» de Marcel Aymé (elle y tient le rôle de la Langouste), «Le dialogue des carmélites» de Georges Bernanos, «La mégère apprivoisée» de William Shakespeare, ou «L’avare» de Molière.
A cette époque, elle tombe en amour et épouse (1965) le chanteur de charme de l’époque, François Deguelt, pour une union qui ne durera que 6 ans, blessant encore une fois le coeur de notre sympathique artiste.
Dora Doll dans
'la Victoire en chantant' (1976)Les beaux rôles …
Les années 70 combleront davantage notre vedette qui obtient quelques rôles nettement plus consistants : «La victoire en chantant» (1976), «Diabolo menthe» (1977), «Violette Nozières» (1978) , «La nuit de varennes» (1982) …
La télévision constitue pour elle un moyen de s’exprimer davantage. Elle participe ainsi à de belles fictions, comme «Gaston Phoebus» (1978), «Au bon beurre» (1981), et plus particulièrement «Les hommes de Rose» (1978), une série qui la met en vedette. Elle confiera d’ailleurs "Maman Rose est le plus beau rôle qu’on m’ait jamais confié …Gérard Sire a écrit ce rôle magnifique en pensant à moi", un rôle profond, humain et tendre, à l’opposé de tout ce qu’on lui avait offert jusque là et qui correspondait beaucoup mieux à sa véritable nature.
Dès lors, Dora Doll ne cessera de tourner, alternant les apparitions sur le grand écran, sur la petite lucarne familiale ou sur les planches, comme dans «la Soupière» de et avec Robert Lamoureux.
A l’approche des années 80, Jean‑Claude Drouot, depuis longtemps débarrassé de son costume de Thierry La Fronde, l’invite dans sa troupe du théâtre royal de Belgique.
Si on la retrouve dans les grandes séries populaires que sont «Maigret», «Les cinq dernières minutes», «L’instit», «Julie Lescaut», Frédérique Hébrard et Louis Velle la choisissent pour leur «Château des oliviers» (1993), et leur «Grand bâtre» (1997) où elle incarne la fidèle servante symbolisant le trait d’union immuable entre les générations des Azérac, revêtue d’une seyante tenue
d’Arlésienne. On l’apprécie aussi dans les fictions inspirées que sont «La colline aux mille enfants» (1994) ou «Les feux de la Saint-Jean» (1996).
Et depuis ?
Depuis, elle tourne, bien sûr. Elle vit de ce qui est sa passion depuis qu’elle est toute petite !
Sa filmographie donne une idée des 130 rôles environ qu’elle a joués avec talent, même quand ils ne correspondaient pas à ses aspirations les plus profondes. Relevons donc ces dernières prestations dans «Meilleur espoir féminin» (2000), «Je vous trouve très beau» (2005), film réussi d’Isabelle Mergault, «Jacquou le croquant» (2007) …
En attendant, saluons son plus beau rôle, celui de grand-mère, qu’elle joue auprès de ses quatre petits enfants – ceux que lui aura donnés sa fille Danièle, devenue médecin - et qu’elle retrouve dans le midi de la France.
SOURCES :
http://encinematheque.net/seconds/S04/index.asp
Dora Doll : "Si j'avais eu le courage de ne pas me maquiller autant, de ne pas hurler de rire pour un oui ou pour un non, bref de ne pas me conduire comme une sotte, j'aurais sûrement fait une autre carrière."
