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      Brigtte Bardot in Le mépris, Jean Luc Godard 1963

      

     

     

     

    Brigtte Bardot

     

     

     

    Brigitte Bardot

     

     

     

     Brigitte Bardot in En Effeuillant la Marguerite

     

     

     

     

     

     Brigitte Bardot in L’appareil à Sous - 1961

     

     

     

     

    Brigitte Bardot

     

     

     

     

     

    Brigitte Bardot, La Parisienne, 1957

     

     

     

     

     

    Brigtte Bardot

     

     

     

     

     

     

     

    Brigtte Bardot

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Né le 16 avril 1889 à Londres (Angleterre)

     

    Décédé le 25 décembre 1977 à Vevey (Suisse)


     

    Chaplin in The Circus (1928)

     

     

     

     

     

     













     






     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     
     
    SOURCES
    SUPER BLOG
      
      
     
     
     
     
     
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    L'acteur voyou,

    le réalisateur Prodigieux, l'homme aux perpetuelles pensées.


    Robert Hossein est né Robert Hosseinhoff le 30/12/1927 à Paris.

    Robert Hossein, de son vrai nom Robert Hosseinhoff, est un acteur, metteur en scène, réalisateur, dialoguiste, et scénariste français, né le 30 décembre 1927 à Paris.

    Fils d'un compositeur, André Hossein, et d'une pianiste, Robert Hossein suit très tôt des cours de théâtre, auprès notamment de René Simon et de Tania Balachova. Il obtient son premier succès d'estime à 19 ans, avec un rôle dans la pièce "Les voyous". Il se dirige un temps vers la mise en scène, avec notamment "Docteur Jekyll et Mister Hyde", "La chair de l'orchidée" d'après James Hadley Chase, ou bien encore "L'homme traqué", d'après Francis Carco. Il débute sa carrière cinématographique en 1948 dans Le Diable boiteux , de Sacha Guitry, où il tient un petit rôle de figuration. Sa carrière s'accélère avec le film de Jules Dassin, "Du rififi chez les hommes". Il donne la réplique à Brigitte Bardot, dans "Le Repos du guerrier", et à Sophia Loren, dans " Madame sans gêne".

    En 1955, il réalise son premier film, "Les Salauds vont en enfer", dont il est également metteur en scène et acteur.

    Il épousera Marina VLADY, avec qui, il aura deux enfants. Après "Pardonnez nos offenses", qu'il réalise en 1956, et "Toi le venin". En 1959, le voilà en héros romantique, incarnant Jeoffrey de Peyrac, dans Angélique Marquise des Anges, et dans un registre plus intimiste, "La musica", de Marguerite Duras, en 1967. En 1968, il retrouve Michèle Mercier, sa partenaire d'Angélique, pour "Une corde, un colt", western français qu'il réalise et interprète.

    Il prend en charge en 1970 la Maison de la Culture de Reims, expérimentant un théâtre traité comme un véritable spectacle cinématographique. À son retour à Paris, Il se lance dans une série de grands spectacles au Palais des Sports et du Palais des Congrès de Paris, où le public est invité à prendre parti : "Le Cuirassé Potemkine", "Notre-Dame de Paris", ou bien encore "Danton et Robespierre". La comédie musicale "Les Misérables" connaîtra un succès phénoménal à Paris, et sera reprise à Broadway.

    Il aura multiplié entre temps les apparitions au cinéma, notamment dans "Le Casse", d'Henri Verneuil, en 1971", "Les Uns et les Autres", de Claude Lelouch, en 1981, ou encore "Vénus beauté (institut)", de Tonie Marshall, en 1999..

    Distinctions

    • Molière d'honneur, 1995
    • Grande médaille de vermeil de la Ville de Paris, 2000
    • Commandeur de la Légion d'honneur, 2005

    atou. Depuis 2000, il dirige le théâtre Marigny.

    Source : fr.wikipedia.org/.../r.wikipedia.org/wiki/Robert_Hossein.


    L'envie du théâtre viendra vite et il s'uinscrira aux cours Simon et ceux de Tania Balchova.
    Jouer est important mais la mise en scène l'attire.Il fera les deux, au théâtre puis au cinéma.Il aime bien les romans plociers de James Hadley Chase
    et de Frédéric Dard.Le cinéma commencera avec le grand Sacha Guitry.Roger Vadim lui donnera son premier grand rôle dans "Le repos du guerrier".
    De voyou il pourra être ainsi séducteur et cela se concrétisera par la série des "Angélique" qui plaît à toutes les générations .
    Comme il travaille sur ses films à lui ou mets en scène des spectacles et qu'il gère le théâtre populaire de Reims,
    il ne jouera en suite que des seconds rôles.


    Par contre ses grands spectacles attireront des centaines de milliers de spectacteurs:
    Le cuirassé Potemkine, ben hur, Notre dame de paris, Les misérables....
    Il quittera Marina Vlady et aura 2 nouvelles compagnes (et 2 nouveaux enfants)
    dont la comédienne Candice Patou .






    ROBERT HENNION... LES SOUVENIRS NE SONT PAS A VENDRE.... 1948
    SACHA GUITRY... LE DIABLE BOITEUX... 1948
    JEAN DELANNOY... AUX YEUX DU SOUVENIR... 1948
    RAYMOND BERNARD... QUAI DES BLONDES... 1954
    PIERRE FOUCAUD... SERIE NOIRE... 1955
    JULES DASSIN.... DU RIFIFI CHEZ LES HOMMES... 1955
    ROBERT HOSSEIN... LES SALAUDS VONT EN ENFER... 1956
    ROBERT HOSSEIN... PARDONNEZ NOS OFFENSES.. 1956
    GEORGE LAMPIN... CRIME ET CHATIMENT... 1956


    ROGER VADIM... SAIT ON JAMAIS... 1957
    YVES ALLEGRET... MEFIEZ VOUS FILLETTES... 1957


    HENRI AISNER... LA LIBERTE SURVEILLEE... 1958
    ROBERT HOSSEIN... TOI,LE VENIN.. 1959
    JEAN VALERE... LA SENTENCE... 1959
    ROBERT HOSSEIN... LES SCELERATS... 1959
    EDOUARD MOLINARO... DES FEMMES DISPARAISSENT.. 1959
    ALEX JOFFE... DU RIFIFI CHEZ LES FEMMES.. 1959
    ROBERT HOSSEIN ...LA NUIT DES ESPIONS ...1959


    GERARD OURY... LA MENACE ...1960
    MAURICE LABRO... LES CANAILLES ...1960
    ROBERT HOSSEIN... LE JEU DE LA VERITE... 1961
    ROBERT HOSSEIN... LE GOUT DE LA VIOLENCE ..1961


