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    Qui était Theda Bara ?

    De son vrai nom Theodosia Burr Goodman, Theda Bara est une actrice américaine populaire du cinéma muet. Elle est la fille d'un tailleur d'origine juive né en Pologne, Bernard Goodman et de sa femme Pauline Louise de Copett, née en Suisse et d'origine juive également. Le couple aura deux autres enfants, Marque (1888–1954) et Lori Bara (née Esther: 1897–1965) qui deviendra à son tour actrice.

      

     

     

    Theodosia s'intéresse très jeune au théâtre, et dès que ses études à la Walnut Hills High School (1903) sont achevées, elle teint ses cheveux blonds en noir, et se lance à la poursuite de son rêve.

      

     

     

     

     

      

    Elle arrive à New York en 1908 et décrochera cette même année un rôle à Broadway dans The Devil. Elle décroche son premier rôle au cinéma en 1914 dans le film The Stain, sous son vrai nom.

      

    Ce rôle, bien que très mineur, lui ouvre les portes de l'empire cinématographique naissant, et lui permet d'obtenir l'année suivante le rôle principal du "vampire" dans A fool there was.

      

    Le personnage de la "vamp" est naît et lance la carrière de Theda Bara.

     

     

     

      

    Elle change son nom en Theda Bara qui est l'anagramme d'"Arab Death", bien que ce pseudonyme soit en réalité inspiré du nom patronymique de sa mère, Barranger. Les studios mettent en œuvre une importante campagne autour de son image. Elle était réputée posséder des pouvoirs surnaturels, était toujours parées de voiles et de nombreux bijoux et se faisait volontiers photographier avec des crânes et des serpents. La Fox lui louera même une suite dans un hôtel particulier dont l'intérieur, créé pour recevoir la presse, ressemblait à une chambre de sultane.

      

    Le public est fasciné et à chacun de ses films le succès est au rendez-vous. En 1919 après sept films dont le dernier est The Lure of Ambition, elle ne renouvelle pas son contrat avec la Fox, son rôle de Vamp devenant pesant et elle ne retrouvera jamais le succès malgré quelques tentatives dont la dernière est Madame Mystery en 1926, qui est une parodie de son personnage. Lors de l'incendie des studios, une grande partie de ses films sont détruits. Il n'en reste aujourd'hui que six copies complètes, sur plus d'une quarantaine.

      

    Elle se marie en 1921 au réalisateur Charles Brabin, et le restera jusqu'à sa mort. Bien qu'ayant voulu par la suite retourner sur scène, son époux s'opposa à une nouvelle carrière. Elle passa le reste de sa vie entre New-York et Hollywood, avant de décéder en 1955, à l'âge de 70 ans, d'un cancer de l'estomac.

      

      

     

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    Chaplin Charlie (1889-1977)

     

    Charlie Chaplin, de son vrai nom Charles Spencer Chaplin, naît le 16 avril 1889 naît à Londres, en Angletere.

    Demi-frère de l'acteur Sydney Chaplin.

    Né dans un quartier pauvre, Charles Spencer Chaplin est le fils de Charles Chaplin et de Hannah Hill (connue sous le nom de scène Lili Harley), tous 2 artistes de music-hall.

    Il n'a qu'un an lorsque son père part en tournée aux Etats-Unis. Il aura alors plusieurs demi-frères, l’un plus vieux que lui (Sydney, en 1885 d’une relation avec Sydney Hawkes), l’autre plus jeune (Wheeler Dryden né en 1892 et ayant pour père Léo Dryden). Lorsqu'il revient des Etats-Unis, Chaplin-père découvre la nouvelle situation conjugale et abandonne sa famille…

    La misère s'installe au foyer et l'altération de la santé de sa mère et les séjours à l'orphelinat peuplent cette enfance difficile, dont les souvenirs inspireront “Le Kid”. Entre 9 et 12 ans, Chaplin commence une carrière d'enfant de la balle dans la troupe des Eight Lancashire Lads.

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    Il obtient à partir de 1903 une succession de contrats au théâtre, puis en 1908, il est engagé dans la troupe de Fred Karno, alors le plus important impresario de sketches. Au cours d'une tournée de la troupe en Amérique, la compagnie Keystone lui adresse une proposition de contrat qu’il accepte : l'aventure du cinéma commence.

     

     

     

    Les tournages de l’époque étaient rapides et des films mis en boite en quelques heures. Ne supportant pas les pressions dues à ces temps très brefs, Chaplin crée le personnage raffiné de Charlot le vagabond, et recentre tout son comique autour du nouveau personnage et de sa silhouette qu'il inaugure dans “Charlot Est Content De Lui” (1914).

    Dès cette première apparition, le public et les commandes des distributeurs affluent. Mécontent du travail des réalisateurs, Chaplin prend en main, à partir de juin 1914, la mise en scène de ses films : son ascension est alors fulgurante, ses salaires décuplent d'années en années et change régulièrement de studio.

      

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    En 1916, il signe un contrat de distribution d’un million de dollars avec la First National, qui lui laisse la production et la propriété de huit films prévus. Il fait alors immédiatement construire son propre studio dans lequel il réalise 9 films dont “Une Vie De Chien”, “Le Kid” et “Charlot Soldat”.

      

     

    Charlie Chaplin  le kid

     

      

    En 1919, un vent de révolte souffle sur Hollywood où les acteurs et cinéastes se déclarent exploités : Chaplin s'associe alors à David Wark Griffith, Mary Pickford et Douglas Fairbanks pour fonder la United Artists.

      

     

    gold rush

     

    Son 1er film pour sa nouvelle firme sera “L'Opinion Publique” (1923). Puis, Chaplin fait peu à peu entrer dans son univers comique celui du mélodrame et de la réalité sociale comme dans “La Ruée Vers L'Or” (1925).

      

      

     charlie

     

    Le cinéma connaît alors la révolution du parlant.

      

    charlie chaplin  les lumieres de la ville  1931

     

      

    Dans “Les Lumières De La Ville” (1931) Chaplin introduit des effets sonores, mais ne se détourne pas de son projet initial de film muet. Encore plus étonnant, pour

      

    les temps modernes

      

    “Les Temps Modernes” (1936), il enregistre quelques scènes dialoguées puis se ravise, faisant de cette œuvre le dernier film muet.

      

     

    charlie chaplin

     

    Ce film est également l'ultime apparition à l'écran de Charlot. Ne pouvant pas ignorer le cinéma parlant, il tourne en 1940

      

    le dictateur

     

    “Le Dictateur” dans lequel il s'insurge contre la tyrannie qui envenime l'Europe.

     

    Sydney Chaplin

    En 1943, alors qu'il vient de se marier pour la 4ème fois, il est victime d'un procès en reconnaissance de paternité que lui intente l'actrice Joan Berry et qui défraie la chronique.

      

      

    En 1946, Chaplin tourne son film le plus dur “Monsieur Verdoux”, critique du monde de l'Après-Guerre.