Filmographie de Dora DOLL :
Dora DOLL a joué dans :
Dora DOLL a joué dans la série ou le téléfilm :
Biographie de Dora DOLL :
De son vrai nom Dorothéa FEINBERG est née à Berlin (Allemagne). Mariée en premières noces à Raymond PELLEGRIN dont elle eut une fille et en secondes noces au chanteur François DEGUELT.Filmographie complète
1938 à 1939
- 1938 : Entrée des artistes de Marc Allégret - Figuration
- 1938 : Hôtel du Nord de Marcel Carné - Une figurante au restaurant
- 1939 : Entente cordiale de Marcel L'Herbier - Figuration
- 1939 : Moulin Rouge d'André Hugon
1940 à 1949
- 1940 : Battement de cœur d'Henri Decoin - La secrétaire
- 1940 : Paradis perdu d'Abel Gance
- 1941 : Parade en sept nuits de Marc Allégret (non créditée)
- 1941 : La Nuit de décembre de Kurt Bernhardt
- 1945 : Untel père et fils -tourné en 1940- de Julien Duvivier
- 1946 : La Foire aux chimères de Pierre Chenal - La secrétaire de Lenoir
- 1947 : Inspecteur Sergil de Jacques Daroy
- 1947 : La Maison sous la mer d'Henri Calef - La fille
- 1947 : Quai des Orfèvres d'Henri-Georges Clouzot - Léa, l'amie de Paulo
- 1949 : Manon d'Henri-Georges Clouzot - Juliette
- 1949 : Le Sorcier du ciel de Marcel Blistène - Benoîte
- 1949 : La Passagère de Jacques Daroy - Colette
1950 à 1959
- 1950 : Un homme marche dans la ville de Marcello Pagliero - La fille
- 1950 : Rendez-vous avec la chance d'Emile-Edwin Reinert - Mlle Paulette
- 1951 : Sous le ciel de Paris de Julien Duvivier - La cliente du rémouleur
- 1951 : La Rose rouge de Marcello Pagliero - Evelyne Dorsey, la vedette
- 1951 : La Passante d'Henri Calef - Irma
- 1951 : Identité Judiciaire d'Hervé Bromberger - Dora Bourbon
- 1951 : Le Garçon sauvage de Jean Delannoy - La blonde amie de Paul
- 1952 : Dans la vie tout s'arrange de Marcel Cravenne - Yvette
- 1952 : Pardon my French -version anglaise du film précédent- de Bernard Vorhaus - Yvette
- 1952 : Bacchus mène la danse -film resté inachevé- de Jacques Houssin
- 1953 : La fille perdue de Jean Gourguet - Suzy
- 1953 : Maternité clandestine de Jean Gourguet - Anita
- 1953 : Monsieur Scrupule gangster de Jacques Daroy
- 1953 : L'envers du paradis d'Edmond T. Gréville - Michèle
- 1953 : Un acte d'amour ou "Quelque part dans le monde" (Act of love) d'Anatole Litvak - Une professionnelle
- 1954 : Destinées de Jean Delannoy - Une catin dans le sketch : Jeanne
- 1954 : Obsession de Jean Delannoy - L'entraîneuse
- 1954 : Touchez pas au grisbi de Jacques Becker - Lola, l'amie de Max
- 1954 : Votre dévoué Blake de Jean Laviron - Isabelle
- 1954 : Huis clos de Jacqueline Audry "à confirmer"
- 1954 : Napoléon de Sacha Guitry - Une merveilleuse
- 1955 : French Cancan de Jean Renoir - La génisse
- 1955 : Nana de Christian-Jaque - Rose Mignon
- 1955 : Chiens perdus sans collier de Jean Delannoy - Mme Lecarnoy, la mère du petit Gérard
- 1955 : La Cage aux Souris de Jean Gourguet - Salade
- 1955 : Les Impures ou "Des femmes disparaissent" de Pierre Chevalier - Lili
- 1955 : Pas de souris dans le bizness d'Henri Lepage - Mado
- 1955 : Le Crâneur de Dimitri Kirsanoff - Betty Bell
- 1955 : Sophie et le Crime de Pierre Gaspard-Huit - Louise Richter
- 1955 : Gueule d'ange de Marcel Blistène - Josepha Marewska