    DENYS DE LA PATELLIERE... POURQUOI PARIS?.. 1962
    JACQUELINE AUDRY... LES PETITS MATINS... 1962
    MARCEL BLUWAL... LE MONTE CHARGE ...1962


    CHRISTIAN JAQUE... MADAME SANS GENE... 1962


    ROGER VADIM... LE REPOS DU GUERRIER... 1962


    FABIEN COLLIN .... COMMISSAIRE MENE L'ENQUETE... 1963
    JULIEN DUVIVIER... CHAIR DE POULE... 1963
    CLAUDE AUTANT LARA... LE MEURTRIER ...1963


    ROGER VADIM ...LE VICE ET LA VERTU ...1963
    CHRISTIAN MARQUAND.... LES GRANDS CHEMINS... 1963
    ROBERT HOSSEIN... LA MORT D'UN TUEUR... 1964
    ANDRE HUNEBELLE ....BANCO A BANKOK POUR OSS 117... 1964


    ROBERT HOSSEIN... LES YEUX CERNES ...1964
    BERNARD BORDERIE... ANGELIQUE MARQUISE DES ANGES.. 1964


    ROBERT HOSSEIN ...LE VAMPIRE DE DUSSELDORF... 1965
    CHRISTIAN JAQUE.... GUERRE SECRETE ...1965
    DENYS DE LA PATELLIERE ...LA FABULEUSE AVENTURE DE MARCO POLO.. 1965
    DENYS DE LA PATELLIERE ...LE TONNERRE DE DIEU.... 1965
    CHRISTIAN JAQUE... LA SECONDE VERITE... 1966


    MAURO BOLOGNINI ..MADEMOISELLE DE MAUPIN... 1966
    ALEXANDRE ASTRUC... LA LONGUE MARCHE... 1966
    BERNARD BORDERIE... ANGELIQUE ET LE ROY... 1966


    BERNARD BORDERIE... BRIGADE ANTIGANGS.. 1966
    JEAN AUREL ...LAMIEL... 1967
    CHARLES GERARD... L'HOMME QUI TRAHIT LA MAFIA... 1967
    MARGUERITE DURAS.. LA MUSICA... 1967
    ROBERT HOSSEIN ...J'AI TUE RASPOUTINE ...1967
    BERNARD BORDERIE... INDOMPTABLE ANGELIQUE.. 1967
    SERGE KORBER...LA PETITE VERTU ...1968
     

    SERGIO GOBBI... MALDONNE ...1968
    MICHEL BOISROND.. LA LECON PARTICULIERE.. 1968
    JEAN VALERE ...LA FEMME ECARLATE... 1968
    BERNARD BORDERIE... ANGELIQUE ET LE SULTAN... 1968


    RENZO CERRATO... PAS DE ROSES POUR OSS 117... 1968
    SERGIO GOBBI... LE TEMPS DES LOUPS... 1969
    LUIGI MAGNI...LES CONSPIRATEURS... 1969
    PIERRE CHENAL ...LES LIBERTINES..1969
    GIORGIO FERRONI ....LA BATAILLE DE EL ALAMEIN.. 1969
    ROBERT HOSSEIN... UNE CORDE UN COLT... 1969

    CLAUDE LELOUCH... LA VIE L'AMOUR LA MORT....1969

    NADINE TRINTIGNANT... LE VOLEUR DE CRIMES... 1969

    MINO LOY ....SEPT HOMMES POUR TOBROUK... 1969

    ROBERT HOSSEIN ....POINT DE CHUTE.. 1970

    FEDERICO CHENTRENS... LE JUGE.. 1971

    JEAN LARRIAGA ...LA PART DES LIONS... 1971

    HENRI VERNEUIL.... LE CASSE... 1971

    ROGER VADIM.... HELLE ...1972

    ETIENNE PERIER... UN MEURTRE EST UN MEURTRE... 1972

    ROGER VADIM... DON JUAN OU SI DON JUAN ETAIT UNE FEMME ...1972

    JEAN LARRIAGA... UN OFFICIER DE POLICE SANS IMPORTANCE.. 1973

    DENYS DE LA PATELLIERE... PRETRES INTERDITS... 1973

    ROGER HANIN... LE PROTECTEUR... 1974

    ROGER HANIN... LE FAUX-CUL... 1975

    BERNARD QUEYSANNE... L'AMANT DE POCHE.... 1978

    CHRISTIAN PAUREILHE... DEMONS DE MIDI 1979

    CLAUDE LELOUCH ...LES UNS ET LES AUTRES... 1981

    GEORGES LAUTNER... LE PROFESSIONNEL... 1981

    ROBERT HOSSEIN ...LES MISERABLES... 1982

    ALEXANDRE ARCADY.. LE GRAND PARDON ...1982

    ROGER VADIM... SURPRISE PARTY ...1983

    ROBERT HOSSEIN... LE CAVIAR ROUGE ...1986

    CLAUDE LELOUCH.. UN HOMME ET UNE FEMME 20 ANS APRES... 1983

    GERARD OURY ...LEVY ET GOLIATH... 1987

    YANNICK BELLON... LES ENFANTS DU DESORDRE ..1989

    GEORGES LAUTNER ...L'INCONNU DANS LA MAISON... 1992

    SERGIO GOBBI... L'AFFAIRE ...1994

    CLAUDE LELOUCH... LES MISERABLES ...1995

    SERGIO STIVALETTI.. M.D.C MASCHERA DI CERA... 1997

    TONY MARSHALL... VENUS BEAUTE(INSTITUT) 1999

    ALBERTO BEVILACQUA... GIALLOPARMA... 1999

    FREDERC AUBERTIN... SAN ANTONIO... 2003

    SOPHIE MARCEAU ...LA DISPARUE DE DEAUVILLE 2006

    FRANCIS HUSTER....UN HOMME ET SON CHIEN... 2009

    GRAND METTEUR EN SCENE DE SPECTACLES

    et

    Metteur en scène de grands spectacles

      

      

     

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    "Bond, James Bond". Pour avoir la permission de dire cette phrase mythique, l'acteur Daniel Craig en aura bavé. Le script ne l'autorisera à sortir cette carte de visite qu'à la dernière minute du 21e James Bond, devenant définitivement le 6è double zéro sept du cinéma. Le premier à la chevelure blondinette, aux yeux bleus azur, au physique Gym Club. Le profil d'un grec ancien en train de lancer le javelot sur une amphore, son allure Mitchum et son nez de boxeur l'ont rendu plus souvent dur à cuire que séducteur, sur grand écran. Il faut signaler que Mister Craig est un très bon athlète et un joueur de rugby patenté.

