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    Happy Birthday ! Louise Brooks née le 14 novembre 1906...

     
     
     

     
     Louise Brooks est une actrice américaine, née le 14 novembre 1906 à Cherryvale (Kansas), et morte le 8 août 1985 d'une crise cardiaque à Rochester.
     
    Louise Brooks in 'Pandora's Box' (1929).
     





     
    Née à Cherryvale (Kansas) en 1906, de son vrai nom Mary Louise Brooks, cette actrice aux cheveux d'un noir d'ébène, à la coupe si singulière, est surtout connue pour ses rôles dans les films muets des années 20 aux États-Unis mais aussi, pour trois de ses films, en Europe en 1929 et 1930.
     
     
     
    Ses parents sont quelque peu "absents", et bien qu'ils lui donnent le goût des livres et de la musique - sa mère était une pianiste de talent, lui jouant Debussy et Satie -, ils ne peuvent la protéger d'abus sexuels de la part d'un voisin. Cela aura une influence majeure sur sa vie et sa carrière - elle affirmera plus tard être incapable d'aimer vraiment.
     
    Louise Brooks en photos...
     
    Louise Brooks - Modeling, "Follies and Scandals".
     






     
    Louise Brooks fin des années 1930.
     
     
    Louise Brooks en 1931.
     
     
    Louise Brooks dans "A Social Celebrity" (1926).
     
     
    Louise Brooks, Portraits.
     






     
    Louise Brooks dans " Prix de beauté" (1930).
     


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    Buster Keaton

    Par François Massarelli - le 13 août 2013

     

    Buster Keaton

    Biographie

    Joseph Frank Keaton Junior est né le 4 octobre 1895 au Kansas. Ses parents, Joseph et Myra, sont acteurs de vaudeville et l’enfance de celui que son père surnommera Buster est passée sur les planches, et ce dès l’âge de cinq ans.

     

    Il y développe très vite une endurance physique et un don pour la cascade qui ne le quitteront pas une fois arrivé à Hollywood.

     

    Dans les années dix, il intègre la troupe de Roscoe « Fatty » Arbuckle au moment où celui-ci s’affranchit de la compagnie de Mack Sennett, sous la houlette du producteur Joseph Schenck.

     

    Keaton, auprès de Al St-John, John Coogan et d’autres, devient acteur, gagman, assistant réalisateur auprès d’un comédien dont le sens de l’humour lui correspond très bien.

     

    En 1917, Keaton est incorporé dans l’armée, mais il réintègre la troupe d’Arbuckle à sa démobilisation en 1919.

     

    En 1920, suite au départ d’Arbuckle vers le long métrage, Schenck propose à Buster de devenir la vedette d’une série de films en deux bobines.

     <p>Le Cameraman (The Cameraman, 1928)</p>

     

     

    A la même époque, sur la recommandation de Douglas Fairbanks, il est la vedette d’un film de Herbert Blaché adapté d’une pièce à succès, The Saphead.

    buster keaton rws bday part 2 also i know there are literally like 10 bk smiling sets out there but i dont give a shit
    De 1920 à 1923, Keaton tourne 19 courts métrages, qui seront suivis de 12 longs métrages entre 1923 et 1929.

     

    buster9

     

    Schenck sera le producteur de tous ses films jusqu’à 1928, date à laquelle le producteur vend le contrat de Buster à la MGM.

     

     

    Le parlant ne sera pas fatal à Keaton, mais son prestige ne se relèvera pas des vicissitudes et de la déchéance qu’il traverse à partir de 1928, entre divorce et alcoolisme.

     

     

    59 mn

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    Here is some of Buster Keaton for you all.

    Great silent comedian, who you should

    all be familiar of. Get watching his stuff!

     

    Il deviendra tour-à-tour acteur dans des films très modestes, gagman, réalisateur de courts métrages de complément de programme, avant d’être redécouvert dans les années 50 et 60, essentiellement grâce au collectionneur Raymond Rohauer, qui avait préservé tous ses films.

    Buster Keaton vers 1925

     

    Soucieux de diriger une équipe dans laquelle tous les talents pouvaient s’exprimer, Keaton cosigne généralement les films dans lesquels il joue, notamment avec son complice Eddie Cline mais aussi avec des metteurs en scène plus établis, comme Mal st-Clair, Clyde Bruckman ou Donald Crisp.

     

     Afficher l'image d'origine

     

     

    Si à la fin de sa carrière muette, à partir de College (1927), il n’est même plus crédité, il est pourtant bien l’auteur des 31 films muets qu’il interpréte entre The High Sign (1920) et Spite Marriage (1929).

     

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    Keaton travaille comme Chaplin, dont on oublie souvent les "réalisateurs associés" (Charles Reisner sur The Pilgrim et The Gold Rush, Henri d'Abbadie d'Arrast sur The Gold Rush encore, Monta Bell sur A Woman of Paris, ou encore Robert Florey sur M. Verdoux).

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    Personne ne conteste à Chaplin son crédit unique sur ses films or la situation est la même pour Keaton :

    c'est simplement que l'un comme l'autre ont besoin aussi souvent que possible d'un assistant qui puisse conduire les manoeuvres quand ils sont occupés en tant qu'acteurs...

     

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    Keaton est donc un cinéaste, attaché à donner à voir sa vision du monde, le plus souvent contemporain, mais pas toujours.