- 1955 : Pas de pitié pour les caves d'Henry Lepage - Jessy
- 1955 : La môme Pigalle d'Alfred Rode - Catherine, l'amie de Félix
- 1955 : On déménage le colonel de Maurice Labro - Flora
- 1956 : Soupçons ou "La pavane des poisons" de Pierre Billon - Angèle, Amélie, Jeanne Mersch
- 1956 : La foire aux femmes ou "Marché de femmes" de Jean Stelli - Mariotte Borderet
- 1956 : Fernand Cow-boy de Guy Lefranc - Mae Marlane
- 1956 : Elena et les Hommes de Jean Renoir - Rosa la rose
- 1956 : Grand-rue (Calle mayor) de Juan Antonio Bardem - Tonia
- 1956 : Pas de grisbi pour Ricardo d'Henri Lepage - Brigitte
- 1957 : Adorables démons de Maurice Cloche - Barbara Onisse
- 1957 : Le colonel est de la revue de Maurice Labro - Cora dite: La Sanglante
- 1957 : Ah! quelle équipe de Roland Quignon - Vicky
- 1957 : Quelle sacrée soiréeou Nuits blanches et rouge à lèvres de Robert Vernay - Lola Wanda
- 1957 : L'amour descend du ciel de Maurice Cam - Véra
- 1957 : Mademoiselle Strip-tease de Pierre Foucaud - Rita
- 1958 : Miss Pigalle de Maurice Cam - Pascaline
- 1958 : Le Bal des maudits (The Young Lions) d'Edward Dmytryk - Simone
- 1958 : Énigme aux Folies Bergère de Jean Mitry - Clara
- 1959 : Archimède le clochard de Gilles Grangier - Lucette Pichon, la nouvelle patronne du café
- 1959 : Un témoin dans la ville d'Edouard Molinaro - Une prostituée
- 1959 : 125, rue Montmartre de Gilles Grangier - Germaine Montillier dite : Mémène
1960 à 1969
- 1960 : Les frangines de Jean Gourguet - Jeannine
- 1961 : Cocagne de Maurice Cloche - Hélène
- 1961 : Marquita, fille de Tabarin (La reina del Tabarin) de Jess Franco - Une chanteuse de cabaret
- 1961 : Première brigade criminelle de Maurice Boutel - Julia Manton
- 1962 : Dossier 1413 d'Alfred Rode - La femme du docteur Pira qui danse avec M. Baranger
- 1962 : Le dernier quart-d'heure de Roger Saltel
- 1963 : Mélodie en sous-sol d'Henri Verneuil - La comtesse Doublianoff
- 1964 : Une souris chez les hommes ou "Un drôle de caïd" de Jacques Poitrenaud - Catherine
- 1964 : Dictionary of sex de Radley Metzger
- 1965 : Pas de caviar pour tante Olga de Jean Becker - Rosa Patache, la femme de ménage
1970 à 1979
- 1970 : La Liberté en croupe d'Édouard Molinaro - Suzanne
- 1970 : Le jour de noces de Claude Goretta
- 1972 : Hellé de Roger Vadim
- 1972 : Certaines chattes n'aiment pas le mou ou "Godfinger" de Bob Logan
- 1972 : Les déracinés d'André Teissère
- 1974 : La Main à couper d'Étienne Périer - Pascale Effront
- 1974 : En grandes d'André Teissère - Mlle Lamour
- 1975 : Catherine et compagnie de Michel Boisrond - La mère de Catherine
- 1975 : L'Incorrigible de Philippe de Broca - Thérèse (patronne du Petit Savarin)
- 1976 : Calmos de Bertrand Blier - L'adjudante
- 1976 : Deux imbéciles heureux d'Edmond Freess - Madeleine
- 1976 : Comme un boomerang de José Giovanni - Ginette Batkin, la mère d'Eddy
- 1976 : La Victoire en chantant ou "Noir et blanc en couleur" de Jean-Jacques Annaud - Maryvonne
- 1976 : L'appat (Zerschossene Träume) de Peter Patzak - Lisa
- 1977 : Le Pays bleu de Jean-Charles Tacchella - Mathilde, la femme de Clovis
- 1977 : Julia de Fred Zinnemann - Une passagère dans le train