     

    Mais Daniel le Splendide est avant tout réputé pour ses talents de comédien ... au théâtre. Elevé essentiellement par sa grande soeur, Lea, puis par leur mère, il découvre les planches très jeune. A 6 ans il joue dans les pièces de fin d'année et sa mère l'emmène aux représentations du Liverpool Everyman Theater. Quand il s'enrôle dans le National Youth Theater à Londres dès ses 17 ans, il a déjà joué Oliver, Roméo et Juliette ou encore Cendriollon .

     

    A 23 ans, il sort diplômé et semble-t-il doué de la London Guidhall School of Music and Drama, d'où sont aussi issus Alfred Molina, Eileen Atkins, Rhys Ifans, Joseph Fiennes, Ewan McGregor... Il fera ses débuts en Agamemnon chez Shakespeare. Y a pire.
    Comme de nombreux britanniques, il navigue entre la scène et le petit écran. La crédibilité et la popularité. Des petits rôles au cinéma lui facilitent un peu son train de vie qui lui font oublier ses petits jobs dans les cuisines de restos ou comme serveurs. Il voit du paysage, d'Espagne en Russie. Les années 90 restent cependant celles de l'apprentissage.

     

    La montée en puissance
     

    Les cinéphiles le remarquent dans Elizabeth et surtout dans Love is the Devil, où il incarne l'ami ouvrier du peintre Francis Bacon. Un film hypnotisant, quasi expérimental. Il flirte avec tous les genres, de désastres du type Je rêvais e l'Afrique (avec Kim Basinger) à des expériences plus intéressantes telle La Tranchée. Le monde entier le remarque surtout dans une grosse production d'action : Croft, Lara Croft. Tout le paradoxe de Craig se trouve là. Pendant qu'il tourne une bouse hollywoodienne, il choisit, aussi, un petit film indépendant pour lequel il obtient, presque à chaque fois, quelques prix. Son talent n'est jamais remis en cause, en revanche personne n'arrive à le trouver marquant dans un blockbuster.

     

    En 2002, le virage est engagé dans la bonne direction : Les sentiers de la perdition. Il y joue le fils revanchard de Paul Newman. Il y a une certaine logique à cette filiation. Les deux ont un physique athénien, et le sang chaud de Craig en fait une parfaite brute assoiffée de sang. Il apporte une densité, une ire intérieure qui volent parfois la vedette aux acteurs plus connus. Parallèlement, il impressionne les festivaliers du monde entier en gendre pas idéal de The Mother, où la mère de sa copine le conquiert amoureusement. Les autres films, malgré des castings plus prestigieux, ont moins d'impact que celui-ci. Dans Some Voices, il joue les psychotiques.

     

     

     

     

    Dans Endiuring Love, il fuit les avances d'un illuminé amoureux de lui. Il a l'air solide comme un Colosse de Rhodes et à chaque fois, un grain de sable vient troubler son identité. Il aime se paumer à travers des personnages qui le font dérailler de sa trajectoire. Tandis que les Américains préfèrent le voir en valeur sûre, celui sur lequel on peut compter.

      

     daniel craig

      

      

    En 2004, Layer Cake change la donne et au bon moment. Les producteurs de James Bond songent à remplacer Pierce Brosnan trop gourmand. Choix risqué tant Brosnan a relancé la série des 007, notamment auprès des nouvelles générations. Dans le polar de Matthew Vaughn, qui remporte un certain succès d'estime, il joue un "tough guy" proche de dealers et aimant se faire tabasser. déjà cela augurait de son côté maso dans Casino Royale. Un caïd qui flingue comme il faut : de quoi obtenir la licence du MI6. Il est définitivement parfait en tueur froid.

     

     

     

    Pari risqué
     

    Spielberg ne s'y trompe pas en le faisant entrer dans la bande de Munich, sous les ordres de Bana, lui aussi pressenti pour jouer les espions de sa Majesté. Un porte-flingue efficace et quasiment en binôme avec le chef. Le regard acier et l'intériorité de ses sentiments en font à la fois une force de la nature, une énigme à déchiffrer et un bellâtre à mater (il appartient même à la catégorie des comédiens qui savent se fringuer).

     

    En devenant 007, il prend un sérieux risque pour sa carrière. Hormis Connery, aucun acteur n'a réussi à se départir du costard/Martini qui l'a rendu célèbre. Les films ont même coulé Lazenby et Dalton. Moore en est devenu un pastiche à lui tout seul.

      

      

      

    Et Brosnan a toutes les peines du monde à faire des succès équivalents même en s'essayant à des productions à peu près similaires. "Je crois que Daniel Craig est un excellent choix pour James Bond" explique Steven Spielberg, "parce qu'il est un acteur sincère et concentré, et qu'il a surtout un subtil sens de l'humour." Premier James Bond né après les premiers James Bond, il est le symbole d'un renouvellement (génération et genre) de la série.

     

     

      

    Mais les tentations hollywoodiennes pourraient avoir raison de son envol. En oubliant ses racines, et en cédant trop facilement aux dollars, Craig pourrait se perdre et nous décevoir. Cependant, une belle carrière de 007 n'est pas à sous estimer. Peter Jackson avoue que "physiquement, Daniel Craig est certainement le Bond le plus âpre, le plus redoutable depuis Sean Connery." "Charismatique, talentueux, sexy" selon la productrice de la saga, Barbara Broccoli. N'en jetez plus.

     

      

      

    D'autant qu'il déteste les armes. "Les balles ont la détestable habitude de trouver leur cible..." Mais voilà Craig n'est bien que lorsqu'il se glisse dans la peau d'un autre. "J'ai toujours voulu être un acteur. J'ai l'arrogance de croire que je n'aurai pas pu faire autre chose."
     

     

      

      

      

    Actuellement abonné au fantastique et à Nicole Kidman, The Invasion et A la croisée des mondes, les Royaumes du Nord devraient le faire aimer du public pop corn. Mais, du même coup, il se fait oublier des cinéastes qui ont fait éclaté son talent : les auteurs.

     

     

    Photo Daniel Craig

      

      

    Daniel Craig ne devrait pas être trop longtemps étiqueté dans ce registre de "killer / kisser". Mais en ayant un début de carrière pré-jamesbondien intéressant, on peut imaginer qu'il saura rebondir. Il y a encore quatre ans il enchaînait les pièces Hurlyburly, Angels in America (création culte) et surtout A Number (meilleur comédien par le prestigieux Evening Standard Award), où il jouait trois rôles face au grand Michael Gambon. Mise en scène de Stephen Daldry, rien que ça (le réalisateur de Billy Elliott).
     