    En 1950, il vend la quasi-totalité de ses parts à la United Artists et travaille aux “Feux De La Rampe” où le cinéaste décrit la triste fin d'un clown dans le Londres de son enfance. Ses propres enfants apparaissent comme figurants et Sydney tient le premier rôle. Le film sort en 1952 à Londres et vaut un triomphe à son auteur.

    Harcelé par le FBI en raison de ses opinions de gauche, il se voit refuser le visa de retour lors de son séjour en Europe pour la présentation de son film. Il renonce alors à sa résidence aux Etats-Unis et installe sa famille en Suisse jusqu'à la fin de ses jours.

      

      

    Après avoir reçu le Prix international de la paix en 1954, il tourne à Londres “Un Roi A New York “(1957) où il ridiculise la “Chasse Aux Sorcières” menée dans l'Amérique de la Guerre froide. En 1967, il tourne son dernier film, en couleurs, “La Comtesse De Hong-Kong” avec Sophia Loren et Marlon Brando.

    Au cours de sa vie, il se maria 4 fois et eut 10 enfants :

    - Mildred Harris du 23 octobre 1918 jusqu'en 1920. Ils eurent un enfant (mort né).

    - Lita Grey du 26 novembre 1924 jusqu'au 25 août 1928. Ils eurent 2 enfants.

    - Paulette Goddard de juin 1936 à juin 1942. Ils n'eurent aucun enfant.

    Toutes 3 étaient ses partenaires à l'écran.

     

    Paulette Goddard

    - Oona O'Neil, fille de l'acteur dramatique Eugène O'Neil, du 16 juin 1943 jusqu'à son décès le 25 décembre 1977. Ils eurent 8 enfants. 

    Ses mariages ont défrayé la chronique américaine, en effet, il a 29 ans quand il se marie avec Mildred Harris qui a 15 ans ; il en a 35 quand il épouse Lita Grey qui a 16 ans ; il a 47 ans quand il convole avec Paulette Goddard qui a 22 ans et il a 54 ans lors de son mariage avec Onna O'Neil qui a 18 ans.

    Au cours des années 70, le monde entier lui rendra hommage : Prix spécial au Festival de Cannes en 1971, Lion d'or à la Mostra de Venise, Légion d'Honneur, anoblissement par la reine du Royaume-Uni, Oscar spécial…

    Fêté et adulé, Sir Charles Spencer Chaplin s'éteint le 25 décembre 1977.

     

     

    Quelques unes de ces citations :

    “Le whisky ! Rien n’est plus rude à avaler… Dans les pays civilisés, on boit du vin !” 

    “Quand le destin se mêle du sort des hommes, il ne connaît ni pitié, ni justice”

    “La connaissance de l’homme est à la base de tout succès”

    “A aucun moment de l'histoire, le respect humain n'a brillé d'un très vif éclat” 

     

    Retrouvez son étoile au Walk of Fame au numéro 6751 sur Hollywood Boulevard

     

    les temps modernes

     

    (Pour visionner la vidéo, et supprimer le fond sonore du blog, clique sur le logo central deMixpod- colonne de gauche - le son sera supprimé )

     

     

     
     
     
     
     
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    Jeffrey Leon Bridges est un acteur, chanteur et producteur américain

    né le 4 décembre 1949 à Los Angeles.

     

    Jeffrey Bridges est le fils de l'actrice-poète Dorothy Bridges (née Simpson) et de l'acteur Lloyd Bridges Y a-t-il un pilote dans l'avion ?, Hot Shots !,…).

     

    Jeff Bridges | 28 Sexy Pictures Of Older Actors When They Were Young

     

     

    Il a un frère, Beau, lui aussi acteur. Il avait un autre frère, Garrett, mais il est mort en 1948 du syndrome de la mort subite du nourrisson.

     

     

    Beau,Lloyd and Jeff Bridges . . grew up watching their dad on 'Sea Hunt' . . . have always like all three men's work.

     

     

    Il a aussi une petite sœur, Lucinda. Pendant son enfance, il se lie alors fortement à son frère Beau, et grandit dans le quartier Holmby Hills de Los Angeles.

     

     

     

    Dès son adolescence, Jeff apparaît avec son frère Beau dans le show de leur père Lloyd sur la chaîne CBS, The Lloyd Bridges Show (1962-1963). Il trouve son premier rôle majeur en 1971 dans le film en noir et blanc de Peter Bogdanovich, La Dernière Séance, pour lequel il obtient une nomination à l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle.

     

    Il reprendra à nouveau ce rôle dans la suite du film : Texasville en 1990.

     

    Jeff Bridges est à nouveau nommé pour l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle pour son face à face avec Clint Eastwood dans Le Canardeur (1974) de Michael Cimino.

     

    En 1976, il tient le premier rôle dans le remake de King Kong.

     

      

      

    En 1982, il obtient l'un de ses rôles les plus populaires : celui du programmeur de jeux vidéo Kevin Flynn dans le film de science-fiction Tron.

     

    À cette époque, il a fait partie des noms qui ont circulé pour incarner John Rambo dans le film Rambo.

     

    Jeff Bridges: | 21 Actors Who Experienced The Prime Of Their Life In Truly Beautiful Ways

    Il fut aussi envisagé pour tenir le rôle du détective Sonny Crockett dans la série Deux flics à Miami, mais Don Johnson fut finalement engagé.

      

      

    En 1984, il est nommé à l'Oscar du meilleur acteur pour sa performance dans Starman de John Carpenter. Il obtient pour ce rôle le Saturn Award du meilleur acteur.

     

    Ce rôle d'extraterrestre lui a valu également la seule nomination à ce jour pour un rôle non humain.

     

    Jeff Bridges... One cool dude. Love his movies... Love his music... Love him. :)

    La même année, il rencontre un bon succès avec le thriller Contre toute attente de Taylor Hackford puis, l'année suivante, dans le drame À double tranchant de Richard Marquand.

      

      

    En 1986, il fait une apparition dans le téléfilm réalisé par son frère Beau Bridges, The Thanksgiving Promise, dans lequel on retrouve également le fils de Beau, Jordan. En 1988, il interprète Preston Tucker dans le film de Francis Ford Coppola, Tucker.

     

    Preston Tucker était un constructeur d'automobiles dans les années 1940-1950 qui voulait développer sa propre marque de voiture mais qui s'est heurté aux grandes firmes américaines telles que General Motors, Chrysler et Ford.

     

    Il tient ensuite les premiers rôles dans Susie et les Baker Boys (1989), de Steven Kloves, et Le Roi Pêcheur (1991), de Terry Gilliam.

      

      

    En 1993, sa performance dans État second de Peter Weir lui vaut des critiques élogieuses dont certaines pensent qu'il s'agit là de son meilleur film. La même année, il failli jouer dans Speed. Le rôle de Jack Traven était à l'origine écrit pour lui.

     

     

    Il est choisi par Walter Hill en 1995 pour incarner le célèbre shérif Wild Bill Hickok dans Wild Bill. Il travaille ensuite avec Ridley Scott pour Lame de fond (1996), un film basé sur l'histoire vraie du naufrage de l'Albatross en 1961.