- 1977 : Diabolo menthe de Diane Kurys - Le professeur de gymnastique
- 1978 : Violette Nozière de Claude Chabrol - Mme Mayeul
- 1978 : Y en a plein les bottes (Champagner aus dem Knobelbecher) de Franz Marischkal
- 1978 : Les filles du régiment de Claude Bernard-Aubert - L'adjudante Pente Douce
- 1978 : Dehors, c'est nulle part -court métrage- de Patrick Chapuis
- 1979 : Coup de tête de Jean-Jacques Annaud - La religieuse en chef
- 1979 : Grandison ou "L'amour volé" d'Achim Kurz
- 1979 : Les givrés d'Alain Jaspard - Mme Gruber
1980 à 1989
- 1980 : Les Charlots contre Dracula de Jean-Pierre Desagnat - Le commissaire Gluck
- 1982 : La Nuit de Varennes (Il mondo nuovo) d'Ettore Scola - Nanette Precy
- 1984 : Ave Maria de Jacques Richard - Constance Rebelotte
- 1984 : Blue lady -court métrage- d'Agnès Nassery
- 1984 : La Femme ivoire de Dominique Cheminal - La tante Aymée
- 1984 : Bastille de Rudolph Van Den Berg - M.W Friedlander
- 1985 : Le voyage à Paimpol de John Berry - La mère de Maryvonne
- 1985 : Gros Dégueulasse de Bruno Zincone - La serveuse de choucroute
- 1986 : Commando Mengele ou "L'ange de la mort" d'Andrea Bianchi - Sarah
- 1986 : La curée du lavoir ou "L'abreuvoir" -court métrage- de Gérard Fromentin
- 1987 : Les Keufs de Josiane Balasko - Mme Lou
- 1987 : Les Deux Crocodiles de Joël Séria - Félicité
- 1987 : Maniac Killer d'Andréa Bianchi - Dorine
- 1988 : Encore / Once more de Paul Vecchiali - La mère
- 1988 : Mon ami le traitre de José Giovanni - Dora
1990 à 1999
- 1990 : Conte barbare -court métrage- de Pierre Schumacher
- 1991 : Les jours de la lune -moyen métrage- de Jean-Pierre Duret - Émilie
- 1992 : Le Mari de Léon de Jean-Pierre Mocky - Mira, la gouvernante de Boris
- 1992 : Pas d'amour sans amour d'Evelyne Dress - Rose, la mère
- 1992 : Morasseix de Damien Odoul
- 1994 : L'Enfer de Claude Chabrol - Mme Chabert
Depuis 2000[modifier]
- 2000 : Là-bas, mon pays d'Alexandre Arcady - Paula Azéra
- 2000 : Meilleur espoir féminin de Gérard Jugnot - Mme Guiguan
- 2002 : De la tête aux pieds -court métrage- de Pascal Lahmani - Blandinette
- 2005 : Je vous trouve très beau d'Isabelle Mergault - Catherine
- 2005 : Poésie del amor -court métrage- d'Olivier Vidal
- 2006 : Comme t'y es belle ! de Lisa Azuelos - Mémée
- 2006 : La part animale de Sébastien Jaudeau
- 2006 : Le dernier épisode de Dallas -court métrage- de Guillaume Husson
- 2007 : Jacquou le Croquant, de Laurent Boutonnat - Fantille
Télévision
1955 à 1959
- 1955 : Tire au flanc de François Chatel
- 1957 : C'était un gentleman de François Gir
- 1958 : La traversée de Paris à la nage de Pierre Badel
- 1958 : Voiture 7, place 15 d'André Leroux
- 1959 : La mer qui meurt d'André Leroux
- 1959 : Poison d'eau douce (Les Cinq Dernières Minutes) de Claude Loursais - Léonie
1960 à 1969
- 1960 : Le Tir "Clara" de Michel Mitrani - Clara, la patronne de la baraque foraine
- 1960 : Un poing final (Les Cinq Dernières Minutes) de Claude Loursais - Fernande
- 1962 : Agnès, on te regarde de François Gir - Agnès, la prostituée
- 1962 : Le Joueur de François Gir - Blanche
- 1962 : Le Taxi (L'inspecteur Leclerc enquête) de Vicky Ivernel - Ginette