      

      

    Pendant ce temps, et en attendant l'épisode très attendu de 007 en 2008, il va profiter de la vie. "Je la vis comme si elle allait s'arrêter demain..." Mais on ne lui a pas dit que demain ne meurt jamais?

    arist007phane

     

    sources / http://www.ecrannoir.fr/stars/stars.php?s=549

      

      

      

    Daniel Craig est un acteur britannique né le 2 mars 1968 à Chester, en Angleterre. Il est le sixième acteur à interpréter officiellement le rôle de James Bond au cinéma, faisant ses débuts dans le 21e épisode de la saga, Casino Royale.  avant de reprendre le costume de l'agent secret dans les suites Quantum of Solace et Skyfall.

     

    daniel craig

      

    Biographie

     

    Daniel Craig est le fils de Timothy John Wroughton Craig, qui a servi dans la marine marchande et exercé divers métiers ; et d'Olivia Williams, professeur d'art. Il a une sœur plus âgée prénommée Lia. Élevé dans la petite ville de Frodsham, il est ensuite allé étudier au lycée de Hilbre. Craig s'est installé à Londres à seize ans pour rejoindre le National Youth Theatre. Il prend aussi des cours à la Guildhall School of Music and Drama, recevant un diplôme en 1991. En 1992, il fait ses premiers pas au cinéma dans La Puissance de l'ange de John G. Avildsen, avec Stephen Dorff, John Gielgud, Armin Mueller-Stahl et Morgan Freeman. Il enchaîne les seconds rôles dans de nombreux films indépendants, comme Elizabeth de Shekhar Kapur, Hotel Splendide de Terence Gross ou encore Berlin Niagara de Peter Sehr.

     

    Fichier:Daniel Craig 2012.jpg

      

    En 1996, il obtient son premier rôle principal sur le petit écran dans la minisérie Our Friends in the North et tient le premier rôle en 1997 dans un film biographique de la BBC consacré à Francis Bacon, Love Is the Devil: Study for a Portrait of Francis Bacon de John Maybury, avec Derek Jacobi. En 1998, il remporte le British Performing Award lors du Festival international d'Édimbourg pour son interprétation dans Love Is the Devil. En 2000, il obtient le British Independent Film Award du meilleur acteur pour Some Voices de Simon Cellan Jones. Il avait déjà été nommé en 1999 pour sa prestation de soldat anglais dans La Tranchée de William Boyd.

      

      

    Après avoir joué le rival d'Angelina Jolie dans Lara Croft : Tomb Raider (2001), il continue sa carrière aux États-Unis dans des seconds rôles, en gangster dans Les Sentiers de la Perdition film de Sam Mendes (2002), vivant une histoire d'amour avec une femme ayant le double de son âge dans The Mother (2003) avec Anne Reid.

      

    En 2005, il est un dealer de cocaïne dans Layer Cake avec Sienna Miller. En 2005 il intègre la distribution prestigieuse de Munich sous la direction de Steven Spielberg.

      

      

    En 2006, après avoir joué le rôle de James Bond dans Casino Royale, Craig est Lord Asriel dans l'adaptation au cinéma du roman de Philip Pullman, À la croisée des mondes : La Boussole d'or. Eva Green, qui a joué la Bond Girl Vesper Lynd dans Casino Royale figure également dans la distribution[4]. Dans une adaptation précédente du livre, Asriel avait été précédemment joué par Timothy Dalton, un des prédécesseurs de Craig dans le rôle de James Bond.

     

     

      

      

    Début 2007, Craig a exprimé son envie de jouer dans l’univers Star Trek, mais il n'est pas intégré dans la distribution du film Star Trek réalisé par J. J. Abrams, sorti en 2009. En 2008, Daniel Craig incarne pour la seconde fois l'agent 007 dans le 22e épisode Quantum of Solace. Il joue aussi Tuvia Bielski, le personnage principal du film Les Insurgés. À la fin janvier 2009, on apprend qu'il endosse le costume du pirate Rackham le Rouge, dans la Trilogie Tintin, réalisée par Steven Spielberg et Peter Jackson.

      

      

    En 2011, il joue le rôle du journaliste d'investigation Mikael Blomkvist dans l'adaptation cinématographique par David Fincher de la saga littéraire Millenium de Stieg Larsson. Le 27 juillet 2012, il participe à la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Londres pour laquelle il reprend son rôle de James Bond dans un mini-film où il est chargé d'escorter sa majesté la reine Élisabeth II jusqu'au stade. C'est l'unique apparition de la souveraine dans un film de fiction.

      

      

    Il épouse en 1992 l'actrice écossaise Fiona Loudon, avec qui il a eu une fille, Ella. Le couple divorce en 1994. Daniel Craig se remarie le 22 juin 2011 à New York avec l'actrice Rachel Weisz rencontrée sur le tournage du film Dream House.

      

      

    James Bond

     

    Désigné le 14 octobre 2005 pour devenir le huitième acteur à interpréter le rôle de James Bond au cinéma (le sixième de la série produit par EON après Sean Connery, George Lazenby, Roger Moore, Timothy Dalton et Pierce Brosnan), Daniel Craig a signé un contrat pour cinq films de l'agent secret.

     

      

    Daniel Craig - The Girl With the Dragon Tattoo remake

      

      

    Le premier, Casino Royale, dont le tournage a commencé fin janvier 2006, est sorti le 22 novembre 2006, suivi le 31 octobre 2008 par le vingt-deuxième James Bond de la série officielle réalisé par Marc Forster[7] : Quantum of Solace, et enfin par le vingt-troisième épisode de la série officielle : Skyfall, sorti le 26 octobre 2012.

      

      

      

    Daniel Craig est le troisième acteur anglais après David Niven et Roger Moore, à endosser le smoking de James Bond. Excepté Barry Nelson qui est américain, et George Lazenby qui est australien, tous les autres acteurs sont britanniques [8]. Son choix a déçu, voire choqué de nombreux fans de l'agent 007, dont une grande partie propose même de boycotter le film. De nombreux acteurs ont exprimé publiquement leur soutien à Craig suite aux nombreuses polémiques. Sean Connery a déclaré que Craig était « un très bon choix pour incarner 007 »

     

    En 2006, Craig a été nommé aux British Academy of Film and Television Arts dans la catégorie du BAFTA du meilleur acteur, ce qui constitue une première pour un acteur interprétant James Bond. Le 2 février 2007, il est également le premier acteur à gagner une récompense pour son rôle de James Bond aux Evening Standard British Film Awards, recevant la récompense du meilleur acteur des mains de la reine Elizabeth II.

     

     

     

      

    Daniel Craig reprend aussi le smoking de 007 pour les adaptations vidéoludiques, comme l'avait fait auparavant son prédécesseur Pierce Brosnan. Il prête alors ses traits et sa voix pour le jeu 007 Quantum of Solace, ce dernier retrace l'aventure de Casino Royale et de Quantum of Solace, sortie sur la plupart des consoles et PC. Puis il reprend le costume pour deux aventures inédites, la première étant GoldenEye, aventure pas si inédite que cela puisqu'elle est adaptée du film éponyme sorti en 1995 avec Pierce Brosnan en 007, mais inédite pour Craig qui remplace ce dernier.