     

    En 1998, il joue « le Duc » (The Dude) dans The Big Lebowski de Joel et Ethan Coen aux côtés de John Goodman, Steve Buscemi, John Turturro et Julianne Moore.

     

      jeff bridges & marc O`Polo, 2013

      

     

    En 2000, il est à nouveau nommé à l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle pour le film Manipulations de Rod Lurie. En 2005, il retrouve le réalisateur Terry Gilliam pour Tideland.

     

    En 2008, il est à l'affiche du film Iron Man, l'adaptation du comic book du même nom de Marvel. Il tient le rôle d'Obadiah Stane alias Iron Monger, l'ennemi d'Iron Man.

     

      

    En 2010, il décroche l'Oscar du meilleur acteur pour le film Crazy Heart, de Scott Cooper. Il y incarne Bad Blake, une ancienne star de musique country sur le déclin. Il apparaît la même année dans le très attendu Tron : L'Héritage de Joseph Kosinski, dans lequel il reprend le rôle de Kevin Flynn ainsi que celui de Clu 2.0 (version améliorée du personnage Clu de Tron).

     

    L'acteur profite d'une modélisation 3D impressionnante pour le rôle de Clu 2.0, ce dernier n'étant pas humain et n'ayant pas vieilli, conservant le visage de Kevin Flynn, celui de 1982. Pour ce film, Jeff Bridges est considéré comme étant le premier acteur à avoir donné la réplique à une version plus jeune de lui-même.

     

     

      

    En 2011 il tient le rôle principal dans un western de Joel et Ethan Coen : True Grit, pour lequel il est une fois de plus nommé à l'Oscar du meilleur acteur .

      

    Susan Geston Jeff Bridges married

      

    Jeff Bridges rencontre sa future femme Susan Geston sur le tournage

    du film Rancho Deluxe (1975). Cette dernière travaillait dans le ranch qui servait de lieu de tournage pour le film. Ils se marient en 1977.

     

    Ils auront ensemble trois filles : Isabelle (née en 1981), Jessica Lily (née en 1983) et Hayley Rose louise (née en 1985). Il est également l'oncle de l'acteur Jordan Bridges.

     

      

    Jeff Bridges and Susan Geston - 82nd Annual Academy Awards - Arrivals 6

     

    Passionné de musique, il a sorti deux albums de musique country, Be Here Soon en 2000 et Jeff Bridges en 2011. Ce deuxième album s'est très bien vendu aux États-Unis, atteignant la 25e place du classement Billboard 200.

     

      

      

    C'est un très bon ami de Nick Nolte, Tommy Lee Jones, Kurt Russell et Gary Busey. Jeff Bridges est connu pour être un consommateur de cannabis, et dans une interview, il a admis avoir fumé sur le tournage de The Big Lebowski des frères Coen, mais que sa consommation n'était pas régulière.

     

    Il est engagé dans une association humanitaire qui vient en aide aux enfants qui souffrent de la faim.

      

      

    Filmographie

    Acteur

    Années 1950/1960

    • 1951 : The Company She Keeps de John Cromwell : le bébé à la gare (non crédité)
    • 1958 : Remous (Sea Hunt) (série TV) - Saison 1, épisodes 28 et 32 : Davy Crane
    • 1962-1963 : The Lloyd Bridges Show (série TV) - Épisodes 13, 18 et 23 : Dave Melkin
    • 1965 : The Loner (série TV) - Épisode 15 : Bud Windom
    • 1969 : Sur la piste du crime (The F.B.I.) - Saison 5, épisode 4 : Terry Shelton
    • 1969 : Silent Night, Lonely Night (TV) de Daniel Petrie : John (jeune)

     

      Young Jeff Bridges - in a timeless casual ensemble.  oh ya...he was hot.

      

      

    Années 1970

     

    Jeff bridges with Lloyd and brother Beau, circa 1975.

    Années 1980

     

    Années 1990

     

    Années 2000

    Années 2010

    Producteur

    SOURCES WIKIPEDIA

      

      

     

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    HELEN MIRREN

      

    Biographie

    Helen Mirren a été faite Dame de l'Empire Britannique en 2003.

     

    Dame Helen Mirren DBE, née Yelena Vasilievna Mironova le 26 juillet 1945 à Londres, est une actrice anglaise.
    Elle reçoit l'Oscar de la meilleure actrice pour son interprétation de la reine Elisabeth II dans le film The Queen de Stephen Frears (2006).

    Elle est également connue du grand-public pour occuper le premier rôle de la série Suspect n°1 (Prime suspect), où elle interprète l'inspecteur Jane Tennison.

      

     

     

     
    Elle demeure l'une des comédiennes britanniques les plus célèbres et les plus respectées. Travaillant aussi bien pour le théâtre que pour le cinéma et la télévision, elle s'est fait connaître pour ses rôles audacieux et a remporté plusieurs prix.

    Avant d'incarner Elizabeth II, elle était la reine Charlotte dans LA FOLIE DU ROI GEORGE de Nicholas Hytner, rôle pour lequel elle obtient le prix d'interprétation au Festival de Cannes 1995 et une citation à l'Oscar de la meilleure actrice dans un second rôle.

    C'est au National Youth Theatre qu'elle débute avant d'intégrer la Royal Shakespeare Company en 1967. Elle y interprète plusieurs personnages du répertoire classique, comme Tressida dans Troilus et Cressida et Lady Macbeth dans Macbeth, mis en scène par Trevor Nunn. En 1972, elle rejoint la troupe du grand metteur en scène Peter Brook avec laquelle elle part en tournée dans le monde entier.




     

     

    La carrière cinématographique d'Helen Mirren commence avec AGE OF CONSENT (1969) de Michael Powell, où elle donne la réplique à James Mason, mais c'est avec RACKET de John Mackenzie qu'elle
    s'impose vraiment en jouant la maîtresse au caractère bien trempé de Bob Hoskins : la critique voit déjà en elle une star montante.

     

     

    Elle enchaîne très vite les rôles, inscrivant notamment son nom à l'affiche de EXCALIBUR de John Boorman et CAL de Pat O'Connor, où son interprétation d'une veuve amoureuse d'un homme plus jeune lui vaut un deuxième prix d'interprétation à Cannes en 1984.

     



     

    Elle tourne ensuite MOSQUITO COAST de Peter Weir, LE CUISINIER, LE VOLEUR, SA FEMME ET SON AMANT de Peter Greenaway, WHERE ANGELS FEAR TO TREAD de Charles Sturridge et SOME MOTHER'S SON de Terry George, qu'elle a également co-produit.

    Helen Mirren décroche une deuxième citation à l'Oscar pour sa prestation dans GOSFORD PARK de Robert Altman, ainsi qu'une citation au Golden Globe pour son rôle dans CALENDAR GIRLS de Nigel Cole.