- 1962 : Première chaîne (Commandant X) de Jean-Paul Carrère - Marthe
- 1964 : Dossiers cours d'assises -1964 de Jean-Paul Carrère
- 1964 : Hortense Schneider d'Henri Spade - Hortense Schneider
- 1964 : Le Médecin malgré lui de François Gir - Jacqueline
- 1964 : Le Procès de Mary Dugan de Jean-Marie Coldefy
- 1965 : À la corne d'Isard de Jacques Villa
- 1966 : Le petit horloger (Allô Police) de Robert Guez
- 1966 : Règlement de compte (Allô Police) de Pierre Goutas
- 1967 : Le Chevalier Tempête (feuilleton en 3 épisodes de 75 min et 1 de 90 min) de Yannick Andreï - Coralie
- 1969 : Le Déjeuner de Suresnes (Allô Police) de Michel Strugar - Viviane
- 1969 : Les Eaux mêlées de Jean Kerchbron - La serveuse
- 1969 : Les Empaillés d'Alberto Cavalcanti - Gérent
1970 à 1979
- 1970 : En attendant de Christiane Lenier
- 1971 : Le baladin du monde occidental de Pierre Bureau
- 1971 : Madame êtes-vous libre ? - Feuilleton en 13 épisodes de 26 min - de Jean-Paul Le Chanois - Maïté
- 1972 : Les Enquêtes du commissaire Maigret de François Villiers, épisode : Maigret se fâche : Jeanne
- 1972 : Une femme qui a le cœur trop petit d'Alain Dhenaut - La faible
- 1973 : Le plus malin s'y laisse prendre de Jacques Pierre
- 1973 : Du plomb dans la tête -Feuilleton en 4 épisodes de 25 min - de Roger Dallier - Olga Levasseur
- 1974 : Les filles de Folignazzaro d'Aline Tacvorian
- 1974 : Les trois clés "Un ciré de choc" de Philippe Arnal
- 1975 : Les Enquêtes du commissaire Maigret (série télévisée) épisode La Folle de Maigret de Claude Boissol : Angèle
- 1976 : Le dernier des Camarguais de Jean Kerchbron - Fernande
- 1976 : Hôtel Baltimore de Dirk Sanders - Suzy
- 1976 : Puzzle pour démons d'Armand Ridel
- 1977 : Sainte Rita "Recherche dans l'intérêt des familles" de Philippe Arnal - Mme Charles
- 1978 : Gaston Phébus -Feuilleton en 6 épisodes de 52 min- de Bernard Borderie - Florine
- 1978 : Les Hommes de Rose -Feuilleton en 6 épisodes de 52 min- de Maurice Cloche - Rose Dupuy
- 1978 : Monsieur Saint-Saëns "Il était musicien" de Claude Chabrol - La lingère
- 1979 : L'éclaircie de Jacques Trébouta - Catherine
- 1979 : Jour d'orage d'Hervé Basle
- 1979 : Saint Colomban et moi d'Hervé Basle
- 1979 : Tout un dimanche ensemble de Stéphane Bertin
- 1979 : L'usine Quesnay de Jean-François Delassus - Mme Quimouche
- 1979 : Monsieur Prokofiev "Il était un musicien" de Claude Chabrol - La nouvelle patronne
1980 à 1989
- 1980 : Le Grand Poucet de Claude-Henri Lambert - Martoune
- 1981 : Antoine et Julie de Gabriel Axel - La fille du bar
- 1981 : Au bon beurre (diffusé en deux épisodes de 90 min) d'Edouard Molinaro - Mme Halluin
- 1981 : Ce monde est merveilleux de Guy Jorré - Alice
- 1981 : Coup de bec de Pierre Desfons
- 1981 : Eole Epifanio d'Antoine Gallien - Geneviève
- 1981 : L'Étouffe grand-mère de Jean-Pierre Bastid - La mère Grivot
- 1981 : La Ramandeuse de Gabriel Axel - Mémène
- 1981 : Square X de Jean Kerchbron - La clocharde
- 1981 : Trente hectares de bonne terre de Jean-Pierre Gallo - Elsa, l'exploitante agricole
- 1980 : Médecins de nuit de Jacques Tréfouel, épisode : L'entrepôt
- 1981 : La Fausse Mornifle "Le mythomane" de Michel Wyn - Baby