      

      

    Puis dans 007 Blood Stone, aventure 100% inédite comme l'étaient les épisodes Nightfire ou encore Quitte ou Double. Les jeux sont sortis le 5 novembre sur Wii pour GoldenEye, mais aussi le 5 novembre sur PS3, X360, PC et DS pour Blood Stone.

     

    Fichier:Daniel Craig on Venice yacht crop2.jpg

      

    Filmographie

    Cinéma

      

      

      

      

      

    Télévision

    Téléfilms

      wenn3260646

    Séries télévisées

      

    Émission spéciale

      

    Jeux vidéo

    Distinctions

    Récompenses

    Nominations

    Voix francophones

     

      

    http://www.celebitchy.com/category/daniel_craig/page/4/

     

     

     

     

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     Anthony Quinn - Photos Hot

     

     

    Quinn Anthony (1915-2001)

     

    Anthony Quinn naît le 21 avril 1915 à Chihuahua, au Mexique.

    Il est le fils d’une Mexicaine de du sang aztèque et d’un descendant irlandais qui fut compagnon de lutte du révolutionnaire Pancho Villa.

     

      

      

    Très jeune, il part vivre aux Etats-Unis car sa mère est à la recherche de son époux qu’elle retrouve à El Paso, au Texas, travaillant sur les voies ferrées.

      

    C’est dans cette ville texane que

    Mrs Quinn donne naissance à sa soeur : Stella.

      

      

      

      

    La famille vient s’installer dans le faubourg mexicain de Los Angeles où elle connaît la dure existence des émigrés.

      

    Son mari trouve un emploi d’accessoiriste dans les studios de cinéma mais un stupide accident d’automobile le ravit bientôt à l’affection des siens et contraint son fils à travailler.

     

     

    Anthony Quinn - Images Gallery

     

     

      

    Ils devient cireur de chaussures, électricien, chauffeur de taxi, prêcheur auprès de l’évangéliste Aimée Semple McPherson ou sparring partner du boxeur Prima Carnera.

     

    Son défaut d’élocution est à l’origine de sa carrière d’acteur. Après une opération à la langue à 18 ans, il se fait donner des cours de diction par Katherine Hamill qui enseigne l’art dramatique dans l’école où il est portier.

      

      

    Il prend goût à la comédie et tente sa chance en 1933 en répondant à une annonce passée par Mae West.

      

    C’est un succès, il devient son partenaire sur scène dans

    « Clean beds ».

     

     

     

    Cette prestation est du goût du cinéaste Lew Landers qui lui offre son premier rôle dans « Parole » (1936) malgré le rôle mineur qu’il se voit decerner.

     

     

    Anthony Quinn

      

      

    Apprenant que Cecil B. De Mille a du mal à compléter sa distribution d’Indiens

    pour « Une Aventure De Buffalo Bill » (1937) où jouent Gary Copper, Jean Arthu et James Ellison.

      

    Il se fait passer pour un authentique Peau Rouge et obtient le rôle du brave qui pousse son peuple à la guerre.

      

      

    C’est pendant ce tournage qu’il va lier connaissance avec celle qui est devenue sa femme le 21 octobre 1937 Katherine,

    la fille adoptive de Cecil B. De Mille,

    ce géant d’Hollywood a qui il a osé tenir tête.

      

      

      

    Jusqu’en 1947, il n’est bon, aux yeux de ses employeurs que pour personnifier les méchants et les traîtres.

      

    En 1952, son interprétation de « Viva Zapata » (1952)

    avec Marlon Brando et Jean Peters lui vaut

    l’Oscar du Meilleur Second Rôle.

     

     

     

      

    Il reçoit le second pour son incarnation de Gauguin dans

      

    « La Vie Passionnée De Vincent Van Gogh » (1956)

    de Vincente Minnelli avec Kirk Douglas.

      

    En 1953, Anthony tourne en Italie :

      

    il participe notamment à l’aventure d’ « Ulysse » avec Kirk Douglas.

     

     

    Puis vient sa rencontre capitale avec Frederico Fellini qui lui offre son rôle de Zampano, le forain tendre et brutal de

      

    « La Strada » (1954) lui ouvre les portes du vedettariat.

     

     

     

     

    Son rôle de Quasimodo dans « Notre-Dame De Paris » (1956) avec Gina Lollogrigida le place parmi les tragédiens de 1er plan.

     

     

     

    En 1958, Anthony Quinn réalise grâce à son beau-père Cecil B.

    De Mille le remake des « Boucaniers » (1958) avec Yul Brynner.

    Dés lors, les personnages principaux lui sont enfin confiés.

      

     

     

     

    En 1972, il publie son autobiographie intitulée

    « The Original sin ».

     

    Il n’arrête plus de tourner malgré son âge et la maladie qui le frappera en fin de carrière et il travaille avec des stars aussi grandes les unes de les autres :

    Sophia Loren,

    Kirk Douglas,

    Henry Fonda,

    Lana Turner,

    Gregory Peck,

    David Niven,

    Mickey Rooney,

    Orson Welles,

    Ingrid Bergman,

    James Coburn,

    Rita Hayworth,

    Michael Caine,

    Dolorel Del Rio,

    James Mason,

    Kevin Kostner,

    Wesley Snipes,

    Maureen O’Hara,

    Lauren Bacall,

    Katharine Hepburn,

      

    Keanu Reeves et Sylverster Stallone.

     

     

     

     

     

    C’est d’ailleurs aux côtés de ce dernier qu’il jouera pour la dernière fois de sa vie dans « Mafia Love » (2002), une petite parodie de la pègre comme on les aime.

      

    Véritable bourreau des coeurs, il s’est marié à 3 reprises

     

    - Katherine De Mille (1911-1995), fille de Cecil B. DeMille,

    du 3 octobre 1937 jusqu’au 21 janvier 1965.

      

    Ils eurent 4 enfants.

    - Jolanda Addolori du 2 janvier 1966 jusqu’au 19 août 1997.

      

    Ils eurent 3 enfants.

    - Kathy Benvin de 1997 jusqu’à son décès.

      

    Ils eurent 2 enfants.

    Anthony Quinn est mort d’un cancer de la gorge le 3 juin 2001 à Boston, dans le Massachussetts.

     

    Francesco un de ses fils, décédé en 2011

      

      

      

    Ses enfants s’appellent Francesco (1962-2011),

    Valentina (1952-),

    Lorenzo (1966-),

    Alex A. (1976-),

    Danny Quinn (1964-),

    Christopher

      

    (je n’ai pas d’informations pour ses autres enfants).