    Elle a aussi donné la réplique à Robert Redford dans L'ENLEVEMENT de Peter Jan Brugge.

    Au début des années 90, elle joue l'inspecteur de police Jane Tennison dans la série « Prime Suspect », couronnée à l'Emmy et au BAFTA.

    En1999, elle remporte un Emmy et une citation au Golden Globe pour « The Passion of Ayn Rand » où elle tient le rôle-titre.

     

    Helen MIRREN une actrice talentueuse

     

    Vous allez tout de suite vous rappeler de son visage, malgré qu'elle jouait une personne célèbre pour son faciès immobile et froid, The Queen. La talentueuse Helen MIRREN était la comédienne de génie qui montrait avec si peu, dans un jeu minimaliste la force et les faiblesses de la rigide Elizabeth II. Révélée par ce rôle, pas vraiment car si celui-ci l'a fait exploser de récompense comme un oscar pour la meilleure actrice, elle fût deux fois élue meilleure actrice à Cannes, et elle collectionne les titres prestigieux de tous les jurys.

     

     

    Femme à la soixantaine rayonnante, à la peau fraiche, un signe naturel de l'embellissement joyeux d'un caractère doux et persuasif pour cette lionne. Elle a brillé très tôt, elle a choisi d'avoir une parole assez libre et des engagements personnels et discrets dans ses choix de vie, mais aussi de rôles, variés, voire même délicats.

      

     

     

     

    J'aime cette franchise qui sort des clichés sur cette femme. Elle fait son âge car elle n'a pas joué, abusé de bistouris sur ses Cher, pardon ses chairs. Elle est un soleil qui avance, séduit encore, et s'accompagne d'une féminité, qui ne peut rendre insensible.

     

    Oui, j'apprécie son charme, celui d'aujourd'hui, vif, simple, droit, et surtout cette élégance sans faille.

     

     

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    Helen Mirren débute sa carrière sur les planches de la National Youth Theatre, en Grande-Bretagne. A la scène comme sur petit écran, elle excelle alors dans l'interprétation d'oeuvres de Shakespeare (Trolius et Cressida, Hamlet) et intègre en toute logique la Royal Shakespeare Company.

    En 1969, elle joue dans le drame Age of Consent, son premier film en tête d'affiche, puis apparaît au générique de la comédie musicale Le Meilleur des mondes possibles.

     

    Elle varie ensuite les genres, incarnant la maîtresse du gangster Bob Hoskins dans Racket (1981), la fée Morgane dans Excalibur (1981), une cosmonaute russe dans 2010 (1984) ou la femme d'Harrison Ford dans Mosquito Coast (1986).

     

    En 1984, elle reçoit un Prix d'interprétation cannois pour son incarnation d'une veuve irlandaise dans Cal.

     



    Son élégance fait merveille lorsqu'elle incarne la Reine Charlotte dans La Folie du roi George (1994, nouveau Prix cannois), ou une maîtresse de maison dans le Gosford Park de Robert Altman (2002).

     

    Mais elle sait également camper des personnages plus sombres (la professeur sadique de Mrs. Tingle, 1999; L'Enlèvement, 2003) ou plus touchants (la femme mûre de Calendar girls, 2003).

     

     

    Young People And The Performing Arts - reception 

    En 2005, elle donne la réplique à Kate Hudson dans la comédie Fashion Maman sour la direction de Garry Marshall.

     

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    La même année, elle incarne la Reine Elizabeth I dans la mini-série éponyme (Elizabeth I).

     

     

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    Stephen Frears fait alors appel à elle pour reprendre la couronne d'Elizabeth II dans The Queen, rôle pour lequel elle obtient de nombreuses récompenses, dont la Coupe Volpi de la Meilleure interprétation féminine lors de la 63ème Mostra de Venise, l'Oscar, le Golden Globe, le BAFTA ou l'European Film Award de la Meilleure Actrice.

     

    Absente des écrans en 2007, elle revient dans la peau de la mère de Benjamin Gates (toujours interprété par Nicolas Cage) dans Benjamin Gates et le Livre des Secrets et participe aux Jeux de Pouvoir de Kevin McDonald avant de tenir l'affiche de Tolstoï, le dernier automne.

     

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    En 2011, Helen Mirren tient le rôle-titre du thriller L' Affaire Rachel Singer avant de s'illustrer dans une comédie, Arthur, un amour de Milliardaire, dans lequel elle interprète la nourrice plutôt terre à terre d'un jeune milliardaire plus que loufoque, interprété par Russell Brand.

     

     

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    mon coup de coeur

     

     

     

     

     

     


     

     

     

     

    Helen Mirren dans The Queen

     

     

     

    The Queen, de Stephen Frears


    Rares sont les biopics qui se consacrent à une personnalité de son vivant. Et pourtant. Parmi quelques exceptions, The Queen apparaît comme l'une des plus grandes réussites du genre. L'idée forte de son metteur en scène, Stephen Frears, repose avant tout sur le choix de la période évoquée.

     

    Ainsi, l'histoire de The Queen débute après l'annonce du décès de Lady Diana. Portée par l'admirable performance de la comédienne Helen Mirren, l'oeuvre de Frears reçut de très nombreux prix, parmi lesquels le César du Meilleur Film Etranger, l'Oscar de la Meilleure Actrice ou bien encore la Coupe Volpi de la meilleure interprétation féminine (à la Mostra de Venise 2006).

     

    © Pathé Distribution

     

     

     

     

     

     

     

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    Michèle Morgan, de son vrai nom Simone Roussel, est une actrice française, née le 29 février 1920 à Neuilly-sur-Seine, dans le département de la Seine (aujourd'hui Hauts-de-Seine).

     

    Biographie :

    Elle est l'aînée de 4 enfants. Lorsqu'elle a 3 ans, Marcel Schultz, un collègue de travail de son père et astrologue amateur, lui prédit dans son thème astral la célébrité dans le monde. Son père, chef de service dans une maison de parfum d’exportation, est au chômage après la crise de 1929. En 1933, il installe sa famille à Dieppe, rue de la Barre, où il reprend le fonds de commerce d'une épicerie mais fait faillite deux ans plus tard[1]. Elle découvre la scène lors des spectacles du Casino de Dieppe.

     

    Fichier:Michele Morgan (The Chase).jpg

     

     

    Elle a publié ses mémoires, Avec ces yeux-là, en 1977 :
     

    1935 : elle décide avec son frère cadet Paul de fuguer de l'école et d'aller chez ses grands-parents à Paris ; par l'intermédiaire d'agences de casting, elle y décroche son premier rôle de figurante dans Mam'zelle Mozart au cours duquel le réalisateur Yvan Noé lui conseille de se perfectionner en prenant des cours d’art dramatique

     

    1936 : elle suit des cours de formation théâtrale chez René Simon

     

    1937 : Jeanne Witta la recommande à Marc Allégret. Après un essai concluant, elle signe son premier contrat (12 500 F) pour Gribouille. Tournage de Février à Avril. Premier succès. RKO lui propose un contrat à Hollywood sur la base de 2000 F par semaine. En octobre et décembre, elle tourne Orage avec Charles Boyer, la grande star de l'époque. Elle prend le surnom de Michèle Morgan.