- 1982 : La Steppe de Jean-Jacques Goron - Macha
- 1982 : Les Cinq Dernières Minutes de Jean Chapot, La tentation d'Antoine : La gardienne
- 1982 : Le Secret des Andrones de Samuel Itzkowitch - Rosa Chamboulive
- 1983 : L'Âge difficile "Julien Fontanes magistrat" de Serge Friedman - Madeleine Mignot
- 1983 : Le Cactus de Marie-Jeanne d'Alain Dhenaut - Marie-Jeanne
- 1983 : L'Étrange château du docteur Lerne de Jean-Daniel Verhaeghe
- 1983 : Le Grand Braquet de Maurice Fasquel
- 1983 : L'Homme de la nuit -Feuilleton en 4 épisodes de 52 min- de Juan Bunuel
- 1983 : Marianne, une étoile pour Napoléon de Marion Sarraut - Fanchon, Fleur de Lys
- 1983 : El senor présidente de Manuel-Octavio Gomez
- 1984 : Aveugle, que veux-tu? de Juan Bunuel - La mère de Nolan
- 1984 : Le Château de Jean Kerchbron - L'hôtelière du pont
- 1984 : Cœur de hareng de Paul Vecchiali - Renée
- 1985 : Le Diamant de Salisbury de Christiane Spiero
- 1985 : Vingt ans d'absence de Bernard Saint-Jacques - Suzanne
- 1985 : La Saison des loups "Les colonnes du ciel" de Gabriel Axel - Ercilie Madot
- 1985 : Le Pont des soupirs de Jean-Michel Ribes
- 1986 : Music Hall -Diffusé en deux parties de 105 min- de Marcel Bluwal - la concierge
- 1986 : Catherine -Feuilleton en 60 épisodes de 25 min- de Marion Sarraut - Ermengarde
- 1987 : Les Idiots de Jean-Daniel Verhaeghe - Agnès
- 1987 : Le Gerfaut -Feuilleton en 10 épisodes de 70 min- de Marion Sarraut - Rozenn
- 1987 : La Liberté Stéphanie -Feuilleton en 30 épisodes de 26 min- de Marlène Bertin
- 1987 : Cloud waltzing de Gordon Flemyng - Mme Solange
- 1988 : Anges et loups -Feuilleton en 20 épisodes de 26 min- de Boramy Tioulong - Louise
- 1988 : Le chevalier de Pardaillan -Feuilleton en 15 épisodes de 52 min- de Josée Dayan - Catho
- 1988 : La Métaphysique de l'œuf "Espionne et tais-toi" de Claude Boissol
- 1988 : L'Homme à tout faire -Feuilleton en 42 épisodes de 20 min- de Patrick Gandrey-Rety - Gisèle
- 1988 : La Rencontre "M'as-tu vu ?" d'Eric Le Hung
- 1988 : La Traviata "M'as-tu vu ?" d'Eric Le Hung
- 1988 : L'Envol "Drôles d'histoires : Intrigues" de Stéphane Bertin
- 1988 : La Bête "Drôles d'histoires : Intrigues" d'Emmanuel Fonlladosa
- 1989 : Les Enquêtes du commissaire Maigret, épisode : L'Auberge aux noyés de Jean-Paul Sassy - La gardienne
- 1989 : Le Crime de Neuilly "Le triplé gagnant" de Claude Barrois
- 1989 : Le Dernier Rendez-vous de président "Le triplé gagnant" de Claude Grinberg
- 1989 : Le Front dans les nuages de Paul Vecchiali - Adrienne
- 1989 : Gueule d'arnaque de Joël Séria - Rachel
- 1989 : Tribunal -série en 3 fois 130 épisodes de 26 min- de divers réalisateurs
- 1989 : L'Agence -série- de Jean Sagols
- 1989 : La Comtesse de Charny (feuilleton télévisé)-en 15 épisodes de 85 min- de Marion Sarraut "Thérèse Rousseau"
1990 à 1999
- 1990 : L'étoile filante de Claude Boissol
- 1990 : La leçon de Lazare Iglesis
- 1991 : Vous êtes folle Imogène de Paul Vecchiali - Blanche
- 1991 : L'Impure de Paul Vecchiali - Mère Dorothée
- 1991 : Les bains de jouvence "Ferbac" de Marc Rivière
- 1991 : Marie la louve de Daniel Wronecki - La Juine
- 1991 : Le train du crépuscule "Drôles d'histoires : Mésaventures" de Stéphane Bertin