      

      

    Son fils Lorenzo est père de 2 enfants et tous ses sont lancés à leur tour dans le cinéma.

     

    Retrouvez son étoile au Walk of Fame au numéro 6251 sur Hollywood Boulevard

      

      

      

    Quelque unes de ces citations :

    « En Europe, un acteur est un artiste.

    A Hollywood, s’il ne travaille pas, il est clochard »

      

    « Le sexe est si facile quand vous êtes acteur, surtout à Hollywood.

    Ce n’est pas plus compliqué que d’acheter un hamburger »

      

      

    « Ils disent tous que j’étais bon pour jouer les Indiens »

     

    Anthony Quinn et Rita Hayworth

    Pour plus d’informations, visitez :

    http://www.cinememorial.com/Acteur_detail.php?id=493

     

     

    Les vendanges du feu

     

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    Ulysse

     

     Anthony Quinn

     

     
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    Liz Taylor, la femme au cœur brûlant

    Hommage | On la croyait immortelle… Image de la passion hollywoodienne (version tempétueuse), Liz Taylor, huit mariages et des dizaines d’histoires enflammées, vient de disparaître après une longue lutte contre la maladie. Elle avait tourné avec Mankiewicz, Minnelli, George Stevens… donné la réplique à Rock Hudson, James Dean, Montgomery Clift ou Richard Burton, l’homme de sa vie… Disparue des écrans depuis le milieu des années 80, érigée en icône gay, elle fut très active dans la lutte contre le Sida. A 79 ans, la Diva aux yeux violets, l’un des plus grands mythes du cinéma, disparaît. Un volcan s’éteint.

    Le 23/03/2011 à 00h00
    Marie Colmant

    Pour commencer, il faut arrêter de l’appeler Liz, parce qu’elle détestait ça. Elizabeth donc, née le 27 février 1932, à Londres, fille de Francis Taylor, marchand d’art, et de Sara Taylor, actrice. Comme Judy Garland dix ans plus tôt, Elizabeth est poussée par sa mère vers les studios Universal, mais c’est finalement la MGM qui la récupère. Elle a à peine 10 ans quand elle devient la star de Fidèle Lassie, dont le héros est un chien. Un an plus tard, elle est la petite fille qui aime si fort son cheval dans Grand National. L’Amérique se découvre une passion pour cette nouvelle enfant-star, cette Amérique qui a tant aimé les facéties du tandem Judy Garland/ Mickey Rooney et les merveilleuses anglaises de Shirley Temple. Et de fait, jusqu’en 1951, la splendide brunette au regard violet sera cantonnée dans un seul type de films, familiaux, gentillets, voire franchement gnangnans. Entre Les Quatre filles du Docteur March, et Le Père de la mariée, Elizabeth Taylor attend son heure en jouant les jeunes filles de bonne famille. 

     

    Sa carrière prend un virage décisif en 1951, avec Une Place au soleil, un film de George Stevens, qui le premier, décèle le tempérament de feu de l’actrice et de la jeune femme, en lui offrant le rôle d’une riche héritière capricieuse et mondaine. A ses côtés, Shelley Winters, et surtout surtout la beauté ombrageuse de Montgomery Clift. Le film de Stevens marque une rencontre capitale entre Elizabeth et Monty, une amitié sur le fil du rasoir de l’amour. Une photo glanée au hasard des archives de la belle en dit long sur le lien qui unit ces deux-là. Au cours d’une pause, sur le tournage de Soudain l’éte dernier, on y voit Elizabeth Taylor, lunettes noires à la Jackie, petit foulard soixante, pantalon cigarette, les jambes négligemment posées sur une chaise devant elle ; allongé à côté d’elle, la tête alanguie posée sur ses cuisses, Monty Clift. A propos d’Elizabeth, il confessera d’ailleurs que, si les hasards de l’orientation sexuelle l’avaient poussé vers les femmes plutôt que vers les hommes, elle aurait sans aucun doute été la femme de sa vie.



    Cinq ans plus tard, le même George Stevens, décidément très inspiré, lui proposera, pour Géant, un autre partenaire tout aussi ténébreux, d’une sensualité brute de décoffrage, mais tout aussi homosexuel que Monty Clift : Rock Hudson qui deviendra, lui aussi, un de ses proches amis.

      

    ♣..♥..♣..♣..♥..♣

      

    On comprend mieux aujourd’hui d’où lui vient cette image d’icône gay. Icône peut-être, gay-friendly sûrement, et de la première heure, avant même que ce ne soit dans le coup. Géant offre aussi à l’actrice un rôle enfin à la mesure de son talent mais aussi de son physique de femme de plus en plus fatale, de plus en plus volcanique.

      

      

    Et en la voyant dans L’Arbre de vie, d’Edward Dmytrik, tourné un an plus tard, on ne peut s’empêcher de penser à Vivien Leigh en Scarlett O’Hara : même beauté délicate, même jeu en équilibre entre la force et la vulnérabilité, mêmes crinolines aussi, puisque le film a pour cadre le Sud des Etats-Unis après la Guerre de sécession.

    Elisabeth Taylor

      

    Côté ville et côté cœur, Elizabeth ne chôme pas. En 1957, à vingt-cinq ans seulement, elle en est déjà à son troisième mariage. Après Nicholas Hilton, Michael Wilding (dont elle a deux fils), elle épouse Mike Todd, dont elle aura une fille née la même année. Le bonheur avec Mike Todd sera de courte durée, il meurt dans un accident d’avion un an à peine après leur mariage.



    Les dix années qui vont suivre gravent dans le marbre le mythe Taylor. Qu’elle ne doit pas seulement à sa beauté. Définitivement chatte sur un toit brûlant, elle joue à l’instinct, en dégageant une charge érotique à la limite du supportable pour le code Hays, qui régit les bonnes mœurs du cinéma de l’époque. Elle a bon goût en matière de cinéma et choisit ses rôles avec soin. Pas seulement les rôles, d’ailleurs, les metteurs en scène aussi. Avec Joseph Mankiewicz, l’homme qui donna aux actrices américaines quelques-uns de leur plus beaux rôles (Bette Davis dans Eve, pour ne citer qu’elle), servis par des dialogues ciselés, elle trouve un réalisateur à la mesure de son talent.

      

    Pour lui, elle plongera dans les affres de Soudain l’été dernier, chef-d’œuvre tordu qui gravera à jamais cette image d’Elizabeth Taylor en robe très décolletée, s’arrachant les cheveux dans un long hurlement en découvrant le cadavre de son cousin, victime d’une lapidation. C’est, en effet, parce qu’il s’approchait trop des jeunes gens que le personnage souffre cette mort atroce. Le film est hanté aussi par la présence de Katharine Hepburn, campant avec succès une formidable sorcière, mère vampire et rabatteuse pour son gentil fils. Le film vaudra un Gloden Globe de meilleure actrice à Elizabeth Taylor.