     

    1939 : le 3 septembre c'est la guerre. Jean Gabin est mobilisé à Cherbourg dans la marine nationale. Il obtient une permission exceptionnelle pour terminer le film Remorques.

    Le 15 septembre 1942, elle épouse aux États-Unis William Marshall, dont elle aura un fils, Mike Marshall (1944-2005).

    Toujours en 1942, lors de son séjour aux États-Unis, Michèle Morgan tourne un bout d'essai pour le rôle principal de "Soupçons" le film que prépare Hitchcock ; elle ne fut pas retenue à cause de son anglais insuffisant et il est permis aujourd'hui de regretter que cette rencontre n'eût jamais lieu. Également pour un problème de production, le rôle féminin de Casablanca, qui révéla la comédienne Ingrid Bergman, lui échappe. Michèle Morgan reconnaît par la suite avoir commis plusieurs erreurs durant sa carrière : elle refuse ainsi le rôle principal de Johnny Belinda, qui vaut à Jane Wyman l'Oscar de la meilleure actrice, et celui de La Nuit de Michelangelo Antonioni.

    Au théâtre, elle renonce, par peur de la scène, à participer à la création de Thé et Sympathie, qui connaît ensuite le succès avec Ingrid Bergman. En 1948, elle divorce. En 1950, elle convole avec Henri Vidal ; ils tourneront plusieurs films ensemble. Après le décès de celui-ci en 1959, elle sera la compagne du cinéaste Gérard Oury, jusqu'au décès de ce dernier en 2006.

    En 1957, elle tourne Retour de manivelle, film qui marque un tournant dans sa carrière : incarnant jusqu'ici principalement des héroïnes fragiles, elle y joue une femme fatale de série noire, ce qui lui vaut ce jugement : « On est étonné de voir comment ses yeux peuvent devenir durs, sa bouche méprisante et sa voix cruelle »[3].

    Après Benjamin ou les Mémoires d'un puceau en 1967, elle suspend sa carrière, enregistre des poèmes et se consacre essentiellement à la peinture (dont la passion correspond à sa rencontre avec Moïse Kisling en 1943 à Los Angeles, le peintre franco-polonais réalisant son portrait) ou à la haute couture. Elle réapparaît épisodiquement pour la télévision, le cinéma ou le théâtre.

     

    Elle est surtout connue pour son regard d'un bleu limpide très photogénique, un peu énigmatique et lointain, qui fut parfois comparé à celui de Garbo, et gravé à tout jamais dans la mythologie du cinéma. Ce regard fut souligné par Jacques Prévert dit par Jean Gabin dans Le Quai des brumes de Marcel Carné où le personnage incarné par Jean Gabin (avec qui elle noue une idylle) lui murmure : « T'as d'beaux yeux, tu sais. », à quoi elle répond :

    « Embrassez-moi » puis « Embrasse-moi ».

    Principales récompenses : 1946 Grand prix d'interprétation au festival de Cannes pour La symphonie pastorale. En 1948, Victoire de la meilleure actrice (Cinémonde). En 1950, Victoire du cinéma français (Samothrace de Cinémonde). 1950/1952/1953/1954/1955 Premier prix de popularité (Ciné-revue). En 1954, Triomphe du cinéma français, Prix de la meilleure interprétation féminine pour "Les orgueilleux" (Ciné-revue). En 1955-1956, Victoire du cinéma français (Cinémonde), Triomphe du cinéma, vedette N°1 du cinéma français. En 1961, en Espagne, Prix de la meilleure actrice étrangère pour "Menschen im hôtel" (Grand hôtel).

     

    Distinctions

    Le prix d'interprétation féminine (le premier de l'histoire française) lui sera décerné au Festival de Cannes en 1946 pour le rôle de Gertrude dans La Symphonie pastorale de Jean Delannoy. Elle est la présidente du jury en 1971.

    Elle reçoit le triomphe Belge en 1955.

    1960 Elle est faite Chevalier des arts et des lettres;

    1967 Médaille de vermeil de la ville de Paris;

    1969 Chevalier de la Légion d'honneur; 1975 Officier de l'ordre national du mérite, membre du conseil d'administration de FR3 (jusqu'en 1981);

    1994 Commandeur de la Légion d'honneur;

    2009 Grand officier de la Légion d'honneur.

     

      