- 1992 : Les cœurs brûlés de Jean Sagols - Marie-Thérèse Fromentin
- 1992 : Princesse Alexandra -diffusé en deux époques de 90 min- de Denis Amar - Mme Humeau
- 1992 : La mort du petit chat "Le triplé gagnant" de Boramy Tioulong
- 1992 : Les aventures d'Alice : Méprise d'otâges de Didier Albert - Perla Rostpovitch
- 1992 : Le grand chêne "Le triplé gagnant" de Jean-Pierre Prévost
- 1992 : Mademoiselle Arbel de Michael Braun
- 1992 : Résurgence d'Edouard Molinaro
- 1993 : Edith Piaf : Une brève rencontre de Michel Wyn
- 1993 : Morasseix!!! de Damien Odoul - La mère
- 1993 : Le Château des oliviers -diffusé en 8 épisodes de 90 min : "Les racines", "La solitude", "L'espérance", "La malédiction", "Les flammes", "L'épreuve", "La révélation", "Les oliviers" - de Nicolas Gessner - Amélie Boucoiron
- 1994 : L'Instit de Gérard Marx (épisode Une seconde chance)
- 1994 : Filumena Marturano de Serge Moati
- 1995 : Les feux de la Saint-Jean -diffusé en deux époques- de François Luciani - Marguerite
- 1995 : Recours en grace "Julie Lescaut" de Joyce Bunuel
- 1995 : Le retour du lion "Le refuge" de Christian François - Henriette
- 1995 : La nuit du loup "Le refuge" de Christian François - Henriette
- 1995 : Les moutons d'Anatole "Le refuge" de Christian François - Henriette
- 1995 : Entre chien et loup "Le refuge" de Christian François - Henriette
- 1996 : La Colline aux mille enfants de Jean-Louis Lorenzi - Emilienne
- 1996 : Les Allumettes suédoises -diffusé en trois époques : "David et Olivier", "Trois sucettes à la menthe", "Les noisettes sauvages" de Jacques Ertaud - Mme Hacque
- 1996 : Paloma de Marianne lamour - Antoinette
- 1996 : L'enfant qui dérange "Le refuge" de Christian François - Henriette
- 1996 : Chenil en péril "Le refuge" de Christian François - Henriette
- 1997 : Sapho de Serge Moati
- 1997 : La sauvageonne de Stéphane Bertin - Marguerite Gadin
- 1997 : Le Grand Batre de Laurent Carcelès - Annette
- 1997 : Le cheval d'Alix "Le refuge" de Christian François - Henriette
- 1998 : La femme de l'italien de Michaël Perrota - Sandrine
- 1998 : La Clef des champs -Feuilleton en 6 épisodes- de Charles Némès - Jeanne
- 1998 : La maison du pendu "Chercheur d'héritiers" de ? - Mme Gardes
- 1998 : Cap des Pins d'Emmanuel Fonlladosa, Dominique Masson, Emmanuelle Dubergey et Bernard Dumont - Agathe Chantreuil
- 1998 : La finette "Le refuge" de Christian François - Henriette
- 1999 : La danse du cobra "Le refuge" d'Alain Schwarztein - Henriette
- 1999 : Déchirure "Mélissol" de ? - Solange Lavigne
Depuis 2000
- 2001 : Le don fait à catchaires de William Gosterman - Clémence
- 2001 : Jalousie de Marco Pauly - Mireille
- 2001 : Et demain Paula de Michaël Perrota - Andrée
- 2001 : Maigret et le fou de Sainte-Clotilde de Claudio Tonetti - La gouvernante de Duhour
- 2002 : Petite sœur "Blandine l'insoumise" de Claude d'Anna - la veuve Corda
- 2002 : L'Été rouge de Gérard Marx
- 2003 : La mésange et la betzarine "Blandine l'insoumise" de Claude d'Anna - la veuve Corda
- 2003 : L'arbre d'Elodie "Blandine l'insoumise" de Claude d'Anna - la veuve Corda
- 2004 : Une goutte d'eau dans la mer "Blandine l'insoumise" de Claude d'Anna - la veuve Corda