    On comprend mieux pourquoi elle accepte le Cléopâtre que le même Mankiewicz lui propose quelques années plus tard, en 1963. Un rôle définitif qui lui collera à la peau toute sa vie. Pourtant, objectivement, le film est loin d’être le meilleur de Mankiewicz, ni d’Elizabeth Taylor. Mais ce Cléopâtre la porte aux nues. Elle trône désormais, forte de son cachet d’un million de dollars. C’est une première. Telle la reine d’Egypte, la reine d’Hollywood exige des centaines de costumes, le plus grand coiffeur du monde, le plus grand maquilleur. En 1963, rien ne sera refusé à Elizabeth Taylor, elle obtient tout.



    Mais, au-delà de ce décorum
    dont il ne reste que quelques images fugaces, principalement à base de doré, il transpire du film quelque chose d’autrement plus fascinant et qui n’a rien à voir avec la cinéphilie. Nos yeux de spectateur enregistrent la naissance d’une des plus belles histoires d’amour du cinéma. La rencontre entre une femme-tempête et un homme-ouragan. A l’époque, Elizabeth est mariée depuis quatre ans à l’acteur Eddie Fisher, mais l’attraction exercée par Richard Burton est du genre irrésistible. Il faut dire qu’il porte beau en jupette et en cothurnes, et qu’il arrive sur le tournage précédé de cette auréole de comédien shakespearien qui impressionne tant les acteurs américains. Richard Burton n’est pas très beau, mais il a un charme dingue, malgré sa réputation confirmée d’homme à femmes et surtout de grand buveur.


     

    Au fil du tournage, l’idylle devient passion, et c’est justement ce bouillonnement du sang échauffé par tant de passion entre les deux acteurs principaux qui rend le film passionnant. Et scandaleux aux yeux du Vatican, qui s’émeut publiquement de cet adultère étalé à la face du monde, mais aussi aux yeux des autorités américaines, qui multiplient les tentatives pour empêcher les scandaleux du Nil de revenir sur le territoire américain. Finalement, c’est la raison de l’argent qui l’emportera sur la morale. La Fox, productrice du film, après s’être agacée de cet amour inopportun, en voit tout le bénéfice possible. Neuf jours après son divorce prononcé, Elizabeth Taylor épouse Richard Burton, le 15 mars 1964, à Montréal. La même année, ils adoptent une petite orpheline allemande âgée de 3 ans, Maria Carson. Leur histoire d’amour survit à toutes les tourmentes pendant dix ans.

     

     

    Richard Burton doit s’adapter à la vie de sa superstar de femme, s’habituer à la présence des paparazzis qui les harcèlent sans cesse, frayer avec une jet-set qu’il ne connaît pas. Toutes choses qui sont le quotidien d’Elizabeth Taylor depuis près de vingt ans. Ensemble, ils tournent deux films mémorables, La Mégère apprivoisée et surtout Qui a peur de Virginia Woolf ? (qui vaudra un Oscar à Elizabeth, rien à Burton qui le méritait tout autant). Le film laissera des souvenirs embarrassés à une équipe de tournage qui voit les deux acteurs se déchirer dans des scènes de ménage cinématographiques trop proches de la réalité.

     

     

    En 1975, Burton et Taylor jettent l’éponge et se séparent. Trop d’alcool, trop de disputes. Un an plus tard, pourtant, ils font une deuxième tentative et se remarient. Pour l’occasion, il lui offre le plus gros diamant du monde. Elle est folle de joie. Pourtant, leur histoire est bel et bien finie en 1976. Richard Burton meurt en 1984 d’une hémorragie cérébrale alors qu’Elizabeth est divorcée d’un sénateur républicain, en attendant d’épouser son garde du corps en cinquièmes noces. A ce point de sa vie, Elizabeth Taylor se met en retrait du cinéma pour lutter contre toutes sortes de maladies qui lui empoisonnent la vie : alcoolisme, obésité, cancer de la peau, hémorragie cérébrale. Elle n’en reste pas moins étonnante dans cette façon d’annoncer son cancer à travers une photo d’elle prise sur son lit d’hôpital, où on la découvre quasiment chauve. Gonflé pour un sex-symbol. Dès le milieu des années 80, elle consacre beaucoup de son temps et de son énergie à la lutte contre le Sida. Sans épargner personne, et surtout pas Frank Sinatra (dont elle a acheté la maison de Bel-Air), qu’elle accuse publiquement d’avoir refusé de débourser le moindre centime. Une action qui donnera à son amie Line Renaud l’idée de faire de même en France.

    La véritable histoire d’amour de Liz et Richard

     

    Les dernières années de sa vie sont des années de souffrance. Pourtant, elle n’en reste pas moins une femme de bien. En septembre 2004, le magazine français Vogue lui consacre un reportage réalisé, pour la partie images, par le photographe Bruce Weber. Il appartient au clan des fidèles depuis cette photo historique, prise au temps de la gloire, où elle émergeait de sa piscine couverte de bijoux, avec un perroquet sur l’épaule. On y apprenait qu’elle ne pouvait presque plus bouger de son lit et que chaque mouvement de ce corps distordu par les maladies était une douleur.

      

      

    A la dernière page, une surprise sous forme de photo : Elizabeth Taylor âgée, en caftan lamé, la tête renversée en arrière buvant une bouteille non pas de champagne mais de Gatorade (sorte de limonade américaine). Pas une photo volée, non, une photo posée, approuvée forcément par la star, comme pour nous dire: « Tout ce que j’ai été, je le revendique, voilà comme je suis aujourd’hui. ».

     

    C’était ça, Elizabeth Taylor.

      

      

     

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  • BRIGITTE BARDOT

     

     

    Née le 28 septembre 1934 à Paris, Brigitte Anne-Marie Bardot fut sans aucun doute l'actrice française la plus connue dans le monde dans les années 1950 et 1960. Passionnée très jeune pour la danse classique, elle intègre en 1949 le conservatoire de Paris. La même année, elle est engagée par la directrice du magazine Elle dont elle fait alors la couverture.

      

     

    BRIGITTE BARDOT

      

      

    Elle se tourne vers la comédie et suit des leçons chez René Simon, ses parents s'opposent à ce qu'elle devienne actrice mais sous l'insistence de son grand père ils lui laissent tenter sa chance, elle se présente alors au casting d'un film de Marc Allégret qui ne se fera finalement pas et y rencontre son futur mari Roger Vadim ( ils se marieront en 1952 à ses 18 ans ), l'assistant d'Allégret. Elle apparaît pour la première fois à l'écran aux côtés de Bourvil dans Le trou Normand de Jean Boyer en 1952. .