    Voir liste films ci dessous

    YVAN NOE ...MADEMOISELLE MOZART 1935

    ROBERT SIODMAK ...LA VIE PARISIENNE 1935

    RENE GUISSSART... UNE FILLE A PAPA 1936

    YVAN NOE... MES TANTES ET MOI 1936

    LEONIDE MAGUY ...LE MIOCHE 1936

    YVAN NOE ...GIGOLETTE 1936

    MARC ALLEGRET ...GRIBOUILLE 1937

    MARC ALLEGRET... ORAGE 1937

    MARCEL CARNE ...QUAI DES BRUMES 1938


    A VALENTIN ...L'ENTRAINEUSE 1938

    MAURICE GLAIZE ......LE RECIF DE CORAIL 1939

    G LACOMBE... LES MUSICIENS DU CIEL 1939

    JACQUES FEYDER... LA PISTE DU NORD 1939


    JEAN GREMILLON... REMORQUES 1940

    J DUVIVIER ... UNTEL... PERE ET FILS 1940

    L MILESTONE ...MY LIFE WITH CAROLINE 1941

    R STEVENSON ...JEANNE DE PARIS 1942

    EDWARD L MARIN ...TRAHISON EN MER 1943

    TIM WHELAN... AMOUR ET SWING 1943

    MICHAEL CURTIZ ...CAP SUR MARSEILLE 1944

    JEAN DELANNOY ...LA SYMPHONIE PASTORALE 1946


    ARTHUR RIPLEY... L'EVADEE 1946

    CAROL REED... PREMIERE DESILLUSION 1947


    A BLASETTI ...FABIOLA 1948


    JEAN DELANNOY...AUX YEUX DU SOUVENIR 1948


    MARC ALLEGRET... MARIA CHAPDELAINE 1948

    J P LE CHANOIS ...LA BELLE QUE VOILÀ 1949



    RENE CLEMENT...LE CHÂTEAU DE VERRE 1950

    JEAN GREMILLON ...L'ETRANGE MADAME X 1950

    CL AUTANT LARA ...LES 7 PECHES CAPITAUX 1951

    JEAN DELANNOY...LA MINUTE DE VERITE 1952

    JEAN DELANNOY...DESTINEES 1952



    YVES ALLEGRET... LES ORGUEILLEUX 1953


    JEAN DELANNOY...OBSESSION 1954


    YVES ALLEGRET ...OASIS 1955

    RENE CLEMENT ...LES GRANDES MANŒUVRES 1955


    CL AUTANT LARA ...MARGUERITE DE LA NUIT 1955

    SACHA GUITRY ...SI PARIS NOUS ETAIT CONTE 1955


    JEAN DELANNOY...MARIE ANTOINETTE 1955


    JEFFREY HAYDEN... LES VENDANGES 1957

    D. de la PATELLIERE ...RETOUR DE MANIVELLE 1957

    ANDRE CAYATTE ...LE MIROIR A 2 FACES 1958



    HENRI VERNEUIL... MAXIME 1958

    G FRANCIOLINI... FEMMES D'UN ETE 1958

    HENRI DECOIN... POURQUOI VIENS TU SI TARD 1959

    C MASTROCINQUE... BREVES AMOURS 1959

    G REINHARDT ...GRAND HOTEL 1959

    ROBERT HOSSEIN... LES SCELERATS 1960

    ALEX JOFFE ...FORTUNAT 1960


    F VILLIERS ...LE PUITS AUX 3 VERITES 1961

    HENRI VERNEUIL ...LES LIONS SONT LACHES 1961

    P AGOSTINI ...RENCONTRES 1961

    GERARD OURY ... LE CRIME NE PAIE PAS 1961

    CLAUDE CHABROL... LANDRU 1962


    DUCCIO TESSARI... LE PROCES DES DOGES 1963

    F VILLIERS ...CONSTANCE AUX ENFERS 1963


    A HUNEBELLE ...MEFIEZ VOUS MESDAMES 1963

    JACQUES ROBIN... LES PAS PERDUS 1964

    ROBERT HOSSEIN.... LES YEUX CERNES 1964

    E PERRIER... DIS MOI QUI TUER 1965


    MARK ROBSON... LES CENTURIONS 1966


    M DEVILLE ...BENJAMIN OU LES MEMOIRES D'UN PUCEAU 1967

    C LELOUCH...LE CHAT ET LA SOURIS 1975

    C LELOUCH ...ROBERT ET ROBERT 1978

    C LELOUCH ...UN HOMME ET UNE FEMME 20 ANS DEJA 1986

    G TORNATORE ...STANNO TUTTI BENE 1990

      

      

      

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    Gérard Lanvin est né le 21 Juin 1950 à Boulogne-Billancourt. A 17 ans, il arrête ses études et vit de petits boulots dont vendeur de jeans sur les marchés. Son envie de faire la comédie lui vint assez jeune alors que le père de l'un de ses amis jouait dans la pièce de Molière "Le malade imaginaire". Lanvin fit alors connaissance avec Coluche et Miou-Miou qui se sont lancés dans une aventure du "café-théâtre" à laquelle il participe de plus en plus. A la suite d'une rencontre avec Martin Lamotte et l'actrice Christine Dejoux, ils s'associent pour monter à leur tour un nouveau "café-théâtre", "La veuve Pichard" après avoir sillonné la France avec son camion rempli de jeans. Après avoir servi d'homme à tout faire à la toute jeune troupe, il finit par se retrouver sur scène à l'occasion de "La Revanche de Louis XI", puis remplace Thierry Lhermitte dans "Amour, coquillages et crustacés" (version scénique des Bronzés), devient madame Germaine (la concierge) dans "Fromage ou désert", puis cuisinier du Prince Charmant dans la pièce de Philippe Bruneau "Elle voit des nains partout".

     


     

     

     

    C'est Coluche qui lui offre en 1977 son premier vrai rôle au cinéma dans "Vous n'aurez pas l'Alsace et la Lorraine" où il incarne le chevalier blanc. Lanvin est catalogué d'acteur comique et apparait ensuite dans le film "Bête mais discipliné"au côté de Claude Zidi. Après diverses apparitions dans des comédies, 1980 est pour lui l'année déterminante de sa carrière. En effet, au Festival de Cannes il tient la tête d'affiche du polar "Extérieur nuit" ainsi que de la comédie dramatique de Bertrand Tavernier : "Une semaine de vacances".Il est alors considéré comme l'un des espoirs du cinéma français. A la télévision, on le voit dans "La traque" de Philippe Lefebvre. En 1981, il enchaine avec le film "Une étrange affaire" au côté de Michel Piccoli pour lequel il obtient le Prix Gabin. 1982 est l'année de "Tir groupé" qui obtient beaucoup de succès, sans compter la nomination aux Césars de Lanvin. Tout cela confirme sa place d'espoir du cinéma français. Cette même année, Gérard Lanvin retrouve Michel Piccoli pour le film "Le prix du danger" puis en 1983 il tourne auprès d'Eddy Mitchell pour "Ronde de nuit". S'enchainent ensuite deux grand succès commerciaux avec "Marche à l'ombre" où Lanvin tourne avec Michel Blanc et "Les spécialistes" au côté de Bernard Giraudeau.

     

     

     

     

     

     

     

    Porté par le succès, Lanvin devient scénariste de "Moi vouloir toi",même si le film n'est pas vraiment reconnu, la chance lui sourit toujours car c'est là qu'il rencontre Jennifer avec laquelle il a tourné et qui deviendra sa femme. La comédie "Les frères pétards"qu'il tourne avec Jacques Villeret ne connait pas non plus vraiment de succès.

     

     

     

    C'est alors Claude Lelouche qui le relance en lui proposant deux rôles dans les films "Il y a des jours et des lunes..." qui remporta un vif succès et "La belle histoire" qui sera un semi-échec, le film étant peut-être trop ambitieux. Cet échec lui permettra de se remettre en cause et de choisir ses films avec soin. Pour y réfléchir, il s'éloigne des médias et de la célébrité dans l'Ouest de la France, à La Baule où il vit toujours maintenant. Son expérience lui permet maintenant de choisir des personnages plus mûrs et moins impulsifs.
      
      
     
      
      
    Les films s'enchainent avec notamment "Les marmottes" , "Le fils préféré" en 1994 qui lui permet de remporter le César du Meilleur Acteur en 1995, "Mon homme"... Grâce au film d'Agnès Jaoui, "Le goût des autres" , il remporte un deuxième César du Meilleur Acteur dans un second rôle. En 2001, Lanvin tourne "Le boulet"avant d'enchainer les tournages de , "La demi-mondaine amoureuse", "Les gens du fleuve", "A la petite semaine"avant de jouer le commissaire dans "San Antonio" . Après le film "Le parrain", il tourne auprès de Franck Dubosc, le film "Camping". Suit ensuite "Le prix à payer"au côté de Christian Clavier.

    Fichier:Gérard Lanvin Cannes.jpg

     

    En 2008, on le retrouve dans les films "Mesrine" et "Secret Défense" au côté de Nicolas Duvauchelle. D'autres projets sont en cours pour Lanvin ; "Envoyés très spéciaux", "Erreur de la banque en votre faveur", "La clinique de l'amour", "Des parents formidables" et "Malicorne". Si Lanvin envisage de prendre sa retraite d'ici deux ans, il ne chômerait pas pour autant et voudrait passer de l'autre côté de la caméra. Enfin, même si le succès est présent et que sa réputation n'est plus à faire, Lanvin reste toujours aussi naturel et fidèle à lui-même. Au lieu de jouer les people, comme le ferait certaines stars, et prendre la grosse tête, il préfère dès que son emploi du temps lui permet retrouver le calme de La Baule auprès de sa femme Jennifer et de ses deux fils : Léo et Manu.