- 2002 : La farine du diable "Blandine l'insoumise" de Claude d'Anna - la veuve Corda
- 2004 : Boxer les nuages "Blandine l'insoumise" de Claude d'Anna - la veuve Corda
- 2006 : Le chapeau du petit jésus de Didier Grousset - Blanche
- 2010 : Les Châtaigniers du désert de Caroline Huppert - Augustine
Théâtre
- 1947 : On a volé une étoile de Jean Valmy et Geo Koger, musique Georges Ulmer, mise en scène Robert Dhéry, Bobino
- 1949 : Le Médecin malgré lui de Molière, Théâtre Daunou
- 1954 : Clérambard de Marcel Aymé, mise en scène Claude Sainval, Comédie des Champs-Élysées
- 1954 : L'Homme traqué de Frédéric Dard, mise en scène Robert Hossein, Théâtre du Casino municipal Nice, Théâtre des Noctambules
- 1955 : Il y a longtemps que je t'aime de Jacques Deval, mise en scène Jean Le Poulain, théâtre Édouard VII
- 1957 : Les Hommes du dimanche de Jean-Louis Roncoroni, mise en scène Georges Douking, Théâtre de la Michodière
- 1958 : Procès à Jésus de Diego Fabbri, mise en scène Marcelle Tassencourt, Théâtre Hébertot
- 1958 : Le Pain des jules d'Ange Bastiani, mise en scène Jean Le Poulain, Théâtre des Arts
- 1959 : Le Pain des jules d'Ange Bastiani, mise en scène Jean Le Poulain, Théâtre des Arts
- 1960 : Madame, je vous aime de Serge Veber, mise en scène Guy Lauzin, Théâtre Daunou
- 1961 : Le Christ recrucifié de Níkos Kazantzákis, mise en scène Marcelle Tassencourt, Théâtre Montansier
- 1962 : Le Christ recrucifié de Níkos Kazantzákis, mise en scène Marcelle Tassencourt, Odéon-Théâtre de France
- 1963 : Othello de William Shakespeare, mise en scène Marcelle Tassencourt, Odéon-Théâtre de France
- 1965 : Procès à Jésus de Diégo Fabbri, mise en scène Marcelle Tassencourt, Théâtre Montansier
- 1967 : La Mégère apprivoisée de William Shakespeare, adaptation Thierry Maulnier, mise en scène Marcelle Tassencourt, Théâtre des Mathurins
- 1968 : Le Malade imaginaire de Molière, mise en scène Pierre Valde, Théâtre de Colombes
- 1968 : L'Île des chèvres d'Ugo Betti, mise en scène Henri Soubeyran, Théâtre antique Vaison-la-Romaine
- 1970 : J'ai régné cette nuit de Pierre Sabatier, mise en scène Jacques Ardouin, Théâtre Hébertot
- 1970 : Le Cœur sous le paillasson de Harold Brooke et Kay Bannerman, adaptation Alexandre Breffort, mise en scène Michel Vocoret, Théâtre des Nouveautés
- 1971 : La Soupière de Robert Lamoureux, mise en scène Robert Lamoureux & Francis Joffo, théâtre Édouard VII
- 1972 : En avant... toute ! de Michel André, mise en scène Michel Roux, théâtre Édouard VII
- 1972 : Madame Pauline comédie musicale de Darry Cowl d'après La Maison de Zaza de Gaby Bruyère, mise en scène Darry Cowl, Théâtre des Variétés
- 1973 : Nom : Stuart, prénom : Marie de Jaromir Knittl, mise en scène de l'auteur, Théâtre des Deux-Portes
- 1981 : 'Pa d'Hugh Leonard, mise en scène Georges Wilson, Théâtre de l'Œuvre
- 1982 : Du vent dans les branches de sassafras de René de Obaldia, mise en scène Jean-Luc Tardieu, Maison de la culture de Nantes
- 1992 : Filumena Marturano de Eduardo De Filippo, mise en scène Marcel Maréchal, Théâtre de la Criée, Théâtre des Célestins, Théâtre national de Chaillot, tournée
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