     

    buster-reading

    S’il prend ses films au sérieux, au point de demander à ses techniciens de continuer leur travail alors qu’il est en train de risquer la noyade (Our Hospitality) ou de décider de ne sortir qu'en dernière extrémité un film achevé qui l’a déçu (The High Sign), il aime aussi ouvrir toutes grandes les portes de l’absurde, tant visuel que thématique.

     

     

    buster-running

     

     

    Si le doute subsiste encore sur son rang d'auteur,  il suffit de regarder l'ensemble de ses films pour voir apparaître un style visuel unique en son genre et qui reste le même de film en film…

     

    sis-buster-1

    Keaton a survécu jusqu’aux années 60, mais n’a jamais vécu dans le luxe auquel pouvait prétendre Chaplin ou Harold Lloyd.

     

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    Manifestement, peu lui importait, et il a su garder jusqu’à sa mort en 1966 un humour féroce, une incroyable bonne humeur sous un visage de pierre.

     sis-busterblogathon

     

     

    C’était aussi, et surtout, un metteur en scène surdoué, tombé littéralement amoureux de la caméra dès son premier contact avec l’objet, qui avait tout compris en matière de timing et qui avait développé une pratique exigeante et périlleuse de l’art d’être un acteur.

     

    C’était, en d’autres mots, un génie, l’un des

    plus grands du septième art.

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     http://www.dvdclassik.com/personnalite/buster-keaton

     

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     Steve McQueen | by Barry Feinstein:

    Hommage à Steve McQueen mort le 7 novembre 1980.

     

     

     

     

     "Il aimait le cinéma, il aimait les femmes, il aimé la vitesse, et sa vie, il l'a vécue à 200 à l'heure. L'immense Steve McQueen nous a quittés il y a tout juste 33 ans, alors qu'il n'avait que 50 ans, un âge bien jeune pour partir, même pour une étoile filante d'Hollywood."
     
     
     
    Steve McQueen, de son vrai nom Terence Steven MacQueen — né le 24 mars 1930 à Beech Grove dans l'Indiana aux États-Unis, et mort le 7 novembre 1980 à Ciudad Juárez au Mexique —, est un acteur, producteur, pilote automobile et pilote de moto américain. Ses rôles d'anti-héros font de lui une icône de la contre-culture. En 1974, il est la star du cinéma la mieux payée au monde.
     
    Never So Few (1959).
     







     

    Après cinq ans passées dans l'armée, il entre en 1952 au célèbre Actor's Studio de New York, l'école d'art dramatique fondée par Elia Kazan et dont Lee Strasberg fut l'une des pierres angulaires en y enseignant la fameuse "Méthode" de Stanislavski.
     
     
    Trois ans plus tard, Steve fait ses débuts sur les planches de Broadway. Il a alors 25 ans, et tous réalisent le potentiel du jeune homme. Les succès vont alors s'enchaîner très vite pour la star en devenir.
     
     
    En 1956, Steve tourne dans son premier film - Marqué par la haine, de Robert Wise -, avant de se diriger vers le petits écran où il va incarner un chasseur de primes de l'Ouest américain dans la fameuse série Au nom de la loi, entre 1958 et 1961.
     
     
    Auréolé de cet immense succès populaire, le cinéma lui fait les yeux doux et il va enchaîner les triomphes, qui vont en faire l'acteur le plus célèbre de sa génération : Les sept mercenaires (1960), La grande évasion (1963), L'affaire Thomas Crown (1968), Bullitt (1968), Le Mans (1970), Guet-apens (1972), Papillon (1973), La tour infernale (1974) et Le chasseur (1980) qui sera son ultime film.
     
     
    "L'affaire Thomas Crown (1968)".
     








     
    Marié entre 1957 et 1972 à Neile Adams (qui lui donnera un garçon et une fille, son petit-fils joue aujourd'hui dans la série Vampire Diaries), Steve est un homme à femmes et ne s'en cache pas. Il épousera en secondes noces l'actrice Ali McGraw (Love Story) qu'il rencontre sur le tournage de Guet-apens. Mais malgré l'amour fou qu'il éprouve pour elle, il ne cesse d'enchaîner les liaisons et de consommer toujours plus de drogues, ce qui le rend paranoïaque à l'extrême. Après sa rupture d'avec Ali, il s'installe avec la jeune Barbara Minty, un mannequin en vogue à l'époque.
     
     
    Ali MacGraw et Steve McQueen.
     
     
    Addict à l'extrême, il connaîtra le cannabis quotidiennement et surtout l'héroïne dont il deviendra rapidement accro et qui lui causera de graves problèmes de santé. Atteint d'un cancer des poumons qui ne tardera pas à se généraliser, il part se faire opérer au Mexique contre l'avis de ses médecins américains, et il décédera à l'âge de 50 ans, d'une crise cardiaque, un jour après son opération.
     
    Steve McQueen Ferrari 250 GT Berlinetta Lusso.
     
     
    Steve McQueen, photographié par Leonard McCombe, 1961.
     
     

     Steve McQueen et sa Jaguar,1960.
     
     
    Steve McQueen, la légende 1968.
     
     
    "Bullitt (1968)".
     
     
    Steve McQueen.
     






     
     
     
     
     
     
     
     
     

     

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