     

    Image : Corbis

    GERARD LANVIN

     

     

     

    1976

    L' Aile ou la cuisse
    1977
    Vous n'aurez pas l'Alsace et la Lorraine
    1979
    Les héros n'ont pas froid aux oreilles
    1979
    Bête mais discipliné
    1979
    Tapage nocturne
    1980
    L'entourloupe
    1980
    Une semaine de vacances
    1980

    Extérieur nuit
    1981
    Est-ce bien raisonnable ?
    1981
    Le choix des armes
    1981
    Une étrange affaire
    1982
     
     
    Tir groupé
    1983
    Le prix du danger
    1984
    Ronde de nuit
    1984
     
     
    Marche à l'ombre
    1985
    Les spécialistes
    1985
    Moi vouloir toi
    1986
    Les frères Pétard
    1987
    Saxo
    1989
    Mes meilleurs copains
    1990
    Il y a des jours...et des lunes
    1992
    La belle histoire
    1993
    Les marmottes
    1994
    Le fils préféré
    1995
    François Kléber [Série TV]
    1996
    Mon homme
    1996
    Anna Oz
    1997
    La femme du cosmonaute
    1998
    En plein cœur
    2000
    Le goût des autres
    2000
    Passionnément
    2001
    Les morsures de l'aube
    2002
    Le boulet
    2002
    3 zéros
    2002
    L'age de glace [Doublure Voix]
    2003
    A la petite semaine
    2004
    San Antonio
    2005
    Les enfants
    2005
    Les parrains
    2006
    L'âge de glace 2 [Doublure Voix]
    2006
    Camping
    2006
    Le héros de la famille
    2007
    Le prix à payer
    2008
    Mesrine : L'ennemi public n°1
    2008
    Secret défense
    2009
    Envoyé très spéciaux
    2009
    Erreurs de la banque en votre faveur
    Prochainement
    La clinique de l'amour
    Prochainement
    Des parents formidables
    Prochainement
    Malicorne
    Les Lyonnais : photo Gérard Lanvin, Olivier Marchal, Tchéky Karyo 
     
     
    LES LYONNAIS

    Olivier Marchal avec Gérard Lanvin et Tchéky Karyo

    GERARD LANVIN

     

     

     

     

     

    Un Grand MONSIEUR ! à titre personnel....

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Jeremy John Irons, né le 19 septembre 1948 à Cowes sur l'île de Wight, est un acteur britannique.

    Ayant débuté au théâtre dès 1969, il se dirige rapidement vers le cinéma, et son premier rôle majeur, dans La Maîtresse du lieutenant français en 1982, lui vaut la reconnaissance de ses pairs et de la critique.

    Alternant blockbusters et films d'auteur, il obtient entre autres l'oscar du meilleur acteur pour son rôle dans le drame psychologique Le Mystère von Bülow de Barbet Schroeder en 1990 et l'Emmy du meilleur acteur dans un second rôle pour son interprétation du Comte Robert Dudley dans la minisérie Elizabeth I en 2006.

      

    Meryl Streep

    le lieutenant français - Meryl Streep

      

    Biographie :

    Issu d'une famille aisée (son père était contrôleur fiscal), Jeremy Irons, fasciné par le théâtre, intègre à la fin de son adolescence le Marlowe Theater de Canterbury, puis trois ans plus tard incorpore la troupe du Bristol Old Vic.

      

      

    Après avoir multiplié les représentations sur scène, notamment avec la Royal Shakespeare Company, et les rôles pour la télévision anglaise, il fait ses grands débuts au cinéma à 32 ans dans Nijinski (1980), un drame d'Herbert Ross, aux côtés d'Alan Bates.

     

     

     

    Années 1960

    Irons est scolarisé dans l'école privée de Sherborne School dans le Dorset de 1962 à 1966, où il fonde avec trois camarades un groupe de musique appelé The Four Pillars of Wisdom (« Les quatre piliers de la sagesse »), dans lequel il joue de la batterie et de l'harmonica. Il est aussi l'un des membres d'un duo comique au sein de sa « maison ».

      

    À 15 ans, il est nommé capitaine d'une équipe de rugby alors que ses parents se séparen.

    À 17 ans, il intègre la Combined Cadet Force, un mouvement de jeunesse soutenu par le Ministère de la Défense britannique proposant un entraînement militaire, où il obtient le grade de sergent-major régimentaire, puis échoue au concours d'entrée d'une école vétérinaire, tout en gardant une passion pour l'équitation.

     

     

     

     

    Après un petit rôle amateur dans la pièce The Critic (en) de Richard Brinsley Sheridan et un premier emploi d'assistant manager dans un théâtre de Cantorbéry  Irons intègre à la fin de son adolescence le programme de formation de deux ans de la Bristol Old Vic Theatre School, école où sont aussi passés des acteurs et actrices célèbres tels que Daniel Day-Lewis, Miranda Richardson et Pete Postlethwaite. Son père lui finance ses études, mais il doit travailler comme artisan pour se payer des vacances.

     

     

    « Tim Pigott-Smith [un camarade du Bristol Old Vic] a toujours pensé que j'abandonnerai [le métier] très rapidement, un an ou deux après avoir quitté l'école. Il m'a dit un jour : « tu n'avais pas de talent ». Mais je ne l'ai pas fait. Je portais bien les costumes, je décorais bien la scène, mais je n'étais pas un acteur comme Tim ou beaucoup d'autres. [...] Mais à la fin des deux ans, cinq d'entre nous ont été choisis pour intégrer la compagnie du Bristol Old Vic elle-même. »

    — Jeremy Irons

     

     

    Années 1970

    Après son diplôme, il reste à Bristol pour trois saisons, interprétant les premiers rôles dans de nombreuses pièces de Shakespeare, Noël Coward et Joe Orton, puis déménage à Londres en 1971 disant qu'il ne souhaite pas rester un acteur du Répertoire : il veut apparaître sur les planches du West End et dans des films. À 23 ans, il obtient alors le rôle de Jean le Baptiste dans la pièce Godspell (en), qui est jouée plus de 1 200 fois de 1971 à 1973 au Wyndham's Theatre.

      

      

    « Un jour, j'ai auditionné pour une comédie musicale américaine appelée Godspell, de John-Michael Tebelak, qui allait être lancée à Londres. Les Américains aiment l'uniformité d'une façon que nous autres Britanniques n'aimons pas : ils veulent que tout le monde soit aligné dans une sorte de chorale homogène, et me voilà, huit centimètres de plus que tout le monde, au bout de la ligne. Mais ils m'ont quand même donné le rôle, que j'ai joué pendant deux ans dans le West End. Je me souviens d'une nuit, assis à un bout de la scène pendant une chanson que tous les autres chantaient : je jouais Jean Baptiste, et David Essex, qui jouait Jésus était assis de l'autre côté. Et j'ai pensé à ce moment, « c'est ça ! », j'ai glissé vers le théâtre sans trop y penser, mais cela me va comme un gant »

    — Jeremy Irons

     

     

    Il intègre la prestigieuse troupe de la Royal Shakespeare Company en 1976 et alterne le théâtre avec des petits rôles à la télévision.