     

     

    En 1953, Anatole Litvak lui offre un petit rôle dans Un acte d'amour avec Kirk Douglas tandis que Sacha Guitry lui propose de jouer Mademoiselle de Rosille, dans Si Versailles m'était conté... aux côtés de Jean Marais. Elle apparaît aux côtés de Gérard Philippe et Michèle Morgan dans Les Grandes manœuvres de René Clair, préférant "un petit rôle dans un très bon film [à] un grand rôle dans un mauvais film".

     

    Brigitte Bardot : l’interview pleine de révélation réalisée par Laurent Delahousse sur France 2

     

     

    Elle obtient la consécration et devient un sex-symbol international pour son rôle dans Et Dieu... créa la femme de Roger Vadim en 1956 et fait aussi sensation au Festival de Cannes où elle éclipse toutes les grandes stars, tant elle est sollicitée par les photographes

     

     

     

    On la retrouve en 1957 dans Une Parisienne de Michel Boisrond aux côtés de Henri Vidal et Charles Boyer et est présente au Festival de Venise l'année suivante avec En cas de Malheur de Claude Autant-Lara avec pour partenaire Jean Gabin. En 1960, malgré l'interdiction de son mari, elle tourna pour Henri-Georges Clouzot dans La Vérité, le tournage fut éprouvant, le réalisateur n'hésitant pas à la gifler pour qu'elle pleure. Le film est considéré par beaucoup comme son chef d'œuvre. Après une tentative de suicide le jour de son anniversaire en 1960, elle s'engage en 1962 pour la cause animale en militant pour le pistolet d'abattage indolore dans les abattoirs.

     

     

    Après avoir interpréter du Gainsbourg à la télévision, Jean-Luc Godard l'engage dans Le Mépris en 1963. Elle donne la réplique à Jeanne Moreau l'année suivante dans Viva Maria! de Louis Malle, il n'était pas facile pour elle qu'on la compare à un monstre sacré du cinéma comme Jeanne Moreau.

     

     

     

    Le film est un immense succès et la critique est unanime quant à la performance de Brigitte Bardot, n'hésitant pas à faire remarquer que celle ci volait la vedette à sa collègue. En 1968 elle enregistre un album avec Serge Gainsbourg et des tubes comme Harley-Davidson ou Bonnie and Clyde puis reprend sa carrière au cinéma pour Shalako qui se l'un des plus mauvais films de sa carrière.

     

     

     

     

    On la retrouve en 1970 dans L'Ours et la Poupée de Michel Deville et en 1971 dans Les Pétroleuses de Christian-Jaque aux côtés de Claudia Cardinale. Elle achève sa carrière aux côtés du débutant Francis Huster dans L'histoire très bonne et très joyeuse de Colinot trousse-chemise en 1973.

     

     

     

     

     

    Filmographie :

     

     

     

     

    1952 : Le Trou normand - de Jean Boyer
    1952 : Manina, la fille sans voiles - de Willy Rozier
    1952 : Les Dents longues - de Daniel Gélin
    1953 : Le Portrait de son père - de André Berthomieu

     

     

     

     

     

    1953 : Un acte d'amour - de Anatole Litvak
    1953 : Si Versailles m'était conté... - de Sacha Guitry
    1954 : Haine, Amour et Trahison - de Mario Bonnard
    1954 : Le Fils de Caroline Chérie - de Jean-Devaivre
    1955 : Futures Vedettes - de Marc Allégret
    1955 : Rendez-vous à Rio - de Ralph Thomas

     

     Brigitte Bardot Brigitte Bardot Photo

     

     

    1955 : Les Grandes Manœuvres - de René Clair
    1955 : La Lumière d'en face - de Georges Lacombe
    1955 : Cette sacrée gamine - de Michel Boisrond
    1956 : Les Week-ends de Néron - de Steno
    1956 : En effeuillant la marguerite - de Marc Allégret

     

     

     

     

     

    1956 : Et Dieu… créa la femme - de Roger Vadim
    1956 : La mariée est trop belle - de Pierre Gaspard-Huit
    1956 : Hélène de Troie - de Robert Wise
    1957 : Une Parisienne - de Michel Boisrond

     

     

     nicolas charrier

     

     

    1958 : Les Bijoutiers du clair de lune - de Roger Vadim
    1958 : En cas de malheur - de Claude Autant-Lara
    1959 : La femme et le pantin - de Julien Duvivier

     

    nicolas charrier 

     

     

    1959 : Babette s'en va-t-en guerre - de Christian-Jaque
     

    Brigitte Bardot

    1959 : Voulez-vous danser avec moi ? - de Michel Boisrond
    1960 : L'Affaire d'une nuit - de Henri Verneuil

     

     

     

    maman et bébé 

     

    1960 : La vérité - de Henri-Georges Clouzot

     

    les parents charrier 

     

    1961 : La bride sur le cou - de Roger Vadim
    1961 : Les amours célèbres - de Michel Boisrond

     

    bb à la maternité 

     

     

    1962 : Vie privée - de Louis Malle
    1962 : Le repos du guerrier - de Roger Vadim
    1963 : Paparazzi - de Jacques Rozier

     

    maman brigitte 

     

    1963 : Le mépris - de Jean-Luc Godard

     

    le père de brigitte 

     Brigitte et son Papa

     

    1963 : Une ravissante idiote - de Édouard Molinaro
    1964 : Chère Brigitte - de Henry Koster
    1965 : Viva María ! - de Louis Malle

     

     

     

     

    1967 : À cœur joie - de Serge Bourguignon
    1968 : Histoires extraordinaires - de Louis Malle

     

     

     

     

     

    1968 : Shalako - de Edward Dmytryk
    1969 : Les femmes - de Jean Aurel

     

     

     

    http://caviardujour.com/ 

     

     

     

    1970 : L'ours et la poupée - de Michel Deville
    1970 : Les novices - de Guy Casaril
    1971 : Boulevard du rhum - de Robert Enrico

     

     

     

     

     http://moviestarmakeover.com/

     

     

    1971 : Les pétroleuses - de Christian-Jaque
    1973 : Don Juan 73 ou si Don Juan était une femme - de Roger Vadim
    1973 : L'Histoire très bonne et très joyeuse de Colinot Trousse-Chemise - de Nina Companeez

     

     

     

    BRIGITTE BARDOT

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    http://honey-rider.tumblr.com/

     

     

     

    Brigitte Bardot, St. Tropez, Juillet 1958 

     

     

     

     

     

     

    Image via: designerrdiary.blogspot.com 

     

     

     

     http://chantemavie.centerblog.net/rub-brigitte-bardot-et-sa-famille--2.html

     

     

    Image via Google

     

     

     

     

     

     

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