     

     

    LOLITA

     

    Années 1980

    Après avoir multiplié les représentations sur scène, et quelques rôles pour la télévision anglaise, Irons fait ses premiers pas au cinéma à 32 ans dans Nijinski (1980), un drame d'Herbert Ross, aux côtés d'Alan Bates.

     

    En 1982, après un rôle dans la pièce The Rear Column (en) (1978) au Théâtre du Globe, il est introduit par le metteur en scène Harold Pinter au réalisateur Karel Reis. qui lui propose de donner la réplique à Meryl Streep dans La Maîtresse du lieutenant français (The French Lieutenant's Woman), rôle pour lequel il est nommé au British Academy Film Award du meilleur acteur.

      

    Au même moment, à la télévision, il obtient une reconnaissance internationale avec le rôle de l'aristocrate anglais Charles Ryder dans l'adaptation télévisuelle (en) du roman d'Evelyn Waugh, Retour à Brideshead (Brideshead Revisited) en 1981 pour ITV. Suite à son interprétation, Irons est invité à faire une lecture du roman de Waugh pour le livre audio, puis enchaîne avec les lectures de L'Alchimiste de Paulo Coelho, Lolita de Nabokov (il jouera dans l'adaptation de 1997) et James et la Grosse Pêche (James and the Giant Peach) de Roald Dahl.

    Images of Jeremy Irons at the International Rome Film Festival

      

      

      

      

    En 1982, il donne la réplique à Meryl Streep dans La Maîtresse du lieutenant français de Karel Reisz, l'adaptation du roman de John Fowles. Traînant une réputation d'acteur très exigeant et professionnel, Jeremy Irons incarne par la suite un missionnaire jésuite du XVIIIe siècle dans Mission (1986) de Roland Joffé, puis tient le double rôle des jumeaux de Faux-Semblants,

    l'angoissant film de David Cronenberg.

     

     

     

    Il fait ses premiers pas à Broadway en 1984 avec The Real Thing (en) face à Glenn Close, qu'il retrouvera dans Le Mystère von Bülow en 1991, et remporte pour son rôle le Tony Award du meilleur comédien, alors que Close remporte celui de la meilleure comédienne[13]. Il continue à apparaître sur les planches des théâtres londoniens jusqu'en 1987.

      

    Dans les années 1980, il apparaît de façon sporadique dans plusieurs films : il incarne, face à Robert De Niro, un missionnaire jésuite du XVIIIe siècle dans Mission (The Mission, 1986) de Roland Joffé, qui remporte la Palme d'or à Cannes ; en 1988, il interprète le double rôle des jumeaux gynécologues dans le film Faux-semblants (Dead Ringers) de David Cronenberg, qu'il retrouvera en 1993 pour M. Butterfly.

    En 1988, il participe avec son fils Samuel à l'adaptation (en) du roman pour enfants de Roald Dahl Danny, champion du monde (Danny, the Champion of the World).

      

    Années 1990

    En 1990, il reçoit l'Oscar du meilleur acteur pour son interprétation du comte Klaus von Bulow dans Le Mystère von Bülow (Reversal of Fortune) de Barbet Schroeder et interprète en 1991 l'écrivain tchèque Franz Kafka dans le film éponyme de Steven Soderbergh.

      

     

       

    En 1990, c'est la consécration, puisqu'il reçoit l'Oscar du meilleur acteur pour son interprétation du richissime comte von Bulow dans Le Mystère von Bülow de Barbet Schroeder. En 1991, il interprète l'écrivain Kafka dans le film éponyme de Steven Soderbergh.

      

    Jouant souvent à l'écran des personnages froids et inquiétants, il tourne ensuite avec des réalisateurs aussi différents que Louis Malle (Fatale, 1992), Bille August (La Maison aux esprits, 1993). Il retrouve David Cronenberg pour M. Butterfly (1993).

     

     

     

    Après avoir prêté sa voix (et l'aspect de son visage) à Scar dans Le Roi lion (1994) de Walt Disney Pictures, il fait un retour remarqué dans Une journée en enfer de John McTiernan. En 1997, il reprend le rôle de Humbert Humbert dans le remake de Lolita d'Adrian Lyne. Il a alterné depuis de grosses productions américaines comme L'Homme au masque de fer de Randall Wallace (1998) ou encore Donjons & dragons (2000) de Courtney Solomon et des films européens.

      

      

    On le retrouve ainsi face à Patricia Kaas dans And now... Ladies and Gentlemen (2002) de Claude Lelouch et une nouvelle fois face à Fanny Ardant dans Callas Forever (2002) de Franco Zeffirelli. Depuis 2002, Jeremy Irons est la voix anglaise de l'attraction Studio Tram Tour à Disneyland Paris.

     

     

    Il continue ainsi d'alterner les blockbusters comme Eragon (2006) ou Kingdom of Heaven (2005) de Ridley Scott, avec les films d'auteur comme Inland Empire de David Lynch (2007).

    À la télévision, il interprète en 2006 le Comte Robert Dudley, favori de la reine Élisabeth, interprétée par Helen Mirren, dans la minisérie Elizabeth I, et tient en 2011 le premier rôle de la série The Borgias, du créateur de la série Les Tudors (The Tudors), où il interprète le rôle de l'ambitieux Rodrigo Borgia, élu pape Alexandre VI en 1492.

     

     

     

    Il est marié depuis 1978 à l’actrice irlandaise Sinéad Cusack dont il a deux enfants.

    Le 17 octobre 2011, Jeremy Irons a été nommé Ambassadeur de bonne volonté de l’Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO).

     

     

    Jeremy Irons Attends

     

     

    Filmographie :

    Au cinéma :

     Jeremy Irons as Rodrigo Borgia in "The Borgias"

     

      

      Jeremy Irons

     

     

     

     

     

     

     

     

    À la télévision ;

     

     

     

     

      

      

     

     

     

     

    wikipedia

      

     

     

     

     

     

     

      

     

     

     

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    Ava Gardner

     

     

     

     

    Ava Gardner

     

     

     

     

     

    Ava Gardner

     

     

     

     

    Ava Gardner, David Niven & Stewart Granger in The Little Hut

     

     

     

     

     

     

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     Alfred Hitchcock

     

     

     

     

     

     

     

    Alfred Hitchcock’s cure for insomnia

     

     

     

    Gif animé Artiste - Alfred Hitchcock

     

     

     

     

     

     

    Gif animé Artiste - Alfred Hitchcock

     

     

     

     

     

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     Jean Harlow

     

     

     

     

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